BNY Mellon on 25 September announced that it has been selected by the South Korean pension fund National Pension Service (NPS) as global custodian for its bond mandate. As of the end of June 2018, the pension fund had assets of about USD600bn, with about USD200bn invested internationally in 68 markets. p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent none repeat scroll 0% 0%; }
At the conclusion of a request for proposals, Zencap Asset Management (Zencap AM), an affiliate of the OFI Asset Management group, in 2018 won a mandate to manage a EUR200m fund on behalf of the Arrco assocaition (Association for the complementary employee retirement regime), the asset management firm announced yesterday. Arrco says in a statement that “this is a first fund dedicated to private debt.” The strategy of the fund is to finance French small and mid-sized enterprises (SME) and mid-sized businesses on a five- to seven-year horizon. The dedicated fund will rely on expertise developed by Zencap AM in the corporate financing segment via three editions of open funds. The most recent, Zencap Crédit ETI III, currently on sale, is aiming for a total level of engagements of EUR300m, in addition to EUR200m contributed to the strategy by the Arrco federation, the asset management firm states. At the conclusion of the current round of fundraising, engagements and assets in the corporate financing strategy, including dedicated funds for the Arrco federation, will total EUR1bn, out of a total of over EUR2bn in assets managed by Zencap AM in private debt. p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent none repeat scroll 0% 0%; }
The Swiss asset management firm GAM Investments on 26 September announced the appointment of Juan Landazabal to the newly-created position of global head of trading. Landazabal is based in London, and officially began on 10 September 2018, where he reports to Matthew Beesley, chief investment officer. Landazabal joins from DWS, where he had been global head of bond and currency trading for nearly five years, until his departure at the end of May 2018. Before that, he served for nearly 10 years at Fidelity Investments, in large part as head of bond trading. p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent none repeat scroll 0% 0%; }
The Swiss J. Safra Sarasin group in first half 2018 posted profits of CHF180.6m, up 29% compared with the first half of 2017, the specialist website finews reports. Earnings were up 5.6%, at nearly CHF638m, while costs remained stable. The cost/income ratio has improved to 51.9%, compared with 54.8% in 2017. The specialist website has not released statistics concerning the evolution of flows and assets. As of the end of 2017, assets under management by the group totalled slightly over CHF170bn. p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent none repeat scroll 0% 0%; }
The Swiss consulting boutique Weibel, Hess & Partner (WHP) is planning to continue its expansion, with the recruitment of Roland Christen as head of wealth management. Before joining the consulting firm, Christen had directed the private banking activity at the cantonal bank of Nidwald. Christen will begin in the position on 1 October this year. p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent none repeat scroll 0% 0%; }
Les gérants Sanso IS et Convictions AM ont annoncé jeudi être entrés en négociation exclusive en vue de leur rapprochement. Soumise à l’agrément de l’AMF, l’opération prendra la forme d’une acquisition à 100% du capital de Convictions AM par Sanso IS, dans la perspective d’une fusion prévue au cours du premier trimestre 2019. Les encours sous gestion du nouvel ensemble dépasseront les 900 millions d’euros, dont 750 millions apportés par Sanso IS, avec une équipe de plus de vingt professionnels.
Cassette. Les émissions de dette à moyen et à long terme du Trésor français seront du même montant en 2019 qu’en 2018 : 195 milliards d’euros. Pourtant, les besoins de financement vont augmenter de 30 milliards (passant de 198 à 228 milliards). A cela deux causes, un déficit budgétaire en forte hausse de 81,3 à 98,7 milliards l’an prochain et un montant de refinancement de 130 milliards d’euros (contre 116 milliards pour 2018). Le besoin de financement supplémentaire sera assuré pour une part par des titres courts avec une augmentation du stock de BTF de 15 milliards. Ce dernier n’a cessé de diminuer ces cinq dernières années, les investisseurs rechignant à prendre du papier entre -0,50 % et -0,70 %. La charge de la dette augmentera de 500 millions l’an prochain à 42,1 milliards, prévoit l’AFT. Prenant acte de la fin du programme d’achats de la Banque centrale européenne, l’AFT prévoit large pour ses anticipations de taux : l’OAT 10 ans à 2,15 % fin 2019 et un passage des taux des BTF en positif début 2019.
Fin du soutien fiscal et budgétaire, menaces que fait peser le conflit commercial avec la Chine et quelques autres pays, cycle économique manifestement plus proche de sa fin que de son début, rien n’y fait. Pas moins de 69 % des investisseurs internationaux sont persuadés que les Etats-Unis sont la région la plus favorable en ce qui concerne les prévisions de bénéfices, selon les résultats de l’enquête BoA-Merrill Lynch. C’est un niveau record depuis 17 ans, indiquent les économistes d’Aurel BGC. Les montants astronomiques des rachats d’actions et les indices boursiers au paradis aux Etats-Unis confortent cet optimisme qui confine à la béatitude.
Une guerre commerciale d’accord, mais attention à ne pas mettre en danger ses intérêts vitaux. Dans un premier jet du projet « trumpien », les taxes à l’importation de produits « made in china » intégraient un éventail très large de produits. La dernière mouture a réduit son périmètre et ne contient plus les sièges bébés pour automobiles, les montres connectées et surtout les 17 terres rares indispensables à l’industrie américaine dont la Chine représente 80 % des approvisionnements. On peut jouer les va-t-en-guerre, aller la fleur au fusil affronter les importateurs chinois qui ne respecteraient pas les règles élémentaires du commerce, mais de là à se tirer une balle dans le pied. Tout de même…
Défis. Les nouvelles réglementations vont continuer de représenter le principal défi pour les gérants et investisseurs, selon une étude réalisée par SGSS en début d’année auprès d’une centaine de grands acteurs européens. La faiblesse des taux représente le deuxième souci majeur, c’est même la préoccupation première de plus de la moitié des investisseurs (« asset owners ») et de 40 % des investisseurs alternatifs, certains redoutant une crise immobilière comme effet d’un excès de liquidité. La pression tarifaire devrait rester une difficulté ces prochaines années, les gérants en attribuant l’origine, pour 46 %, à la gestion passive. L’étude analyse les tentatives de réponses à cette solution et fait une large place aux transformations technologiques engagées par les acteurs.
… milliards de dollars. C’est le montant de profits rapatriés par les entreprises américaines au premier semestre dans le cadre de l’exonération fiscale temporaire accordée par l’administration Trump, selon les données de la balance des paiements : 170 milliards au deuxième trimestre, après 295 milliards au premier. Ces rapatriements alimentent pour l’essentiel les rachats d’actions (environ 600 milliards par an depuis 2010). Les « buybacks » devraient atteindre 1.000 milliards de dollars cette année, selon Aurel BGC. Et battre leur record de 2007 : plus de 800 milliards.
Zencap Asset Management (AM) a remporté la gestion d’un fonds de 200 millions d’euros pour le compte de la Fédération Arrco (Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés), a annoncé hier la filiale d’Ofi AM. Obtenu dans le courant de l’année, ce véhicule financera des PME et ETI françaises sur un horizon de 5 à 7 ans. La société de gestion, qui est par ailleurs en train de lever un fonds de 300 millions d’euros, devrait bientôt atteindre un milliard d’euros d’encours dédiés au financement des entreprises sur un total de plus de 2 milliards d’euros gérés par Zencap en dette privée.
Ostrum Asset Management (ex-Natixis AM) va recourir à un dispositif de rupture conventionnelle collective (RCC) pour supprimer 50 postes d’ici à fin 2020, soit 10% de ses effectifs, a déclaré une source syndicale à L’Agefi, confirmant les propos du patron de la filiale française de gestion d’actifs de Natixis dans Les Echos. «La RCC désigne quasiment les individus concernés par les suppressions de postes, qui incluent des 16 postes de gérants d’actifs, principalement dans les taux, le monétaire et les large caps, mais aussi des fonctions de middle office, juridiques et financières», regrette l'élu du personnel. En revanche, la recherche crédit et ‘quant’ n’est pas touchée et des postes seront créés en gestion actions.» Ostrum voudrait réduire ses coûts de 25% d’ici à fin 2020 et a déjà taillé dans les dépenses liées à ses prestataires externes, mais le point de départ et l’ampleur exacte des coupes restent imprécis aux yeux des syndicats. Premier affilié de Natixis IM, la structure faîtière des activités de gestion de Natixis, Ostrum souhaite aussi rationaliser sa gamme pour faire émerger plusieurs fonds phares gérant plusieurs milliards d’euros. Spécialiste de l’obligataire et principalement au service des réseaux de BPCE via l’assurance vie, la société de gestion gérait 315,7 milliards d’euros à fin juin.
A l’issue d’un appel d’offres lancé au mois de février, Zencap AM a remporté la gestion du premier fonds dédié à la dette privée de la fédération Arrco, de 200 millions d’euros. La stratégie du fonds consiste à financer les Petites et Moyennes Entreprises (PME) et les Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) françaises sur un horizon de 5 à 7 ans. «Ce fonds dédié s’appuiera sur l’expertise développée par Zencap AM sur le segment du financement des entreprises à travers trois millésimes de fonds ouverts. Le dernier en date, Zencap Credit ETI III, actuellement en cours de commercialisation, vise un montant d’engagements de 300 millions d’euros, qui s’ajouteront aux 200 millions apportés sur la stratégie par la fédération Arrco», précise la société de gestion dans un communiqué. Au terme de la levée de fonds, les engagements et encours de ZenCap AM sur la stratégie de financement aux entreprises (y compris le fonds dédié pour la fédération Arrco), atteindront 1 milliard d’euros sur un total de plus de 2 milliards d’euros gérés en dette privée. AB.
Lors d’un séminaire organisé par le Réseau d’Administrateurs pour l’Investissement Responsable (RAIR) à l’occasion de la Semaine de la Finance Responsable, Alexis Masse, président du Forum pour l’Investissement Responsable, a déploré l'étroitesse de la démarche ISR des investisseurs français. «La Place travaille à des progrès de méthodologies en matière d’environnement, mais l’aspect social est encore le parent pauvre de la démarche», estime-t-il. Par ailleurs, du point de vue de l’environnement, la question est trop souvent réduite à celle du climat et à celle de l’atténuation, notamment en réfléchissant à des stratégies alignées avec une trajectoire +2°C. «Il y a pourtant une autre dimension à travailler, qui serait l’adaptation au changement climatique, mais nous en sommes encore loin», a souligné Alexis Masse, prônant la définition d’un modèle résilient. Ne pas oublier l’aspect social de l’ISR Mais si des efforts restent à faire du côté de l’environnement, le constat est encore pire d’un point de vue social, que le président du FIR qualifie de «parent pauvre» de la démarche ESG des investisseurs. Pourtant, selon lui, les entreprises dans lesquelles les employés sont heureux (faibles taux d’absentéisme, turnover ou accidents du travail) sont aussi celles qui performent le mieux. Mais les données qui sont envoyées par les entreprises sont “rares et très hétérogènes”, ce qui complique la construction d’une démarche socialement responsable des investisseurs. «Il faudra toutefois, par l’engagement des investisseurs, convaincre les entreprises de transmettre les données pour qu’ils puissent analyser leurs pratiques. Car il y a un intérêt global pour les investisseurs de long terme à trouver les bons indicateurs sociaux”, affirme-t-il. Pour les PRI, le changement climatique est une priorité absolue. “Certains investisseurs ont tendance à cantonner ce sujet à l’environnement, alors que c’est une urgence qui est aussi sociale et liée à la gouvernance», a insisté Marie Luchet, directrice des PRI France. Le réseau souhaite dorénavant travailler sur l’impact pour adresser le changement climatique, tout en étant en dialogue avec les pouvoirs publics et par le biais de coalitions d’investisseurs échangeant avec les émetteurs. Accompagner les entreprises dans leur transformation Mais pour Alexis Masse, pas question de se livrer au désinvestissement massif afin de se délester des énergies fossiles : «Cela serait dangereux car entraînerait une réorientation massive du capital sans accompagner les entreprises dans la transformation de leur modèle». Mais il y a aussi un problème d’acceptabilité. «Allez expliquer à un salarié de Total que vous n’investirez jamais dans la transformation de son entreprise, alors même que sa société souhaite basculer d’un modèle basé sur les énergies fossiles à un modèle plus bas carbone», illustre Alexis Masse avant de résumer : «Si on veut que la transition échoue, il faut désinvestir». Il y a pourtant urgence à agir. «Si nous en restons aux réglementations actuelles, nous nous orientons vers un scénario à +3,7°C», rappelle Marie Luchet. Selon elle, sans accélération de la réorientation des investissements, une réponse politique drastique surviendra entre 2025 et 2030. «Lorsqu’elle arrivera, cela sera beaucoup plus perturbant et dommageable pour les marché que si les acteurs s’en charge dès maintenant de manière progressive». AB.
Zencap Asset Management (AM) a remporté la gestion d’un fonds de 200 millions d’euros pour le compte de la Fédération Arrco (Association pour le régime de retraite complémentaire des salariés), a annoncé ce mercredi la filiale d’Ofi AM. Obtenu dans le courant de l’année, ce fonds est le de l’institution publique dédié à la dette privée, précise le communiqué de Zencap. Ce véhicule financera des PME et ETI françaises sur un horizon de 5 à 7 ans. La société de gestion, qui est par ailleurs en train de lever un fonds de 300 millions d’euros, devrait bientôt atteindre un milliard d’euros d’encours dédiés au financement des entreprises sur un total de plus de 2 milliards d’euros gérés par Zencap en dette privée.
Schroders a annoncé ce 24 septembre le recrutement de Ped Phrompechrut au poste nouvellement créé de «Solutions Manager», spécialiste de l’investissement dans le private equity au sein du pôle Solutions. Basé à Londres, la nouvelle recrue sera rattachée à Neil Walton, responsable des solutions d’investissement.Ped Phrompechrut travaillait précédemment chez Willis Towers Watson où il était responsable «Private Market Solutions». Dans cette fonction, il supervisait toutes les classes d’actifs privés, dont le private equity, l’immobilier, les infrastructures et le crédit privé.Les actifs sous gestion du pôle Solutions s'élèvent à environ 77 milliards de livres à fin décembre 2017.
Newton Investment Management (Newton IM), filiale du groupe BNY Mellon, a annoncé, ce 25 septembre, la nomination avec effet immédiat d’Andrew MacKirdy en tant que gérant de portefeuille au sein de l'équipe en charge de la stratégie « Global Equity income » qui affiche 9,3 milliards d’euros d’encours. L’intéressé travaillera aux côtés du gérant principal Nick Clay, des gérants de portefeuilles Robert Canepa-Anson, Colin Rutter et Raj Shant et d’une équipe de 29 analystes. Andrew MacKirdy, qui compte plus de 20 ans d’expérience dans le secteur de la gestion, rejoint Newton IM après avoir passé six ans chez Polar Capital, où il était associé (« partner »), travaillant notamment au sein de l’équipe en charge des stratégies actions mondiales. Au cours de sa carrière, il a également occupé des postes de gérants chez Lansdowne Partners, Baillie Gifford ou encore Franklin Templeton. Selon le site anglais Investment Week, Andrew MacKirdy remplace ainsi Ian Clark, qui a quitté la société de gestion en août pour devenir associé au sein d’une boutique de gestion dont le nom n’a pas été dévoilé.
L’assureur néerlandais Aegon a annoncé ce 25 septembre son intention de fusionner deux de ses filiales américaines. Concrètement, le groupe néerlandais va fusionner sa captive spécialisée dans les «variable annuities», basée en Arizona, dans Transamerica Life Insurance Company (TLIC). Cette opération, soumise aux autorités de régulation, est susceptible de se traduire par une génération de capital exceptionnelle d’un milliard de dollars ou 851 millions d’euros, indique un communiqué.La décision est liée à une modification de la réglementation américaine sur les fonds propres des «variable annuities», précise le communiqué.
BNY Mellon Investment Management a annoncé ce 24 septembre sa décision d’arrêter les activités d’EACM Advisors, une entité jusqu’ici autonome au sein du groupe et spécialisée dans les stratégies long-only et les fonds de hedge funds, au total quelque 3,9 milliards de dollars sous gestion à fin août 2018. Concrètement, les stratégies de fonds de hedge funds, soit quelque 2,1 milliards de dollars sous gestion, seront fermées aux nouveaux investisseurs et les capitaux existants remboursés progressivement.Il a également été décidé, avec l’approbation du conseil d’administration du fonds, de liquider le fonds Dreyfus Select Managers Long/short, pour lequel EACM est le gestionnaire responsable de l’allocation. Cette liquidation devrait intervenir le ou aux alentours du 30 novembre 2018, précise un communiqué. Les deux mutual funds long only de Dreyfus, pour lesquels EACM est responsable de l’allocation, à savoir Dreyfus Select Managers Small Cap Value Fund et Dreyfus Select Managers Small Cap Growth Fund, dont les actifs sous gestion cumulés atteignent 1,8 milliard de dollars, continueront d'être gérés au sein de BNY Mellon Investment Management."Malgré l’historique de performance d’EACM, la demande de stratégies de fonds de hedge funds a diminué. Suite à une évaluation du marché, nous ne considérons plus la catégorie des fonds de hedge funds comme une offre autonome au sein de notre portefeuille de gestion américain compte tenu des capacités intégrées dont nous disposons par ailleurs», a commenté Des Mac Intyre, directeur général de gestion américain chez BNY Mellon Investment Management et membre du conseil d’administration d’EACM.
La filiale de capital risque de Softbank, Softbank Ventures Korea, s’est associée avec TPG pour lancer un fonds de capital-risque de 300 millions de dollars ciblant la Chine, rapporte le Financial Times. Le fonds se focalisera sur les start-ups chinoises. Naver, le géant de la recherche sur Internet, sera l’un des principaux investisseurs du nouveau fonds. L’équipe actions de croissance de TPG gérera le fonds.