Blackstone triple l’objectif de levée de fonds pour le fonds Reit qu’il a lancé l’an dernier, rapporte le Wall Street Journal. Dans un nouveau document déposé auprès de la Securities and Exchange Commission, Blackstone Real Estate Income Trust a indiqué qu’il prévoyait de lever 10 milliards de dollars supplémentaires en plus des 5 milliards qu’il avait annoncé lever dans son premier prospectus.
Le géant américain de la gestion d’actifs BlackRock a baissé ses frais de gestion sur 11 ETF représentant 50 milliards de dollars d’actifs la semaine dernière, rapporte le quotidien Les Echos. Si les baisses de prix sur les 4 ETF actions sont restées modestes, en revanche certains ETF obligataires ont vu leur coût diminuer de 70 %. La guerre des prix fait rage et les frais de gestion moyens sur les ETF actions américaines ont baissé de 10 points de base (pb) en 10 ans. Ils sont tombés à un plancher de 21 pb à fin 2017, selon l’Investment Company Institute.
A l’issue de son exercice fiscal 2017-2018, clos le 31 mars 2018, l’Office d’investissement des régimes de pensions du secteur public (Investissements PSP) a vu ses encours augmenter de 17,4 milliards de dollars canadiens pour atteindre 153 milliards de dollars, a annoncé hier le fonds de pension canadien. Cette progression a été portée par un résultat net de 13,5 milliards de dollars canadiens et des contributions nettes de 3,9 milliards de dollars, a précisé l’institution dans un communiqué. De fait, le fonds de pension a dégagé un rendement net de 9,8% sur un an. « Ce rendement est considérablement supérieur à celui de l’indice de référence du portefeuille stratégique de 8,7% », a noté le fonds de pension. « Nous avons maintenu notre rendement malgré un marché volatil tout au long de l’année, ce qui démontre clairement que notre orientation stratégique axée sur une diversification accrue génère des rendements », a pour sa part commenté Neil Cunningham, président et chef de la direction de Investissements PSP, en poste depuis février 2018.Au cours de l’exercice écoulé, toutes les classes d’actifs ont contribué à cette solide performance d’ensemble, battant quasiment toutes leur indice de référence. Ainsi, la classe « placements sur les marchés publics » (actions, obligations), qui représente 50,1% de son actif net, a enregistré un rendement de 8,3% contre 7,7% pour l’indice de référence. « Le groupe a continué à générer d’importants rendements malgré la hausse du risque géopolitique, la volatilité des marchés et la montée des taux d’intérêt, principalement au quatrième trimestre », souligne Investissements PSP. Pour leur part, les « placements immobiliers », qui pèsent 15,2% de son actif net, a dégagé un rendement de 13,6% sur un an contre 12,3 % pour son indice de référence, et ce « malgré un environnement compétitif ».Par ailleurs, les « placements privés » (private equity), qui représentent 12,7% de l’actif net du fonds de pension, ont généré un rendement de 12,9%, en comparaison avec la perte de 3,4% lors de l’exercice précédent, alors que son indice de référence a enregistré un rendement de 17,6%. « Les placements effectués au cours des trois derniers exercices, qui représentent un actif de 9,9 milliards de dollars, ont généré des rendements particulièrement supérieurs à l’indice de référence », avance le fonds de pension. Le groupe a déployé un total de 4,4 milliards de dollars (y compris 2,3 milliards de dollars en nouveaux placements privés et co-investissements), et s’est engagé à hauteur de 4,1 milliards de dollars pour de futurs déploiements par l’entremise de 17 fonds, dont 11 avec de nouveaux partenaires.Enfin, les « placements en infrastructures » (9,8% de son actif net), a enregistré un rendement sur un an de 19,3% contre 12,1% pour son indice de référence. Au cours de l’exercice écoulé, le groupe canadien a déployé 3,3 milliards de dollars dans cette classe d’actifs, y compris 2,2 milliards en placements directs, rappelle Investissements PSP.
Breather, un fournisseur mondial d’espaces de travail adaptables aux besoins de la clientèle, a annoncé, ce 12 juin, avoir obtenu un financement d’environ 60 millions de dollars, mené par la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) aux côtés de plusieurs autres investisseurs mondiaux, dont Temasek et Ascendas-Singbridge. Les services de location de bureaux à court terme, qui permet de louer des espaces de collaboration, des bureaux meublés et des salles de rencontres et de conférences sur une base horaire, journalière ou hebdomadaire, représente un secteur d’activité évalué à plusieurs milliards de dollars. Tous les types de sociétés, des entreprises en démarrage aux entreprises Fortune 500, se tournent aujourd’hui vers la location de ce genre d’espace de travail, qui répond à leurs besoins opérationnels changeants et leur permet de réduire leurs frais d’exploitation. Le segment de marché dans lequel Breather exerce ses activités est axé sur les bureaux et salles de conférence privés et meublés, et représente 71 % du secteur. Au cours des cinq dernières années, Breather a connu une expansion dans le secteur de la location d’espaces de travail en exerçant ses activités dans dix villes dans le monde, notamment New York, San Francisco, Toronto, et Londres.Cet investissement dans Breather permet à la CDPQ de devancer une nouvelle tendance du marché immobilier avec un des grands joueurs du secteur. «Breather est une jeune société innovante qui connaît une forte croissance et qui a un énorme potentiel à l’échelle internationale. Grâce à son modèle d’affaires unique et innovant, Breather a démontré sa capacité à se positionner à la tête de son secteur en pleine évolution en misant sur la technologie et sur l’optimisation du rendement au moyen de l’intelligence artificielle », a commenté Christian Dubé, premier vice-président, Québec, à la CDPQ.
Pour la majorité des fonds de pension dans le monde, le recours aux ETF et à d’autres solutions de gestion passive, fait désormais partie de leur panoplie de gestion. Selon une enquête commandée par DWS et réalisée par le bureau de conseil Create-Research (*), les deux tiers (66%) des gestionnaires de fonds de pension considèrent les investissements passifs comme une partie établie de leur portefeuille.L’enquête relève aussi que les fonds de pension détiennent en moyenne 32% de leurs investissements sous forme de produits ou de solutions passives, qui peuvent prendre la forme de fonds indiciels, de mandats passifs ou encore d’ETF. Parmi les investisseurs passifs, on observe un abandon progressif des indices de capitalisation au profit de stratégies smart beta, factorielles, ESG ou encore d’autres stratégies thématiques. Près de 50% des fonds de pension envisagent d’accroître leurs allocations passives ESG de plus de 5% de leurs encours. Cela dit, seulement 10% des participants au sondage prévoient que les investissements passifs vont supplanter les investissements actifs, la majorité estimant que les deux vont co-exister dans les portefeuilles des fonds de pension. «Au cours des dix dernières années, nous avons assisté à une reconfiguration fondamentale du secteur de la gestion d’actifs, certaines stratégies devenant standard et facilement accessibles à bas coût, ce qui signifie que les investisseurs disposent aujourd’hui d’un niveau de choix jamais vu pour les aider à atteindre leurs objectifs d’allocation», commente Thorsten Michalik, co-responsable du Global Coverage Group et responsable de la gestion d’actifs dans la région Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA), cité dans un communiqué. (*) Enquête réalisée auprès de plus de 150 fonds de pension dans le monde représentant au total quelque 2.900 milliards d’euros
Le fonds de pension du gouvernement japonais (GPIF), qui gère pas loin de 1.500 milliards de dollars, a présenté ce 12 juin les détails de sa nouvelle structure de rémunération des gérants externes, dont les performances «laissent beaucoup à désirer», de son point de vue. Le fonds de pension souligne que peu de fonds réalisent l’objectif de surperformance sur les trois ans courant de 2014 à 2016 et évoque la possibilité que les gérants ne fixent pas correctement l’objectif de surperformance tout en donnant la priorité à la croissance de leurs actifs sous gestion au-delà de leur capacité de bonne gestion.D’où la décision d’introduire une nouvelle structure de rémunération basée sur la performance, avec notamment l’introduction d’une commission de base équivalente à la rémunération d’un fonds géré passivement, la suppression de la commission maximale «afin de mieux lier la performance aux commissions», et la prise en compte de la performance dans la durée avec la conclusion de contrats de gestion pluri-annuels.
BlackRock a recruté Lukas Daalder en tant que stratégiste en chef aux Pays-Bas, rapporte Investment Europe. L’intéressé rejoindra la société le 13 août 2018. Lukas Daalder arrive en provenance de Robeco où il a occupé plusieurs fonctions depuis 2009. Il était directeur des investissements de Robeco Investment Solutions depuis 2013. Il dirigeait l’équipe multi-asset, gérant 32 milliards d’euros.
Paolo Molesini, qui vient d’être confirmé administrateur délégué de Fideuram Intesa Sanpaolo Private Banking, dont il est aussi directeur général, va prendre la présidence d’Assoreti, l’association italienne des réseaux financiers, rapporte Bluerating. Il s’agit donc d’une succession « interne » à la banque privée d’Intesa Sanpaolo vu que Paolo Molesini prend la succession de Matteo Colafrancesco, qui était précédemment président de Fideuram ISPB avant de quitter le groupe pour rejoindre Banca Intermobiliare.
La société de gestion italienne Azimut a enregistré en mai des souscriptions nettes de 1,1 milliard d’euros, atteignant 2,1 milliards depuis le début de l’année.La collecte a bénéficié de l’intégration des activités de gestion d’actifs de Sofia SGR, composées de 3 fonds. Sans compter cette acquisition, les souscriptions de mai se limitent à 204 millions d’euros.Fin mai, les encours sous administration s’élèvent à 52 milliards d’euros fin mai, dont 41,1 milliards sous gestion.
Le gestionnaire d’actifs Martin Currie, filiale de Legg Mason, a annoncé, ce 12 juin, la nomination de Julian Ide au poste de responsable de la distribution et de la stratégie à l’échelle mondial. L’intéressé sera basé à Edimbourg. Julian Ide, qui compte plus de 25 ans d’expérience, était dernièrement directeur général de Source ETF, poste qu’il a quitté en septembre 2017. Auparavant, il avait été directeur général d’Old Mutual Global Investors. Au cours de sa carrière, il est également passé chez BBVA Asset Management, Credit Suisse, ABN Amro Asset Maangement ou encore Schroders.
La société de gestion Quilter, anciennement Old Mutual Wealth, a annoncé, le 11 juin, la nomination de Ruth Markland en qualité administratrice non exécutive et administratrice indépendante senior au sein de son conseil d’administration. Cette nomination sera effective lors de la cotation en Bourse de la société prévue le 25 juin 2018. L’intéressée sera également membre du comité de gouvernance et des nominations, du comité d’audit et, enfin, du comité des rémunérations.Ruth Markland a officié pendant 12 ans au conseil d’administration de Standard Chartered. Elle a également siégé pendant plus de 10 ans au conseil d’administration de The Sage Group. Elle est également membre du conseil de surveillance d’Arcadis et elle est administratrice indépendante non-exécutive de Deloitte.
Le gestionnaire d’actifs britannique Old Mutual Global Investors (OMGI) a décidé de fusionner le fonds Old Mutual Absolute Return Government Bond au sein du fonds Old Mutual Strategic Absolue Return Bond, rapporte le site Investment Week. Dans le cadre de cette opération, les co-gérants Adam Purzitsky et Paul Shanta, en charge du fonds Old Mutual Absolute Return Government Bond, vont quitter la société de gestion pour poursuivre d’autres opportunités de carrière. Trois autres membres de l’équipe de gestion vont également quitter OMGI. La fusion des deux fonds devrait intervenir le 27 juillet, sous réserve du feu vert des investisseurs.Le fonds Old Mutual Strategic Absolute Return Bond continuera d’être géré par l’équipe dirigée par les co-gérants Mark Nash et Nicholas Wall.
Le « Brexit » n’a visiblement pas éteint l’appétit des gestionnaires d’actifs étrangères pour le marché britannique. La société de gestion française Comgest a ainsi annoncé, ce 12 juin, le renforcement de son bureau de Londres avec le recrutement de Iain MacPherson, qui rejoint son équipe en charge des relations avec les investisseurs. Mi-avril, dans un entretien au Financial Times, Arnaud Cosserat, président de Comgest, avait en effet dévoilé l’ouverture de ce nouveau bureau à Londres. Travaillant aux côtés de Jane Russell, « country head en charge de l’activité de Comgest au Royaume-Uni, Iain MacPherson se concentrera sur le développement de la société sur le marché « wholesale » britannique, notamment auprès des gestionnaires de fortune discrétionnaires, des banques privées, des multi-gérants et autres intermédiaires. L’intéressé arrive en provenance d’Aberdeen Standard Investments où il a passé près de neuf années comme directeur d’investissements en charge des ventes auprès des intermédiaires à Londres.Les clients britanniques représentent environ 7% des encours de Comgest, soit 1,8 milliard de livres sur un total de 25,1 milliards de livres, sur la base de chiffres à fin 2017. La société de gestion est surtout présente auprès de la clientèle institutionnelle, étant partenaire de plusieurs fonds de pension, family offices et autres gestionnaires de patrimoine au Royaume-Uni. « L’établissement d’une présence locale sur le marché britannique, malgré le Brexit, reflète notre engagement durable à servir nos investisseurs britanniques », a commenté Arnaud Cosserat, cité dans un communiqué.
Le gestionnaire d’actifs Columbia Threadneedle a annoncé, ce 12 juin, la création d’une nouvelle expertise dédiée à l’investissement en infrastructures à destination des clients au Royaume-Uni et en Europe. Dans ce cadre, la société a recruté Heiko Schupp au poste nouvellement créé de responsable mondial des investissements en infrastructure. « Trois autres professionnels de l’investissement en infrastructure – Ash Kelso, Antonio Botija et Ingrid Weston – le rejoignent », indique Columbia Threadneedle dans un communiqué. Ash Kelso est nommé responsable de la gestion d’actifs tandis qu’Antonio Botija occupe le poste de responsable des acquisitions. Pour sa part, Ingrid Weston est nommée gérante de portefeuille senior.Heiko Schupp, qui compte plus de 20 ans d’expérience, arrive en provenance de Hastings Fund Management où il était précédemment gérant de portefeuille senior. Auparavant, il est passé chez Pantheon Ventures, Bank of Scotland et PricewaterhouseCoopers.Ash Kelso travaillait précédemment chez PricewaterhouseCoopers en tant que directeur pour les secteurs de l’énergie, des utilities et des infrastructures. Pour sa part, Antonio Botija arrive en provenance de Hastings Fund Management où il était directeur d’investissement. Enfin, Ingrid Weston officiait auparavant chez HSBC Global Asset Management en tant que spécialiste produit sur la dette infrastructure.
Janus Henderson a décidé de fermer définitivement son fonds actions européennes Janus Henderson Europe Fund, rapporte Citywire Selector. La liquidation est intervenue dans le courant du mois de mai. Ce fonds, qui investissait dans des entreprises européennes de toutes capitalisations, affichait 39,5 millions d’euros d’encours à fin avril 2018. La stratégie était supervisée par George Maris, co-responsable des actions internationales, et le gérant de portefeuille Julian McManus.
The real estate asset management firm PGIM Real Estate, an affiliate of the US group PGIM, has announced the appointment of Stephen O’Keefe as executive director in charge of real estate debt investment in Australia. In this role, O’Keefe will also be responsible for managing relationships with potential partners and borrowers in the country. O’Keefe will be based in Sydney, and will report to Steve Bullock, head for Australia at PGIM Real Estate.Before joining PGIM Real Estate, O’Keefe had been senior director on the debt and structured finance team at CBRE. Before that, he was a fund manager at Quadrant Real Estate Advisors, after serving in several positions in fund management at Mirvac Fund Management.
La Financière de l’Echiquier will on 19 June launch its artificial intelligence fund Echiquier Artificial Intelligence, whose creation was reported by NewsManagers a few weeks ago. The launch comes as part of an extension to the range of funds from LFDE, due to a partnership with Primonial. “Our development plan will involve extending the fund range,” says Christophe Mianné, CEO of LFDE, opening a press conference. “We will have a long/short equity fund. We also want to move into themed funds. This is part of our strategy to grow our assets to EUR16bn by 2021, compared with EUR10bn currently,” he continues. In total, Mianné is hoping to launch five themed funds. When asked about the choice of themes, Mianné does not wish to venture comment, but explains that this will depend on the resources and expertise present at the firm. Meanwhile, the Echiquier Artificial Intelligence fund will invest in leading, fast-growing companies which develop or use artificial intelligence. Management will be provided by Rolando Grandi, already co-manager of the Echiquier World Equity Growth fund and head of the FCM Robotique fund. The universe of the fund is composed of all market cap sizes in four segments: AI developers, users who adopt these techologies, infrastructure in which AI is deployed, and companies which have sensory capacity for AI (vision, radar, sensors). p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; }
The German financial market authority, BaFin, has ordered an asset management firm which operates under the name New York International Traders to be liquidated. The asset management firm, based in Nuremberg, launched asset management and deposits activities without first obtaining permission from the supervisory authority. The head of the firm, Thomas Zwingmann, had been offering shares in the firm, with a promise to subsequently repurchase them at a pre-determined price. Zwingmann has also been asked to return all funds deposited. p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; }
Arnaud Gihan est nommé responsable de l’activité iShares de BlackRock pour la France, remplaçant Benoit Sorel qui devient Responsable de l’offre produits pour la zone Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA) d’iShares . iShares est l’activité ETF (fonds indiciels cotés, exchange traded funds) de BlackRock. Arnaud Gihan a rejoint l’activité iShares de BlackRock en octobre 2010 et est actuellement responsable de la distribution des solutions indicielles aux gestionnaires d’actifs en France. Auparavant, il était en charge des activités de services d’exécutions ETF pour l’Europe continentale. Arnaud Gihan a commencé sa carrière en tant que Trader Dérivés Actions chez JP Morgan et était en charge de l’activité de market making des ETF. Il est diplômé du master de Finance 203 de l’Université Paris Dauphine, où il est actuellement maître de conférence.En tant que Responsable de l’offre produits EMEA d’iShares, Benoit Sorel sera responsable du développement et de la mise en œuvre de la gamme de produits iShares pour cette zone. Il a rejoint BlackRock en 2011 pour diriger l’activité iShares en France, à Monaco, en Belgique et au Luxembourg. Auparavant, Benoit Sorel était en charge de la vente Dérivés Actions et des produits structurés pour les clients investisseurs institutionnels chez Credit Agricole CIB et Bank of America.
JP Morgan Asset Management has announced the launch of four bond ETFs with a more conservative approach, to reduce volatility and limit exposure to duration. All four products, JPMorgan ETFs (Ireland) ICAV – GBP Ultra Short Income Ucits ETF (JGST), JPMorgan ETFs (Ireland) ICAV – EUR Ultra Short Income Ucits ETF (JEST), PMorgan ETFs (Ireland) ICAV – BetaBuilders UK Gilts 1-5yr Ucits ETF (JG15) and JPMorgan ETFs (Ireland) ICAV – BetaBuilders US Treasury Bond 1-3yr Ucits ETF (JU13), are listed on the London Stock Exchange.Two of the four ETFs, JPM EUR Ultra Short Income Ucits ETF and JPM BetaBuilders US Treasury Bond 1-3yr Ucits ETF, are also available on Xetra from Deutsche Börse and on Borsa Italiana. They will both be listed on Six Swiss Exchange on 10 July. p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; }
Total assets under management in the alternative asset sector in Europe totalled a historic EUR1.48trn in September 2017, according to a study released on 12 June by Amundi and Preqin, a data specialist for the alternative asset management industry. The growth has been supported by significant inflows of capital, which totalled EUR184bn in 2017 (inflows of European private capital, including venture capital, private debt, real estae and real assets), an unprecedented level, whose annual total has been rising every year since 2011. Meanwhile, 52% of European hedge funds posted net inflows in 2017, of EUR27bn in all regions.Fundraising has been facilitated by solid long-term performance of real estate assets, by comparison with other more traditional asset classes. European hedge funds have generated average annual returns of 6.33% over the five years preceding March 2018, far more than the 1.94% for the FTSE 100 index [2] over the same period. Private capital funds in the region have seen average returns of 14.7% in the five years to Setember 2017, a higher leel than the one recorded for North American funds (13.1%) or Asian funds (12.5%). p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; }
Jim McCaughan, CEO of the US asset management firm Principal Global Investors, feels the European MiFID 2 directive is a very good thing for Europe, and that the United States should follow its example, particularly concerning research. “I think that the MiFID 2 rules about research will become an international standard in five to 10 years,” he said at a press conference held on Tuesday at the Fund Forum in Berlin. McCaughan fels the United States have much to learn from this reform to improve the “transparency of the sector” and to allow client sto “know exactly what they are paying and why.”
Brexit will profoundly reshape the asset management industry in the United Kingdom. According to the EY Brexit Tracker from the agency Ernst & Young (EY), a resource which analyzes statements released by 222 of the largest financial services companies in the United Kingdom, including 57 asset managers, 39% of British asset management firms (22 out of 57) are planning to, or have confirmed intentions to move some of their activities and/or teams out of the United Kingdom. Out of 57 asset management firms analyzed, 25% (14 companies) have confirmed their new locations. 10 companies have chosen Dublin, while the other four chose Luxembourg. 28% of asset management firms analysed (16 out of 57 companies) have made, or are planning to make, regulatory or structural modifications to their products due to Brexit. These companies have also tranferred the assets of their clients in the United Kingdom into European funds. They have also launched new funds abroad, or created fund ranges abroad via Sicav funds. Lastly, 23% of British asset management firm (13 out of 57) have announced that they have recruited new employees since the referendum in June 2016 in Europe or the United Kingdom, as a direct result of Brexit. p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; }
Martin Currie has hired Julian Ide as its head of distribution and strategy. He will have responsibility to further broaden and build Martin Currie’s global distribution capability across geographies and solutions.Julian Ide joins Martin Currie’s six-strong executive team based in Edinburgh, and will work collaboratively with them to drive the company’s distribution ambitions.This key strategic hire is the fourth for the business since the turn of the year and follows the appointment of Zehrid Osmani, who joined in May from BlackRock, as Head of the Global Long Term Unconstrained Team.Julian brings over 25 years’ experience in the investment management industry, having held several senior positions during his career, most recently as CEO at Source ETF, sold to Invesco in 2017. Prior to that, he was CEO at Old Mutual Global Investors.
Columbia Threadneedle Investments, a leading global asset management group, has started building an infrastructure investment capability for institutional clients in Europe.The company hired Heiko Schupp to the newly created role of Global Head of Infrastructure Investments and a further three infrastructure investment professionals to join him - Ash Kelso, Antonio Botija and Ingrid Weston.In establishing this new investment capability, the team will draw on Columbia Threadneedle’s expertise and research across multiple asset classes and geographies, thus working to integrate high quality macro-economic analysis into its investment process. The team will also work closely with the firm’s highly experienced Environmental, Social and Governance investment team, not only to manage risks around environmental and social impact, but also to target investments with clear sustainability business practices.Heiko Schupp is a highly experienced investor with a track record of more than 20 years of investing in international infrastructure transactions and assets. He joins from Hastings Fund Management where he was a senior portfolio manager. He has previously held other senior roles within Pantheon Ventures, Bank of Scotland and PricewaterhouseCoopers.Heiko Schupp will be joined by Ash Kelso (Head of Asset Management), Antonio Botija (Head of Acquisitions) and Ingrid Weston (Senior Portfolio Manager). Ash Kelso has more than fifteen years’ investments experience and joins from PriceWaterhouseCoopers, where he was Director for Energy, Utilities and Infrastructure. Antonio Botija’s asset management experience also stretches back more than fifteen years. He was previously an Investment Director at Hastings Fund Management. Ingrid Weston joins Columbia Threadneedle from HSBC Global Asset Management, where she worked as a product specialist in infrastructure debt.
Filiale de La Banque Postale depuis 2009, Tocqueville Finance s’arrime à la filiale de gestion de sa maison-mère, La Banque Postale Asset Management (LBPAM). Cette dernière détiendra 97% du capital, après approbation des autorités de marché, a annoncé hier la boutique de gestion actions. Tocqueville Finance «reprendra l’ensemble de la gestion stock-picking européenne» de sa nouvelle maison-mère qui, de son côté, «conservera au sein de sa gestion actions, les expertises smart beta, action assurantielle et ISR de conviction». Les actions représentent 15% des 216 milliards d’euros d’encours de LBPAM à fin 2017.
La Financière de l’Echiquier a annoncé hier la création d’Echiquier Artificial Intelligence, une solution «actions internationales» investie dans des entreprises spécialistes de l’intelligence artificielle (IA). Il s’agit d’un compartiment de la Sicav de droit luxembourgeois Echiquier Fund, à destination des clients particuliers et professionnels, qui sera commercialisée à compter du 19 juin au Luxembourg et d’ici à la fin du mois de juin en France. La solution sera ensuite déclinée en Europe.
Henri Chabadel (photo), responsable de la gestion multi-asset de Groupama Asset Management a quitté la société de gestion, a appris Newsmanagers de plusieurs sources proches. L'information a été confirmée par un porte-parole de Groupama AM.
Dans le cadre des Clubs Dates Invest qui se sont tenus à Lyon le 24 mai dernier, Benoit Léandri, spécialiste produits en gestion quantitative actions chez Schroders, David Kalfon, président de Sanso Investment Solutions et Dominique Blanc, directeur de la recherche de Novéthic, ont détaillé les évolutions actuelles de la gestion quantitative ISR.