ING va commencer à évaluer son portefeuille de prêts de 600 milliards de dollars en se basant sur l’impact climat, une première étape dans la transition de l’intégralité de son portefeuille afin qu’il soit aligné avec les réductions des émissions demandées dans le cadre de l’accord de Paris, rapporte le FT. L’initiative, la première du genre pour une grande banque, inclura la mise sous pression des clients dont les activités ne se conforment pas aux objectifs climat de l’accord.
Aviva Investors a recruté Mark Robertson en qualité de responsable des fonds multi-stratégies, rapporte Investment Week. L’intéressé rejoint Aviva Investors en provenance de NN Investment Partners où il aura passé sept ans et où il était responsable des portefeuilles multi-classes d’actifs. Il avait notamment en charge les portefeuilles total return et diversifiés, d’un encours d’environ 14 milliards d’euros. Chez Aviva Investors, Mark Robertson, qui sera rattaché à Peter Fitzgerald, responsable des investissements multi-asset et macro, interviendra en qualité de gérant de portefeuille sur les stratégies AIMS Target Return, Target Income et Fixed Income. Par ailleurs, Ian Pizer, responsable de la stratégie d’investissement, a démissionné de ses fonctions. Il continuera de travailler pour Aviva Investors, mais à temps partiel, indique-t-on.
Le principal fonds de dotation de l’université de Cambridge a subi le départ de quatre de ses cadres, rapporte le Financial Times fund management. Nick Cavalla, le directeur des investissements, va quitter son poste, de même que Bruce Lockwood, Conor Cassidy et Vincent Fruchard. Les quatre vont rejoindre Talisman Global Asset Management. Nick Cavalla et ses collègues, qui gère 3,3 milliards de livres d’actifs pour le fonds faisaient l’objet de critiques importantes de la part des étudiants en raison de leurs investissements dans des compagnies pétrolières et gazières.
Le gestionnaire d’actifs français Axiom Alternative Investments (Axiom AI) a annoncé, le 13 septembre, les recrutements de Laurent Henrio en tant que gérant de portefeuille et d’Antonio Roman au poste d’analyste recherche au sein de son bureau de Londres. Dans le cadre des nouvelles fonctions, Laurent Henrio sera chargé de la gestion du fonds Axiom Synthetic Credit Opportunity, dont le lancement est prévu au début de l’année 2019. Laurent Henrio, qui a travaillé pendant 16 ans dans le trading crédit, arrive en provenance de Société Générale où il a officié depuis 2011 en tant que trader sur le crédit, dernièrement en tant que responsable mondial des activités de trading sur le crédit.Pour sa part, Antonio Roman sera responsable du développement des modèles quantitatifs sous Solvabilité 2 et Bâle 3. En poste depuis juin 2018, il a précédemment travaillé en tant qu’analyste quantitatif chez Goldman Sachs Asset Management et JP Morgan Asset Management.
Axa IM a annoncé lundi l’accélération de ses efforts en matière d’investissement responsable (IR). Pour cela, la filiale d’Axa va intégrer des critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) dans toutes les plates-formes de gestion et recruter des spécialistes ESG. Les gérants ont ainsi désormais accès aux scores et à des indicateurs clés de performances ESG dans leurs outils de front-office, ainsi qu'à des sources de données et de recherche ESG supplémentaires. En outre, Yo Takatsuki rejoindra Axa IM au poste de responsable recherche et engagement ESG à partir du 1er novembre.
Les députés ont prévu que la privatisation de la Française des Jeux (FDJ) n’intervienne qu’après la mise en place d’une nouvelle régulation des jeux d’argent et de hasard, par un amendement au projet de loi Pacte, adopté dans la nuit de jeudi à vendredi. Il impose que cette nouvelle régulation, prévue par ordonnance, soit un préalable au transfert au privé de la majorité du capital de la FDJ. L’Etat possède 72% des parts de l’entreprise, qui détient en France le monopole des jeux de tirage et de grattage. Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a proposé que les discussions sur la régulation des jeux commencent début octobre.
Citigroup a annoncé vendredi qu’il a été sanctionné par la SEC, le gendarme de la Bourse américain, à payer 12 millions de dollars dans le cadre d’un litige sur une plate-forme de trading de gré-à-gré (dark pool). La SEC estime que Citigroup Global Markets, le pôle de banque d’investissement et de conseil financier de l'établissement ont induit en erreur les utilisateurs de Citi Match gérée par sa filiale Citi Order Routing and Execution (CORE). CORE aurait faussement assuré les utilisateurs que les professionnels utilisant le trading à haute fréquence n'étaient pas autorisé à travailler sur la plate-forme, alors qu’au moins deux d’entre eux ont pu passer plus de neuf milliards de dollars d’ordres à travers Citi Match.
La société de gestion FnB Private Equity, dédiée à l’univers de l’alimentation et des boissons a procédé au closing final de son premier fonds FnB Europe SLP. Ce dernier dispose d’une enveloppe de 134,5 M€ et dépasse ainsi son objectif initial de 120 M€. Son premier closing à 101 M€ avait eu lieu en avril dernier. Plus de 80 % des engagements proviennent d’institutionnels, dont Swen Capital Partners, BNP Paribas, AG2R La Mondiale, la Bred, ainsi que le FEI. Le solde provient de family offices, d’entrepreneurs et de l’équipe de gestion. Par ailleurs, 40 % proviennent d’investisseurs européens basés hors de France. Créé en 2017 par une équipe d’investisseurs et d’entrepreneurs (Olivier Marchand, Valérie Lutt et Antoine Sage), FnB Europe Fund SLP est un fonds d’investissement spécialisé dans les PME de l’industrie agro-alimentaire française et des pays proches (Royaume-Uni, Benelux, Espagne, Italie, Portugal). FnB Europe Fund investit de manière majoritaire pour des tickets compris entre 8 et 18 millions d’euros hors co-investissements avec des LPs. Trois opérations ont déjà été réalisées : dans Bur Distribution (épicerie fine), Lartigue & Fils (foie gras et charcuterie) et groupe Valade (produits à base de fruits). Un quatrième est en cours de finalisation, ce qui portera à un tiers le total du fonds déjà investis avant la fin de l’année. Il comptera à terme une dizaine de participations. AB.
Après la mise en œuvre de l’article 173 de la loi transition énergétique et croissance verte concernant les obligations de reporting sur la prise en compte du changement climatique par les investisseurs institutionnels, le gouvernement veut élaborer une méthodologie de mesure de l’empreinte carbone des portefeuilles qui prenne en compte l’ensemble des postes d’émissions de gaz à effet de serre significatifs (directes et indirectes) et la mise en conformité de ses investissements publics avec l’objectif international de limitation du réchauffement climatique. Cet objectif figure dans un amendement de la loi Pacte (le plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises), dont le parcours législatif a commencé à l’Assemblée nationale en Commission. Le gouvernement doit présenter au Parlement, dans un délai de douze mois après la promulgation de la présente loi, ces orientations et un plan d’actions associé. Un autre amendement précise que l’Autorité des marchés financiers (AMF) sera chargée de "[veiller] à la qualité de l’information fournie par les investisseurs sur leur stratégie bas-carbone et de gestion des risques liés aux effets du changement climatique, notamment en évaluant et proposant des méthodologies uniformes liées au climat.» TV
Le rythme du changement s’accélère dans la gestion d’actifs. Selon une enquête menée par Société Générale Securities Services auprès de 100 gestionnaires d’actifs européens, 84% des interviewés considèrent que les nouvelles technologies et le numérique sont des moteurs essentiels de leur stratégie commerciale. Leur impact est même plus fort que celui de la réglementation qui est malgré tout citée par 82% des répondants.Dans ce contexte mouvant, la taille est un facteur clé. Les acteurs de grande taille bénéficient d’un coût marginal inférieur à celui des acteurs plus petits et ils peuvent réduire leurs frais de gestion pour obtenir davantage de mandats. Il peuvent mieux absorber les investissements nécessaires pour s’adapter aux changements de la réglementation et pour développer et industrialiser des nouvelles technologies. Ils semblent bien être les mieux armés pour profiter des principales évolutions à l’oeuvre dans le secteur.Mais la taille n’est pas tout. La capacité à tirer le meilleur parti des nouvelles technologies et de la quantité considérable de données disponibles est devenue un nouveau facteur clé de succès, complétant ou même renforçant une expertise hautement spécialisée permettant de fournir de bonnes performances à des acteurs de niche.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Assets under management in the United Kingdom last year rose 12% to a total of GBP9.1trn, according to statistics released by the British Investment Association. Of this total, assets under management for foreign clients rose by about one fifth, to GBP3.1trn, more than half of which (GBP1.8trn) comes from European clients. In the strict sense, assets managed by the 250 members of the Investment Association (not counting hedge funds or private equity funds) as of the end of 2017 totalled a record GBP7.770trn, up 11% year over year.Despite uncertainties related to Brexit, the asset management sector directly or indirectly employed about 100,000 people as of the end of 2017, according to the professional association, compared with 91,500 in 2016. It may well be objected that the growth in assets has been driven not only by the good performance of the markets, as elsewhere, but also by the weak pound sterling, which has increased the value of foreign investments. It may also be noted that there has been deceleration year on year, as the growth between 2015 and 2016 was 17%. Investors appear to be remaining loyal to British expertise, while reducing their exposure to the United Kingdom in the major asset classes. 70% of equities managed in the United Kingdom last year were international equities, compared with 49% 10 years earlier. The same development has been observed in bonds, with a percentage of 42% for international bonds, compared with about one third in 2011, the professional association notes.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Meeschaert Asset Management on 13 September announced the appointment of Nicolas Gautier as director of distribution. Gautier will report to Benoît Vesco, CEO of Meeschaert Asset Management, and will take responsibility for a key role, realising the development ambitions of the asset management firm of the Meeschaert group, more particularly serving institutional investor clients (private banks, multi-managers, mutuals, insurers, etc.), a statement says.With over 15 years of experience in the finance sector, Gautier began his professional career at Société Générale Corporate & Investment Banking, where he developed major French corporate clients, and then financial institutions. From 2006, he then served in a variety of sales roles at asset management structures of a human, independent size. In particular, he was head of sales to institutionals and private banks at Convictions AM from 2009 until becoming head of sales at Auris IM in 2013.
The US firm BlackRock on 13 September announced that it had received approval from the Autorité des marchés financiers (AMF) to found an alternative asset management firm in France. The top player in asset management is seeking to strengthen its activities in France, as the United Kingdom prepares to exit the European Union next year (Brexit). In May this year, BlackRock had announced that it was considering such a project, but added that nothing was set in stone. In early July, a spokesperson for BlackRock told Reuters that the asset management firm was planning to increase its personnel in Paris, and to create an alternative asset management activity there.“This new arm comes as part of our growth strategy for our alternative asset management activity and our efforts to develop a unique platform to serve our clients worldwide, and particularly in France,” BlackRock explains in a brief statement. “This is a significant step, made possible by the success of BlackRock in France and Europe. This significant step is based on a desire to be known as a local player in each of the countries where we operate,” the statement adds.When contacted, BlackRock did not wish to offer more details about the operation. The Paris office of BlackRock now has about 35 members, who sell both passive and active funds. The Paris office, led by Stéphane Lapiquonne since 2015, is aimed at institutional and retail clients.
Carmignac on 13 September announced the appointment of a new economist in chief, Raphaël Gallardo. Gallardo will report to Frédéric Leroux, head of the cross asset team at Carmignac. Gallardo had previously served as an economist at Ostrum Asset Management (formerly Natixis Asset Management). He began his career at BNP Paribas, where he spent 10 years, before becoming head of macroeconomic research at AXA Investment Managers, and then at Rothschild & Cie Gestion.Gallardo “is a natural partner for the cross asset team, which is at the heart of the top-down approach at Carmignac. His unique expertise in anticipating cycles and the direction of market sentiment will be a genuine asset in transposing our views of the market into our investment decisions,” says Leroux, head of the cross asset team at Carmignac, in a statement.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }The Netherlands-based pension fund ABP on 13 September announced that Diane Griffioen was on 3 September recruited as director of investment policy, succeeding Jeroen Schreur, the specialist website Fondsnieuws reports. Griffioen had previously been director of investment funds at ASN Bank. Before that, she was director of investment management at Triodos Bank and director of wealth management at ING Private Banking.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Thebanking group EFG International this Thursday announced severalappointments to its board of directors. Among these, Richard Thomas isappointed as CEO of EFG Private Bank Limited, the British affiliate,from January 2019. The appointment remains subject to approval bysupervisory authorities.Thomaswould succeed Anthony Cooke-Yarborough, who for his part will becomechairman of the private bank and will report directly to the groupCEO, Giorgio Pradelli, the Zurich-based firm says in a statement.Twonew heads will also join the board at EFG from 1 November 2018.Daniel Lüscher will succeed Giovanni Weber as head of humanresources, and will also report directly to Pradelli.MauroPalombo will become group head for credit solutions and management ofstrategic clients, after 20 years of service at Julius Bär.DonaldKlotter, for his part, has since 1 September been head ofinstitutional sales, after serving for the two previous years as aclient portfolio manager for EFG.RolandKempf is appointed as head of the private bank in Zurich frommid-October. Kempf, formerly of Privatbank IHAG, will report toFranco Polloni, responsible for the Swiss and Italian markets, andwill be a member of the regional management board.“Theappointments we have announced demonstrate our desire to move forwardand to strengthen our management in various geographical regions, tomake EFG one of the leading Swiss private banks in the market,”Pradelli, CEO of EFG International, says in a statement.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }The private bank Edmond de Rothschild Asset Management is adding to its distribution team in Zurich with the recruitment of Julian Allenbach as senior director of sales. In his new role, Allenbach will concentrate on the development of activities serving institutional and wholesale investors. He will report to Jürg Unteregger, head of sales for German-speaking Switzerland.Allenbach has about 20 years of experience in finance. He was most recently director of the Zurich office of the German asset management firm Feri. He previously developed the distribution network at Carmignac for German-speaking Switzerland and Liechtenstein.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }The DS Investment Solutions company, founded in 2016 in partnership with the Primonial group, and specialised in research and development for structured products and funds, on 13 September announced the release of a range of overlay funds aimed at retail and institutional clients. In a context of low interest rates, investors are seeking performance on equity markets as well as protection against potential market declines. “The funds of the ‘Overlay’ range will allow investors to gain exposure to equity markets while benefiting from systematic long-term hedging against the steepest market drops,” Brice Gemino, chairman of DS Investment Solutions, said yesterday at a press presentation.The new range of funds, currently composed of two equity funds, both with the same hedging mechanism, is the result of a collaboration between three players: VIA AM, with recognised expertise in the area of equity investment strategy, with assets totalling nearly USD800m as of the end of July; Société Générale Corporate & Investment Banking, with eexpertise in the implementation of hedging strategies against market declines and improving performance, and lastly, DS Investment Solutions, with its knowledge of fund distribution.The first fund, Solys O’IncoM, invests in ‘high dividend’ international equities. The companies are selected on the basis of three criteria: growth indicators, valuation, and dividends. Subject to approval by the board of directors, the SOLYS O’IncoM fund plans to pay a semiannual dividend corresponding to 3% of its net asset value, or 6% per year.The other fund, O’SmartE, invests in European ‘high potential’ equities. Companies are selected according to three criteria: growth indicators, valuation, and profitability.“We are delighted to have teamed up with VIA AM and Société Général CIB to offer this new alternative to flexible wealth funds. The systematic hedging mechanism in our ‘overlay’ funds meets the needs of clients for contractual reassurance of the performance of their equity investment in case of a falling market,” says Gimeno.
Après le recrutement de François Collet en qualité d’associé au sein de Raise Ventures (lire NewsManagers du 13 septembre 2018), la société d’investissement Raise poursuit le renforcement de ses équipes avec l’arrivée de Pierre-Edouard de Lamy en tant qu’analyste au sein de Raise Investissement. Agé de 27 ans, l’intéressé sera en charge de l’étude et du suivi des dossiers d’investissement en collaboration avec le reste de l’équipe. Pierre-Edouard de Lamy a auparavant travaillé chez Messier Maris & Associés, au sein de l’activité de conseils en fusions et acquisitions.
Carmignac a annoncé ce 13 septembre la nomination d’un nouveau chef économiste, Raphaël Gallardo. Il sera rattaché à Frédéric Leroux, responsable de l'équipe Cross Asset de Carmignac. Précédemment, Raphaël Gallardo occupait la fonction d’économiste chez Ostrum Asset Management (anciennement Natixis Asset Management). Il a débuté sa carrière chez BNP Paribas où il a passé dix ans avant de devenir responsable de la recherche macro-économique chez AXA Investment Managers, puis chez Rothschild & Cie Gestion. «Raphaël est un partenaire naturel pour l'équipe Cross Asset, qui est au cœur de l’approche top-down de Carmignac. Son expertise unique dans l’anticipation des cycles et dans la détermination du sentiment du marché sera un véritable atout dans la transposition de nos vues de marchés dans nos décisions d’investissement», commente Frédéric Leroux, responsable de l'équipe Cross Asset chez Carmignac, cité dans un communiqué.
La société de gestion française Carmignac a annoncé jeudi 13 septembre la nomination d’un nouveau chef économiste, Raphaël Gallardo. Il reportera à Frédéric Leroux, responsable de l'équipe Cross Asset de Carmignac. Précédemment, Raphaël Gallardo occupait la fonction d’économiste chez Ostrum Asset Management (anciennement Natixis Asset Management). Il a débuté sa carrière chez BNP Paribas où il a passé dix ans avant de devenir responsable de la recherche macro-économique chez AXA Investment Managers, puis chez Rothschild & Cie Gestion.« Raphaël est un partenaire naturel pour l'équipe Cross Asset, qui est au cœur de l’approche top-down de Carmignac. Son expertise unique dans l’anticipation des cycles et dans la détermination du sentiment du marché sera un véritable atout dans la transposition de nos vues de marchés dans nos décisions d’investissement », indique Frédéric Leroux, responsable de l'équipe Cross Asset chez Carmignac, cité dans un communiqué.
Meeschaert Asset Management a annoncé ce 13 septembre la nomination de Nicolas Gautier en tant que directeur de la distribution. Sous la direction de Benoît Vesco, directeur général de Meeschaert Asset Management, Nicolas Gautier prend la responsabilité d’une fonction clé, traduisant ainsi les ambitions de développement de la société de gestion du groupe Meeschaert, plus particulièrement auprès de la clientèle des investisseurs institutionnels (banques privées, multi-gérants, mutuelles, assurances…), souligne un communiqué. Fort de plus de 15 ans d’expérience dans le secteur de la finance, Nicolas Gautier a commencé sa carrière professionnelle chez Société Générale Corporate & Investment Banking où il a développé la clientèle des grands corporates français, puis des institutions financières. A partir de 2006, il a ensuite exercé différentes fonctions commerciales au sein de structures de gestion à taille humaine indépendantes. Il était notamment directeur commercial pour les institutionnels et banques privées chez Convictions AM depuis 2009, avant de prendre la direction commerciale de Auris IM en 2013.
ImocomPartners, société de gestion française spécialiste des «retail park» a annoncé ce jeudi le renforcement de ses équipes avec la nomination de Marion Cheguillaume et de Soline Le Corre respectivement aux postes de directeur du patrimoine et directeur de la commercialisation.Marion Cheguillaume, 40 ans, aura pour mission de définir et mettre en œuvre les actions de valorisation des retail park gérés par ImocomPartners. A ce titre, elle assure le pilotage des travaux et des prestataires de property management.Marion Cheguillaume a débuté sa carrière en 2003 chez Cegis, société immobilière de gestion de centres commerciaux, où elle était en charge de la gestion technique et locative. En 2006, elle a rejoint Urbi&Orbi au sein du groupe Sogeprom, en tant que directrice de centres commerciaux. Marion est ensuite devenue directeur d’exploitation des 150 sites commerciaux sous gestion. Elle y a acquis une expérience avérée du property management et de la valorisation d’actifs de commerce. Marion est titulaire d’un DEA en droit privé.Soline Le Corre, 34 ans, rejoint ImocomPartners en tant que directeur de la commercialisation afin d’optimiser l’occupation des retail park et les conditions locatives. Elle animera le réseau de commercialisateurs externes d’ImocomPartners.Soline Le Corre a débuté sa carrière en 2005 comme assistante ingénieur construction au Crédit Agricole Leasing & Factoring. Elle est ensuite devenue négociatrice commerciale chez Immochan puis chez SCC (Shopping Center Company). En 2016, Soline Le Corre a rejoint EOL Commerce en tant que consultante en immobilier commercial où elle a mené à bien avec succès la commercialisation de nombreux retail park. Elle est titulaire d’un Master 2 Aménagement Promotion Construction de l’ESPI.
Inter Invest a annoncé ce 13 septembre le lancement de New Energy, une solution de défiscalisation écologique offrant jusqu'à 18% de rentabilité, selon un communiqué. Cette solution Girardin a pour finalité d’équiper un maximum de foyers des DOM-COM en équipements de production d’énergie renouvelable, les accompagnant ainsi vers une consommation autonome et verte, d’autant que le dispositif Girardin prévoit un taux de réduction d’impôt majoré (52.95% au lieu de 44,12%) pour soutenir le financement de tout équipement de production d’énergie renouvelable. Avec plus de 1,5 milliard d’euros d’actifs financés sous gestion à fin juin 2018, Inter Invest revendique notamment la place de leader de l’investissement Girardin sur les opérations industrielles de plein droit.
L’américain BlackRock a annoncé ce 13 septembre avoir reçu le feu vert de l’Autorité des marchés financiers (AMF) pour créer une société de gestion alternative en France. Le numéro un mondial de la gestion d’actifs souhaite ainsi renforcer ses activités dans l’Hexagone alors qu’approche à grands pas la sortie l’an prochain du Royaume-Uni de l’Union européenne. Déjà en mai dernier, BlackRock avait indiqué réfléchir à un tel projet mais ajouté que rien n'était encore arrêté. Puis, début juillet, une source proche de BlackRock avait indiqué à Reuters que le gestionnaire d’actifs voulait renforcer ses effectifs à Paris et y implanter une activité de gestion alternative dont les fonds, potentiellement de droit français, seraient vendus partout en Europe."Cette nouvelle entité s’inscrit dans notre stratégie de croissance de notre activité de gestion alternative et dans nos efforts de développement d’une plate-forme différenciée au service de nos clients dans le monde entier, et en particulier en France», explique BlackRock dans un bref communiqué. «Il s’agit d’une étape significative, permise par le succès de BlackRock en France et en Europe. Cette étape s’appuie sur la volonté d’être reconnu comme un acteur local dans chacun des pays où nous opérons», conclut le communiqué.Contacté, BlackRock n’a pas souhaité donner plus de détails sur les modalités de cette opération. Le bureau parisien de BlackRock compte aujourd’hui environ 35 personnes qui vendent à la fois des fonds passifs et actifs. Des gérants sont aussi présents déjà Paris pour le gestion infrastructures. La succursale, dirigée depuis 2015 par Stéphane Lapiquonne, s’adresse à la clientèle institutionnelle et retail.
Jean-Pascal Meyre rejoint Saint Olive et Cie, société de gestion de portefeuille, filiale de la Banque Saint Olive, pour prendre en charge l’allocation d’actifs et la relation avec les investisseurs institutionnels.Jean-Pascal Meyre, quarante-six ans, diplômé de l’Université de Cambridge et de l’université de Lyon II, a débuté sa carrière en 1998 chez Deutsche Bank à Londres puis à Paris dans l'équipe dérivés actions. En 2004, il rejoint Goldman Sachs et en 2009 il est nommé «managing director». Il est spécialiste des obligations convertibles.