Le gestionnaire d’actifs américain J.P. Morgan Asset Management (J.P. Morgan AM) a annoncé, hier, le lancement, à compter du 16 octobre de trois ETF actions ESG gérés activement et totalement transparents. Ces trois nouveaux fonds seront cotés à la Bourse de Londres (London Stock Exchange), sur Deutsche Boerse Xetra et sur Borsa Italiana, la Bourse italienne. Ces trois ETF sont les suivants : JPM Europe Research Enhanced Index Equity (ESG) Ucits ETF, JPM US Research Enhanced Index Equity (ESG) Ucits ETF et, enfin, JPM Global Research Enhanced Index Equity (ESG) Ucits ETF.Ces trois fonds offriront aux investisseurs la possibilité de disposer de portefeuilles qui répliquent les indices et dont les caractéristiques sont similaires à leurs «benchmarks» respectifs (profil de risque similaire et même cadre de construction de portefeuille, par exemple). En outre, «les investisseurs disposeront d’un avantage informationnel par rapport à un investissement purement passif», ajoute la société de gestion dans un communiqué. De fait, J.P. Morgan AM peut compter sur une équipe de 65 analystes fondamentaux qui apporte aux équipes de gestion de portefeuille des informations précises sur les titres. «En s’appuyant sur cet avantage, les gérants de portefeuille surpondèrent légèrement les titres qu’ils trouvent attractifs et sous-pondèrent légèrement ceux qu’ils trouvent moins attractifs», précise la société.L’indice de référence du fonds JPM Europe Research Enhanced Index Equity (ESG) est le MSCI Europe. Le deuxième fonds, axé sur les Etats-Unis, a comme indice de référence le S&P 500, tandis que le dernier fonds a retenu le MSCI World comme indice de références. « Les trois ETF affiche un ratio total des frais (TER) de 25 points de base », indique J.P. Morgan AM.Par ailleurs, ces fonds intégreront également une approche systématique des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), qui seront intégrés dés le début du processus de décision d’investissement. De plus, ces trois ETF actions gérés activement filtreront les titres en fonction du respect des réglementations et des critères sociaux, environnementaux et de gouvernance. Enfin, les sociétés de certains secteurs, comme par exemple ceux de la fabrication d’armes controversées et du tabac, seront exclues, conclut le gestionnaire d’actifs.La gamme d’ETF de J.P. Morgan AM compte désormais plus de 35 produits totalisant 12 milliards de dollars d’actifs sous gestion à fin septembre 2018.
MFS Investment Management vient de lancer une stratégie sur les obligations municipales américaines fiscalisées, rapporte Private Banking Magazin. Les investisseurs institutionnels peuvent choisir entre un fonds ouvert institutionnel qui prend la forme d’un fonds commun de placement luxembourgeois ou un mandat réservé aux institutionnels. La stratégie investira principalement dans des obligations fiscalisées mais pourra aussi utiliser les opportunités offertes par les obligations municipales non soumises à l’impôt. L’objectif de la stratégie est de battre l’indice de référence, constitué pour 75% de l’indice Bloomberg Barclays Taxable Municipal Bond et pour 25% du Bloomberg Barclays Municipal Bond Index, sur un cycle de marché avec une volatilité comparable à celle de l’indice de référence.Le marché des obligations municipales américaines totalise environ 3.800 milliards de dollars, dont environ 10% d’obligations fiscalisées.
La société de capital-investissement Epiris, basée à Londres, a levé 821 millions de livres pour son premier fonds, rapporte le Financial Times. La société créée il y a deux ans a ainsi dépassé son objectif de 800 millions de livres et réalisé l’une des plus importantes levées de fonds en Europe de ces dix dernières années, souligne le quotidien qui cite des personnes au courant de l’opération. Epiris va concentrer ses investissements sur des sociétés basées au Royaume-Uni et affichant une valeur d’entreprise comprise entre 75 millions de livres et 500 millions de livres. Les montants unitaires devraient se situer entre 40 millions de livres et 150 millions de livres.
Schroders est en passe de remporter la bataille face à BlackRock pour l’un des plus gros mandats en Europe, celui de Lloyds Banking Group d’un montant de 109 milliards de livres, rapporte le Financial Times. Pour appâter Lloyds, la société de gestion britannique lui propose de prendre une participation dans Cazenove Capital, société spécialisée dans la gestion de fortune rachetée il y a cinq ans. Lloyds parallèlement négocie avec Standard Life Aberdeen, qui gère actuellement le mandat, et qui réclame un dédommagement de 250 millions de livres suite à la rupture du contrat.
La société de gestion américaine Guggenheim Investments s’apprête à liquider le fonds Guggenheim Event Driven and Distressed Strategies le 30 octobre prochain, a appris NewsManagers.Cette décision fait suite à une recommandation de Security Investors, le conseiller en investissement du fonds, de fermer et liquider le véhicule en août dernier, indique la société dans une lettre aux actionnaires. Le fonds, géré par Michael Byrum et Ryan Harder, avait moins de 800.000 dollars d’actifs sous gestion en date du 2 octobre 2018 contre près de 3 millions de dollars en juin dernier. Il avait pour objectif d’obtenir des rendements similaires à ceux de stratégies merger arbitrage et distressed.Les encours de Guggenheim Investments s'élevaient à 208 milliards de dollars fin juin 2018.
Le groupe américain BNY Mellon a annoncé, ce 3 octobre, la nomination avec effet immédiat de Avi Shua en qualité de responsable des technologies (« Technology Lead ») pour sa division de gestion de fortune. L’intéressé sera rattaché à Bridget Engel, directrice des systèmes d’information, et à Catherine Keating, directrice générale de la division de gestion de fortune. Il sera également membre du comité exécutif en charge des technologies.Avi Shua arrive en provenance de Goldman Sachs, où il officiait dernièrement en tant que responsable mondial des technologies pour la gestion privée et de fortune. Il a travaillé pendant 25 ans au sein de la banque américaine, notamment au poste de directeur des systèmes d’information de Goldman Sachs Banks USA.
Michael Nadeau a quitté son poste de directeur adjoint de l’information d’Amundi Asset Management et de responsable de la technologie d’Amundi Pioneer aux Etats-Unis, a appris NewsManagers.Il a en effet rejoint la société de gestion Oaktree Capital Management en tant que directeur global de l’information et managing director début octobre. Avant la fusion entre Amundi et Pioneer Investments, Michael Nadeau occupait la fonction de responsable de la technologie chez Pioneer où il a passé plus de cinq ans.Outre son passage chez Pioneer, il a également travaillé pour Boston Financial et Wellington Management.Basée à Los Angeles, Oaktree Capital Management gérait 122 milliards de dollars en date du 30 juin 2018.
BofA Merrill Lynch Global Research a annoncé ce 2 octobre avoir commencé ses travaux de recherche sur le secteur des ETF. Dans un premier temps, le bureau de recherche couvrira plus de plus d’une centaine d’ETF dédiés aux grosses et moyennes capitalisations américaines et aux ETF sectoriels avec une méthodologie de notation propriétaire qui devrait offrir une «valeur supplémentaire» aux clients institutionnels et fortunés de BofA Merrill Lynch.L'équipe de recherche est pilotée par Mary Ann Bartels, responsable de la stratégie ETF chez BofA Merrill Lynch Global Research.
Allfunds vient de renforcer son dispositif en Asie avec le recrutement de trois professionnels basés à Singapour. Oliver Stewart-Malir rejoint la société en tant que directeur des opérations pour l’Asie, après avoir passé 13 ans chez Goldman Sachs. Il y a été, entre autres, Asia Pacific Head of Liquidity & Collateral Operations et Head of Asia for Derivative Projects.Par ailleurs, Vinita Badlani intègre Allfunds en tant que responsable funds group pour l’Asie. Avant cela, elle occupait un poste de direction au sein de Navigator, plate-forme d’investissements d’Aviva. Enfin, Edwin Tan est le nouveau responsable des services clients pour l’Asie. Il vient de Citco Fund Services.Oliver Stewart-Malir et Edwin Tan seront rattachés à Alexis Fosler, manager régional pour l’Asie d’Allfunds, tandis que Vinita Badlani travaille sous la responsabilité de Borja Largo, responsable mondial funds group.
Degroof Petercam France, l’antenne française du groupe belge éponyme, a embauché Laurent Le Grin, l’ancien responsable des obligations convertibles chez Edmond de Rothschild Asset Management, a appris NewsManagers.Selon son profil Linkedin, Laurent Le Grin a rejoint Degroof Petercam France en septembre. Il avait été remplacé par Cristina Jarrin à la tête du département obligations convertibles chez EdRAM le 1er août dernier. Avant de rejoindre EdRAM en 2010, Laurent Le Grin a été gérant d’obligations convertibles senior chez BNP Paribas Asset Management et Fortis Investments. Il a également géré des portefeuilles actions européennes ainsi que des fonds pays.
DWS a annoncé de nouvelles réductions des frais sur des ETF Xtrackers, en l’occurence ceux dédiés aux obligations émergentes libellées en dollar et aux actions européennes. Les frais (TER, total des frais sur encours) de la part non couverte de l’ETF Xtrackers II USD Emerging Markets Bond Ucits passent de 0,35% à 0,25% tandis que ceux du Xtrackers MSCI Europe Ucits ETF tombent à 0,12% contre 0,25% précédemment.En septembre dernier, DWS avait réduit les frais sur quatre parts d’ETF. Depuis le début de l’année, DWS a revu à la baisse les frais sur une quinzaine d’ETF.
Goldman Sachs Asset Management (GSAM) a décidé de renforcer son équipe commerciale à Madrid avec l’arrivée d’Antonio Losada, rapporte le site spécialisé Funds People. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, l’intéressé sera rattaché à Lucia Catalan, directrice général de GSAM pour la péninsule ibérique et l’Amérique latine, et il travaillera aux côtés de Evaristo Moliné sur la commercialisation des produits de la société de gestion. Antonio Losada travaille depuis 3 ans dans les bureaux de Londres de GSAM au sein de l’équipe en charge de la distribution externe pour la péninsule ibérique et l’Amérique.
La société de gestion espagnole Mapfre Asset Management, qui dépend de l’assureur Mapfre, a procédé à l’enregistrement de deux fonds sur le marché français : Mapfre AM Behavioral et Mapfre AM Capital Responsable. NewsManagers a appris que les deux fonds, lancés en juin dernier au sein de la Sicav luxembourgeoise de Mapfre AM, ont reçu l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers pour leur commercialisation en France en date du 21 septembre 2018. Le fonds Mapfre AM Behavioral est investi au moins à 75% en actions tandis que le fonds Mapfre AM Capital Responsable consiste en un portefeuille équilibré d’actions et d’obligations émises par des entreprises publiques ou privées basées en Europe et respectant les standards ISR de Mapfre AM.En novembre 2017, Mapfre avait acquis 25% du capital de La Financière Responsable, boutique parisienne spécialisée sur l’ISR, dans le cadre d’un partenariat stratégique.
La société de gestion suisse Parsumo Capital vient de recruter Marcel Burger en qualité de nouveau membre de l'équipe de direction, responsable de la gestion des relations clients et du développement des activités. La nouvelle recrue aura notamment en charge la mise en place de solutions de prévoyance pour la clientèle des entreprises, une activité qui lui est familière pour l’avoir déjà exercée chez Rothschild Bank à Zurich.Marcel Burger a plus de 25 ans d’expérience dans le secteur de la finance. Outre Rothschild Bank, il a aussi travaillé pendant plus de 13 ans chez Credit Suisse
Omers Ventures, l’entité dédiée au capital risque d’Omers, une des principales caisses de retraite du Canada, a piloté une levée de fonds de 100 millions de dollars américains pour Hopper, l’application mobile de voyage connaissant «la croissance la plus rapide au monde», selon un communiqué de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), l’un des investisseurs historiques deHopper. Les investisseurs actuels, outre la CDPQ, Accomplice, Brightspark Ventures, Investissement Québec, le Fonds TI de BDC Capital de même qu’un nouvel investisseur, Citi Ventures, ont pris part au tour de table, portant le financement total de l’entreprise à ce jour à 184 millions de dollars américains (235 millions de dollars canadiens), dont 75 millions de dollars pour la CDPQ. Le nouveau financement servira à l’expansion de Hopper sur le marché international et à la poursuite de ses travaux de développement en IA. " L’industrie du voyage brasse 1,3 billion de dollars par année; le commerce du voyage en ligne représente à lui seul une part de 662 milliards et les réservations sur mobile représentent une part d’une valeur de 264 milliards de ce marché, explique Frédéric Lalonde, directeur général (CEO) et cofondateur de Hopper, cité dans le communiqué. Alors que le monde poursuit son virage du Web vers le mobile, et tout spécialement vers les applications — on estime que le mobile représente de 70 % à 90 % du temps passé en ligne et que 92 % est consacré à l’utilisation d’applications —, Hopper se trouve dans une position privilégiée pour devenir la destination pour réserver ses voyages. «Hopper a gagné du terrain sur la scène internationale en 2018. L’entreprise compte accélérer cette croissance dans des marchés clés à l’étranger; d’ailleurs, 25 % des ventes de billets viennent déjà de l’extérieur des États-Unis. Des améliorations précoces, mais importantes, apportées au produit (comme l’inclusion de 47 compagnies aériennes à bas prix en Europe) ont mené à une croissance particulièrement accentuée dans la région, avec une augmentation des ventes de 154 % par rapport à l’année précédente. L’Australie, le premier marché ciblé en vue d’un lancement international, a vu ses ventes augmenter de 290 % par rapport à l’année précédente. Les priorités sur le plan de l’expansion internationale comprennent les langues, les devises et la tarification locale des billets d’avion.
AllianceBernstein (AB) vient de recruter Donald Deangelis en tant que directeur marketing pour l’Italie. L’intéressé arrive de Fidelity International, où il dirigeait les activités de communication et de contenu marketing pour l’Italie. « L’Italie est un marché central pour la croissance d’AB dans la zone Europe, Moyen-Orient et Afrique », commente Lynn Mah, responsable marketing EMEA d’AB.
Decalia Asset Management a recruté Edoardo Ravano en tant que responsable de l’activité private banking en Italie. L’intéressé, qui est basé à Milan, a travaillé par le passé pour Goldman Sachs, Morgan Stanley et Bloomberg à Londres. Chez Decalia, il sera chargé d’aider les clients privés de la société dans la gestion de leur patrimoine financier. Decalia AM est une société de gestion genevoise créée en 2014 par d’anciens professionnels de Syz et gérant 3,1 milliards d’euros. En Italie, elle a racheté une boutique qui est devenue sa succursale.
La société de gestion indépendante Vatel Capital, spécialisée dans l’investissement dans les PME cotées et non cotées, a annoncé ce 3 octobre le lancement de son offre IR (impôt sur le revenu) 2018. Elle lance ainsi le FCPI Dividendes Plus n°7. Ce FCPI a pour objectif d’être investi dans des petites et moyennes entreprises innovantes, sélectionnées notamment suivant des critères de maturité, de rentabilité, de potentiel de développement et sur leur capacité à verser des dividendes. Parmi les secteurs d’activité susceptibles d’être privilégiés, on peut citer l’industrie innovante (énergie, secteur naval, matériaux), la santé et le numérique. La souscription au FCPI Dividendes Plus n°7 donne lieu à une réduction d’impôt sur le revenu de 18% en contrepartie d’un risque de perte en capital et d’une durée de blocage de 6 ans maximum.La société ainsi mis au point un nouveau FIP : Corse Kallisté Capital n°11. Son objet principal est d’investir à hauteur de 70 % (minimum) dans une quinzaine de PME familiales corses, principalement dans le cadre d’opérations de capital développement et de transmission, pour des tickets unitaires compris entre 0,5 et 2,5 millions d’euros. Vatel Capital porte une attention spécifique à quelques secteurs particulièrement dynamiques en Corse : santé/dépendance, énergies renouvelables, tourisme, services aux entreprises, et agroalimentaire. La souscription au FIP Corse Kallisté Capital n°11 ouvre droit à une réduction d’impôt sur le revenu équivalent à 38 % de l’investissement en contrepartie d’un risque de perte en capital.Enfin, est proposé également le FIP DOM Mascarin Capital n°2. Il s’appuie sur un réseau de plus de 30.000 TPE et PME basées dans les DOM pour financer des projets de développement dans les secteurs de l’agroalimentaire, le tourisme, les énergies renouvelables et les services aux entreprises. Ce FIP bénéficie des mêmes avantages que les FIP corses avec lesquels il peut être cumulé.
Altamir a décidé de faire évoluer sa politique d’investissement et de prendre des engagements dans deux nouveaux fonds : Apax Development lancé par Apax Partners SAS sur le segment small cap en France et Apax Digital lancé par Apax Partners LLP sur le marché mondial des entreprises à forte composante technologique. Le groupe va souscrire à hauteur de 15 millions de dollars dans le fonds Apax Development et à hauteur de 5 millions de dollars dans le fonds Apax Digital, sachant que ces montants seront investis sur les 3-4 prochaines années. Après l’acquisition en 2017 d’EPF Partners, spécialiste du segment small cap en France, Apax Partners SAS lève actuellement le fonds Apax Development, dont l’objectif est d’atteindre 225 millions d’euros. La stratégie d’investissement consiste à prendre des participations majoritaires dans des entreprises valorisées jusqu’à 100 millions d’euros dans les quatre secteurs de spécialisation d’Apax : TMT, Services, Consumer et Santé. Elle est complémentaire de celle des autres fonds gérés par Apax Partners SAS qui investissent dans des entreprises dont la valorisation est supérieure à 100 millions d’euros. Apax Development a réalisé son premier investissement en mars 2018 dans la société Eric Bompard, leader européen du cachemire.
Credit Suisse a nommé Sinéad Mahon au poste de responsable de son antenne de Dublin. Ces trois dernières années, cette Irlandaise travaillait chez BarclayBank où elle était responsable des opérations (COO) sur le marché irlandais. Elle a également travaillé chez Danske Bank en Irlande pendant environ six ans.Elle va prendre la présidence du comité directeur de l’implantation de Dublin, à la tête d’une équipe de gestion actions EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) d’une centaine de collaborateurs. Elle aura notamment pour mission de mettre en oeuvre le processus de gouvernance révisé tout en renforçant et développant la franchise irlandaise.
Raymond James Asset Management International a annoncé, ce 3 octobre, la nomination de Hanane Carmoun au poste de directrice du développement commercial et marketing. L’intéressée arrive en provenance de Sanso Investment Solutions (Sanso IS) où elle officiait précédemment en qualité de responsable du développement commercial et marketing. Hanane Carmoun compte plus de 15 ans d’expérience dans le secteur de la finance auprès d’une clientèle d’institutionnels et de la distribution. « Cette nomination s’inscrit dans le cadre d’un renforcement de la stratégie commerciale pour porter les nouvelles ambitions stratégiques de croissance du groupe », explique Raymond James Asset Management International dans un communiqué.
BNP Paribas Asset Management a annoncé ce 3 octobre le closing de BNPP AM Euro 2018 B.V., véhicule de titrisation de 411,25 millions d’euros investi dans un portefeuille diversifié de prêts syndiqués à des entreprises européennes. Il s’agit du cinquième closing de la nouvelle génération de CLO (Collateralised Loan Obligation) de BNPP AM, dont trois en Europe et deux aux États-Unis.Le portefeuille se compose principalement de prêts garantis seniors, le solde étant constitué de prêts non garantis, de prêts de second rang et de prêts mezzanine ou d’obligations corporates. 6 catégories de titres sont notées par Moody’s et Fitch Ratings et ont des niveaux de ratings différents, ce qui permet ainsi aux investisseurs de cibler leur investissement en fonction de leurs objectifs de risque/rendement.L’opération, structurée et syndiquée par Citigroup Global Markets, a été réajustée d’une taille initiale de 360,25 millions d’euros grâce à une demande soutenue des investisseurs pendant la phase de placement. Toutes les tranches du CLO ont été placées avec succès auprès d’investisseurs institutionnels principalement européens, américains et asiatiques. Une partie de l’émission a été conservée par BNPP AM, dont la rétention du risque verticale réglementaire, conformément à la réglementation européenne sur les exigences de fonds propres.BNPP AM Euro CLO 2018 est géré par l’équipe Global Loans (au sein du pôle de gestion Dette privée & Actifs réels) de BNPP AM, dirigée Vanessa Ritter et composée de 20 experts dédiés à New York et Paris. Cette équipe est spécialisée dans la gestion de prêts à effet de levier via les comptes gérés et CLO, et est également reconnue en tant que leader pour son expertise en financement des entreprises de taille moyenne en Europe. Elle a notamment lancé le fonds Novo en 2013."Le succès du placement de BNPP AM Euro CLO 2018 confirme notre position de leader du marché des emprunts à effet de levier et notre volonté de devenir un émetteur régulier de CLO. Cette démarche s’inscrit dans notre stratégie globale visant à offrir une gamme complète de solutions de dette privée, en adéquation avec les besoins de nos clients», commente David Bouchoucha, responsable du pôle de gestion Dette privée & Actifs réels de BNP Paribas Asset Management.
Le fonds Echiquier Agressor change de nouveau de gérant. La Financière de l’Echiquier (LFDE) a en effet annoncé, hier, le recrutement de Frédéric Buzaré en qualité de gérant du fonds phare de la société, à compter du 1er octobre 2018. Il remplace ainsi Guillaume Dalibot, qui va quitter la société dans quelques mois, a appris NewsManagers auprès d’une porte-parole de LFDE. Guillaume Dalibot avait lui-même repris la gestion du fonds début 2017 à la suite du départ de Damien Lanternier pour rejoindre DNCA. Par ailleurs, recruté en juin 2017 pour co-gérer Agressor, un fonds qui pèse quelque 955 millions d’euros, Kevin Guillot avait lui aussi quitté la société six mois seulement après sa nomination au sein de La Financière de l’Echiquier. L’intéressé travaillera en étroite collaboration avec Didier Le Menestrel, fondateur de la société de gestion et d’Echiquier Agressor en 1991, précise la société de gestion dans un communiqué. Frédéric Buzaré compte plus de 20 ans d’expérience sur les marchés actions européens, forgée au sein de grands établissements financiers, de la Banque de France au fonds souverain de Singapour, the Government of Singapour Investment Corp (GIC), basé à Londres. Diplômé de l’IEP de Paris et de la Société Française des Analystes Financiers (SFAF), Frédéric Buzaré a débuté sa carrière en 1995 auprès de la Banque de France, puis chez Axa Investment Managers et BNP Paribas, en tant que gérant de fonds actions européennes. En 2007, il gère depuis Bruxelles l’équipe actions de Dexia AM, avant de rejoindre, en 2012, le GIC à Londres, dont il était « senior vice-president » et gérant de fonds actions Europe.
Le coresponsable de la gestion actions européennes d’Edmond de Rothschild Asset Management quitte la société. Après quinze ans passées au sein de la société de gestion, Pierre Nebout abandonne ainsi la responsabilité de plusieurs fonds, dont le fonds Edmond de Rothschild Tricolore Rendement, dont il était le gérant principal. «Nous le remercions pour son engagement et sa contribution au développement de nos activités, et lui souhaitons un plein succès pour ses futurs projets professionnels», a commenté EdRAM dans une note adressée à NewsManagers. Suite à ce départ, Marc Halperin, qui a rejoint le groupe il y a près de 10 ans en tant que Gérant Actions européennes, est nommé co-responsable de la gestion Actions européennes, également placée sous la responsabilité de Philippe Lecoq. Il devient gérant principal du fonds Edmond de Rothschild Tricolore Rendement, aux côtés de François Breton, déjà co-gérant du fonds depuis son arrivée dans le groupe en 2008, et d’Ariane Hayate.
Le conseil d’administration de la SICAV G Fund a décidé le 2 octobre 2018, conformément aux dispositions du prospectus en vigueur, d’activer les restrictions applicables aux souscriptions et conversions (hard-close) du compartiment G Fund Avenir Europe, dédié aux PME européennes. Ainsi, à compter de ce 3 octobre, les parts GC, ICHF, ICHFH, IUSD, IUSDH, NCHF, NCHFH, NUSD, NUSDH, P, OD, R et VC du compartiment G Fund - Avenir Europe sont fermées à toutes nouvelles souscriptions, selon un communiqué publié ce mercredi.G Fund - Avenir Europe a été créé le 12 décembre 2014 pour compléter l’offre de fonds « Avenir » de Groupama Asset Management, fondée sur l’expertise petites et moyennes capitalisations actions. Depuis, les encours sous gestion ont atteint 778 millions au 28 septembre 2018. En un an, le fonds a fait l’objet de plus de 500 millions d’euros de souscriptions nettes (au 30 septembre). Dans ce contexte, «le conseil d’administration de la sicav Fund, en accord avec Groupama Asset Management, a souhaité limiter les souscriptions sur ces compartiments pour protéger les intérêts des porteurs de parts et maintenir l’intégrité de la stratégie d’investissement. L’objectif du hard-close est d’assurer une gestion adaptée des capacités du compartiment et la régularité du niveau de performances. Ceci permet aux gérants de continuer à appliquer leur stratégie avec cohérence et conviction», explique le communiqué.
L’Association française de la gestion financière (AFG) et l’Association française des investisseurs institutionnels (Af2i) viennent de réaliser en commun une nouvelle série de questionnaires standards destinés à améliorer la connaissance que peuvent avoir les investisseurs des sociétés de gestion de portefeuille (SGP) et de leurs offres. Plus d’une vingtaine de sociétés de la Place de Paris se sont réunies afin de former un groupe de travail dédié à la refonte des questionnaires standards mis à disposition depuis 2012 par l’AFG et l’Af2i au service des clients (institutionnels ou sélectionneurs de fonds) dans le cadre de procédures de due diligences. Ils ont été présentés le 2 octobre aux SGP et aux investisseurs. Le premier questionnaire vise à présenter la société de gestion, le deuxième détaille les caractéristiques du fonds d’investissement ouvert proposé, le troisième comporte des informations spécifiques en cas d’appel d’offres. Ils intègrent désormais de nouveaux aspects tels que les nouvelles contraintes réglementaires ou les problématiques liées à l’investissement socialement responsable. Comme les questionnaires précédents élaborés en 2012 dans le cadre de la Charte SGP investisseurs entre l’AFG et l’Af2i - qui reste d’actualité - l’objectif est de disposer de questionnaires standards pouvant être complétés par le plus grand nombre d’acteurs et pérennes dans le temps (ex : mise à jour trimestrielle voire semestrielle). Ces « due diligences » de Place standardisent les principales questions que se pose un investisseur institutionnel lorsqu’il entre en relation avec une SGP. Elles ont aussi pour vocation de faciliter l’entrée en relation SGP-Investisseur, lorsqu’ils envisagent de travailler ensemble. Les sociétés de gestion de portefeuille souhaitant proposer une offre aux investisseurs institutionnels tiendront ces éléments à disposition.
L’univers des gérants alternatifsfrançais s’agrandit avec l’arrivée d’Anaxago Capital. La société fait partie du groupe Anaxago, plateforme de financement participatif en capital dédiée aux secteurs de l’innovation et de l’immobilier en France. Anaxago Capital a obtenu son agrément de société de gestion de portefeuille de l’Autorité des Marchés Financiers le 21 septembre dernier pour gérer des fonds d’investissement alternatifs. La société se développera sur trois classes d’actifs alternatives ; à savoir le private equity immobilier, le capital-risque et la dette privée ; afin de soutenir le développement de petites et moyennes entreprises françaises et européennes. « La création d’une société de gestion de portefeuille est une étape logique dans notre développement. Depuis notre lancement en 2012, nous avons levé plus de 105 millions d’euros pour financer 188 projets. Nos investissements sont de l’ordre de 500.000 euros à deux millions d’euros via la plateforme. Or les besoins de financement sont de plus en plus importants et la demande des investisseurs institutionnels pour nos produits s’accroît fortement car ils cherchent à se diversifier. Disposer d’une société de gestion va nous permettre de répondre à la fois aux opérateurs qui ont des besoins de financement pouvant monter jusqu’à 10 millions d’euros et à la demande des institutionnels, » explique à NewsManagers Joachim Dupont, président d’Anaxago Capital et co-fondateur d’Anaxago. Les produits d’investissements proposés cibleront des secteurs de niche avec fort potentiel de retour sur investissement. « Nous envisageons le lancement de notre premier fonds de private equity immobilier en 2019. Il ciblera les thématiques de la proptech (innovation technologique et transformation digitale dans l’immobilier), de la fintech et de la santé, » indique Joachim Dupont. Anaxago Capital, qui s’adressera tant à la clientèle professionnelle que retail, se compose pour l’instant de trois personnes. Sabrina Lenczner, avocate de formation, spécialisée en droit bancaire et financier, ayant exercé au sein de l’AMF, a notamment rejoint la jeune société en qualité de directrice générale en charge de la conformité et du contrôle interne. Un gérant sera recruté au cours des prochains mois. Les autres co-fondateurs de la plateforme, François Carbone et Caroline Lamaud, restent dirigeants d’Anaxago, qui compte une trentaine de collaborateurs. Anaxago Capital espère atteindre 200 millions d’euros d’actifs sous gestion d’ici à fin 2020.
Epsor, fintech spécialisée en épargne salariale lancée fin septembre, doit annoncer ce matin le référencement de plusieurs fonds Schelcher Prince Gestion et Federal Finance Gestion, entités d’Arkéa Invesment Services. Schlecher Prince Gestion référencera progressivement des fonds obligataires court terme, moyen-terme ou flexible, afin de couvrir les différents horizons de placement des épargnants. « Nous sommes convaincus que l’épargne salariale représente un dispositif fondamentalement attractif et efficace pour les chefs d’entreprise et les salariés. Nous nous réjouissons de l’apparition de nouveaux acteurs digitaux innovants dans ce secteur et sommes très heureux d’être associés à l’aventure Epsor en proposant notre offre de gestion financière », déclare Sébastien Barbe, président du directoire d’Arkéa Investment Services.
The US asset management firm J.P. Morgan Asset Management (J.P. Morgan AM) has announced the launch of three fully transparent, actively managed ETFs as of 16 October. The three new funds will be listed on the London stock exchange, Deutsche Boerse Xetra, and Borsa Italiana, the Italian stock exchange. The three ETFs are: PM Europe Research Enhanced Index Equity (ESG) Ucits ETF, JPM US Research Enhanced Index Equity (ESG) Ucits ETF, and JPM Global Research Enhanced Index Equity (ESG) Ucits ETF. The three funds will offer investors index-based type portfolios which have characteristics similar to their respective benchmark indices (same risk level, same portfolio construction framework, etc.), while offering further information, unlike a purely passive investment, the asset management firm says in a statement. The benchmark index for the JPM Europe Research Enchanced Index Equity (ESG) fund is MSCI Europe. The second fund, focused on the United States, has the S&P 500 as its benchmark index, while the third fund selects the MSCI World as its benchmark index. “The three Etfs have fees of 25 basis points,” J.P. Morgan AM adds. The funds also integrate a systematic approach to environmental, social and governance (ESG) factors, which will be integrated from the start of the investment decision. p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent none repeat scroll 0% 0%; }
Geneva-headquartered asset manager Pléion, formerly known Plurigestion, has named Benoît Derwael as chief investment officer. At Pléion, Derwael will oversee a six-person unit and will be responsible for taking over the firm’s investment office and strengthen it to address the development of the firm.As CIO, he replaces Stephan Germann who had been recruited less than a year ago from Banque Syz.Derwael joins from Pentagram Wealth Management where he was senior portfolio manager and managing director during five years. Prior to that, he held roles of investment adviser at Julius Baer and of senior portfolio manager at ING.