Selon l’ACPR, les assureurs détiennent en moyenne 69% d’obligations dans leur portefeuille d’actifs, 76% selon l’Af2i. Ce fort pourcentage ne les empêche cependant pas de changer le profil de leurs placements. Mikaël Cohen, directeur des investissements au sein de CNP Assurances, l’explique dans le numéro 1261 d’Option Finance. « Auparavant, nous investissions très largement en obligations souveraines et nous diversifions une partie du portefeuille avec des emprunts corporates, détaille-t-il. Aujourd’hui, nos investissements obligataires sont composés à parité entre des obligations souveraines et corporates, mais compte tenu des montants que nous devons investir chaque année - entre 25 et 30 milliards d’euros - , nous sommes limités par la profondeur de marché des émetteurs privés, ce qui rend plus difficile la mise en place de nos placements. »
Lactalis a lancé un appel d’offres dans l’optique de sélectionné des gérants diversifiés pour un montant total de 278 millions d’euros. Il s’agit de trois lots respectivement de 170, 38 et 70 millions d’euros. Lot 1: TCCP + gestion de tête des FCPE dédiés (monétaire, allocataire et Poche Solidaire) Lot 2: OPCVM ouverts obligataires (2 OPCVM retenus) Lot 3: OPCVM ouverts actions (2 OPCVM retenus). L’entreprise est conseillée par EPS Partenaires
State Street, le deuxième conservateur d’actifs au niveau mondial, a fait état d’un recul de 22% de son bénéfice net au premier trimestre. Les charges d’exploitation du groupe ont progressé de 11%, dont 5% pour les dépenses de personnel, et State Street a aussi enregistré des frais liés aux suppressions de postes annoncées lors des précédents trimestres. Le coefficient d’exploitation du groupe américain est d’environ 80%.
Ralph Hamers, PDG du groupe néerlandais, a indiqué qu’ING allait entrer au capital d’Euronext dans le cadre du noyau dur que la Bourse européenne cherche à constituer. Cette participation serait moins importante que celle des banques françaises. Vendredi, le quotidien De Tijd écrivait par ailleurs que la banque KBC étudie elle aussi une entrée au capital, de même que la Belgique, qui pourrait investir entre 50 et 100 millions d’euros sous certaines conditions.
Le fonds d’investissement Starwood Capital aurait trouvé un accord avec un autre fonds américain, Mount Kellett, pour lui vendre l’hôtel Meridien situé Porte Maillot à Paris, écrit vendredi le Figaro. La transaction atteindrait 300 millions d’euros pour ce qui est le plus gros hôtel de France par le nombre de chambres. Starwood Capital avait mis en vente l’hôtel dès l’automne 2011 mais en attendait alors 350 millions. Mount Kellett a racheté l’an dernier à Accor un Sofitel situé près de la place de la Concorde à Paris.
Banca Euromobiliare, la banque privée du groupe italien Credem, a recruté Luca Gandino en tant que banquier privé pour la région Lombardie, rapporte Bluerating, citant MF. L’intéressé vient d’Azimut.
Les actifs sous gestion du suisse Gottex Fund Management (GFM) s’inscrivaient fin mars à 8,6 milliards de dollars, en progression de 7% par rapport à fin décembre 2013 sur une base comparable, selon un communiqué publié le 24 avril. Les apports de la fusion avec EIM Group sont compris dans ce chiffre, précise le gestionnaire de fortune spécialisé dans les hedge fonds.En excluant les actifs de la plateforme de comptes gérés, les actifs sous gestion ont progressé de 14% à 8,12 milliards de dollars, contre 7,11 milliards de dollars à fin décembre 2013. La collecte nette totale s’est élevée à 630 millions de dollars.
Threadneedle Investments élargit son champ d’action. Le gestionnaire d’actifs britannique vient en effet de lancer un fonds «growth and income» dédié aux pays développés d’Asie, son premier véhicule à être géré directement dans la région, dévoile Asian Investor. Trois autres produits seront également lancés le mois prochain. Baptisé Threadneedle (Lux) Developed Asia Growth and Income, ce fonds sera co-géré par Ng SooNam, responsable des actions asiatiques, et Christine Seng, gérante de fonds actions asiatiques. Avec le lancement de ce produit, Threadneedle rejoint ainsi JPMorgan Asset Management et Schroders qui ont déjà des fonds «Asian Income» disponibles depuis quelques années dans la région, précise le site d’information. Ce nouveau véhicule investira principalement dans des valeurs cotées ou domiciliées dans les marchés développés d’Asie-Pacifique (hors Japon) ou dans des entreprises qui génèrent la plus importante part de leur activité dans ces marchés. L’équipe d’investissement de Threadneedle basée en Asie, sa première en dehors des Etats-Unis et du Royaume-Uni, compte aujourd’hui 11 personnes dont 5 collaborateurs en charge des actions à Singapour et 6 autres couvrant l’obligataire depuis la Malaisie et Singapour.
Les investisseurs suédois dans les fonds ne sont plus que 2 % à penser que la Russie et l’Europe de l’Est sont à privilégier sur un horizon de 5 à 10 ans, contre 4 % en janvier et un peu plus de 5 % en novembre 2013, montre un baromètre de SBAB cité par Privata Affärer. Cette désaffection, qui s’explique probablement par les événements en Ukraine, profite aux fonds actions suédoises et nordiques.
Le groupe ABC arbitrage a fait état pour le premier trimestre d’un rythme d’activité qui progresse en comparaison des mêmes périodes 2013 et 2012, sans toutefois retrouver les niveaux connus en 2011. Le mois d’avril retrouve des caractéristiques de marché similaires aux exercices 2012 et 2013, moins favorables aux activités du groupe.Durant la période sous revue, les fonds d’investissement gérés par la société de gestion ABC arbitrage Asset Management affichent toujours des performances en dessous des attentes de rentabilité du groupe. Les actifs sous gestion s’établissent au 1er avril 2014 à 253 millions d’euros. Le 1er avril 2014, le groupe ABC arbitrage a étoffé son offre de gestion pour compte de tiers en ouvrant un fonds d’investissement de droit irlandais, ABCA Implicity Fund.
Le gérant du fonds Standard Life Investments European Equity Growth, Jaime Ramos-Martin, a donné sa démission, rapporte Money Marketing. Kay Eyre, gérant adjoint du fonds, va en reprendre les commandes, tandis que Stan Pearson, responsable des actions européennes, sera gérant adjoint.
Dans le secteur des ETF, le développement des produits smart beta est très positif pour les gestionnaires d’actifs disposant d’activités dans ce domaine, selon une étude que vient de publier l’agence Moody’s («Promising Futures: Smart Beta Product Evolution Will Benefit Certain ETF Providers»). Parmi les fournisseurs susceptibles de profiter de cette tendance figurent notamment Invesco et BlackRock, estime Moody’s qui mentionne également Guggenheim dont la majorité des ETF sont basés sur de l’indexation non traditionnelle.Après une progression de leurs actifs de 24,6% l’an dernier, les ETF devraient continuer de croître cette année avec de nouvelles stratégies d’investissement, dont le smart beta, actuellement le segment qui enregistre la plus forte croissance au sein de l’univers des ETF. Les actifs sous gestion des six principaux acteurs du smart beta affichent une hausse de 43% sur une base annualisée, relève l'étude.NYSE Liffe a récemment lancé une série de contrats de futures smart beta basés sur les indices de facteurs de MSCI. Bien que le smart beta ne représente que 19% du total des encours d’ETF, le lancement de ces contrats a renforcé la crédibilité institutionnelle et le niveau d’acceptation de cette approche d’investissement, souligne l'étude.
ING Investment Management (ING IM) vient de débaucher deux gérants de Petercam Institutional Asset Management afin de renforcer son équipe dédiée aux stratégies de dividendes, révèle Citywire Global. De fait, Kris Hermie et Moudy El Khodr ont récemment rejoint la société de gestion néerlandaise, une société qu’ils avaient pourtant quittée respectivement fin 2010 et mi-2011.Dans leurs nouvelles fonctions, Moudy El Khodr et Kris Hermie compléteront la boutique Equity Value d’ING IM, placée sous la responsabilité de Nicolas Simar. Dans le détail, Moudy El Khodr se voit confier la gestion du fonds ING (L) Invest US High Dividend, dont il était déjà le principal gérant lors de son précédent passage chez ING IM. Pour sa part, Kris Hermie a été nommé gérant du fonds ING (L) Global High Dividend, véhicule sur lequel il avait travaillé quand il était lui aussi chez ING IM.
Bon début d’année pour la gestion d’actifs de CaixaBank. Au cours du premier trimestre 2014, sa filiale dédiée, InverCaixa, a enregistré une progression de 6,3 % de ses actifs sous gestion pour s’établir à 29,7 milliards d’euros, selon les résultats trimestriels publiés par la banque espagnole le 24 avril. «InverCaixa a consolidé ses positions sur le marché», juge le groupe bancaire qui évoque «une activité commerciale intense» sur les trois premiers mois de l’année. Cependant, CaixaBank ne dévoile aucun chiffre concernant la collecte nette d’InverCaixa au cours du trimestre écoulé.Par ailleurs, la banque espagnole a fait état d’une collecte brute de 362 millions d’euros sur ses plans de retraite au premier trimestre, soit une progression de 21 % en l’espace d’un an.Sur le trimestre écoulé, le groupe CaixaBank a toutefois publié un résultat net en chute de 54,6 %, à 152 millions d’euros en raison d’éléments exceptionnels.
Lors de la présentation, le 24 avril, de ses résultats trimestriels, Banco Sabadell a annoncé que les actifs dans les fonds de placements collectifs ont atteint 12,3 milliards d’euros au 31 mars 2014, soit une croissance de 37,1 % sur un an. Par ailleurs, les encours des fonds de pension commercialisés par le groupe s’élèvent à 4,3 milliards d’euros, en progression de 15,6 % par rapport au premier trimestre 2013.A l’issue du premier trimestre 2014, le groupe Banco Sabadell a dégagé un résultat net de 81,2 millions d’euros, en hausse de 58,8 % sur un an.
Les actifs sous gestion de BNY Mellon ont atteint le niveau record de 1.620 milliards de dollars au 31 mars 2014, en hausse de 2% par rapport au quatrième trimestre 2013 et de 14% par rapport au premier trimestre 2013, selon les chiffres publiés par le groupe américain. La collecte de long terme a totalisé 21 milliards de dollars durant la période sous revue.Les actifs sous administration ont de leur côté atteint 27.900 milliards de dollars à fin mars 2014, en hausse de 1% d’un trimestre sur l’autre et de 6% sur un an.Le groupe a fait état pour le premier trimestre 2014 d’un bénéfice net de 661 millions de dollars, soit 0,57 dollar par action ordinaire, après une perte de 266 millions de dollars ou 0,23 dollar par action au premier trimestre 2013.
A quelques encablures de la date butoir pour déposer une offre, six candidats seraient en lice pour le rachat du gestionnaire d’actifs américain Russell Investments, propriété du groupe Northwestern Mutual dont le projet de cession a filtré début janvier (Newsmanagers du 9 janvier 2014), rapporte MutualFund Wire.L’agence Reuters a identifié quatre offres, la première émanant des deux capital investisseurs CVC Capital Partners et Silver Lake, la deuxième de deux autres sociétés de private equity, Warburg Pincus et TPG Capital, la troisième de la banque canadienne CIBC et enfin la quatrième du fournisseur d’indices MSCI. Mais MSCI ne s’intéresserait qu'à l’activité «indices» de Russell alors que les trois autres souhaitent acquérir la totalité des activités du groupe.Reuters évalue le coût de la transaction à environ 3 milliards de dollars, soit 0,86% des actifs sous gestion de Russell Investments qui s'élèvent à 259 milliards de dollars.
BNP Paribas Securities Services annonce le recrutement de Jamie Pratt qui occupera le poste de head of sales Amériques sur les marchés de dette. Cette nomination fait suite au lancement par la banque, l’an dernier, des services payants pour les émetteurs sur le marché monétaire américain. Jamie Pratt travaillait jusqu’alors pour Barclays Capital où il dirigeait le département des financements structurés de la banque à New York.
Bill Daley, l’ancien chef de cabinet de la Maison Blanche, va rejoindre le hedge fund Argentière Capital, créé l’an passé par les dirigeants de la division de trading pour compte propre de JPMorgan, rapporte le Financial Times. Basé à Chicago, il va aider à piloter l’expansion du fonds américain, dont l’encours actuel est de 500 millions de dollars. Il fournira aussi des conseils macro-économiques et politiques.
Avenir Finance a annoncé le 24 avril la conclusion d’un accord avec le groupe Inovalis en vue de l’intégration de la globalité des activités de services immobiliers (France et Allemagne) de ce dernier. Après avoir déjà renforcé son pôle de distribution, le groupe Avenir Finance, qui a par ailleurs fait état d’une très forte progression de son chiffre d’affaires à près de 12 millions d’euros, élargit ainsi son offre de services immobiliers et ses axes de développement. Inovalis est un groupe immobilier indépendant international qui a développé deux activités principales : l’une en tant qu’investisseur et gestionnaire de fonds spécialisés en immobilier, la seconde en tant que prestataire de services immobiliers.Compte tenu de la complémentarité entre les métiers d’Avenir Finance et les services immobiliers du groupe Inovalis, le rapprochement des entités permettrait de bénéficier de fortes synergies. Le groupe Avenir Finance disposerait ainsi d’une chaîne de métiers enrichie, complète et globale à destination de clientèles institutionnelles et privées : une typologie et une capacité de production immobilière accrue, une offre produits enrichie et une volonté de développement international avec, d’ores et déjà, une présence opérationnelle en Allemagne et en France, selon le communiqué.Inovalis apporterait la pleine propriété de l’intégralité des actions de Réalista, Inoprom, Inovalis AM et Inovalis PM et de leurs filiales à Avenir Finance.L’opération serait réalisée sous forme d’apport à titre pur et simple de l’intégralité des actions de Réalista, Inoprom, Inovalis AM et Inovalis PM à Avenir Finance. Dans ce cadre, la société Avenir Finance serait valorisée 30 millions d’euros et les sociétés apportées dans le périmètre de rapprochement 60 millions d’euros.Compte tenu du rapport d'échange convenu entre les parties, Inovalis recevrait, en rémunération de son apport, 5 154 844 actions nouvelles d’Avenir Finance. De ce fait, Inovalis deviendrait l’actionnaire majoritaire d’Avenir Finance à hauteur de 66,66%.En cette qualité, Inovalis aurait la possibilité de proposer la désignation de la majorité des membres du conseil d’edministration d’Avenir Finance. Stéphane Amine, président directeur général d’Inovalis, deviendrait président directeur général d’Avenir Finance. La signature du traité d’apport est programmée pour le 10 juin prochain alors que l’assemblée générale mixte et l’admission des actions nouvelles à la cotation pourrait intervenir le 15 juillet.
Après l’obtention de plusieurs mandats, Caceis a indiqué être désormais leader sur le marché des services de banque dépositaire pour les fonds fermés en Allemagne, selon un communiqué publié le 24 avril. Au cours des 12 derniers mois, Caceis a remporté 24 nouveaux mandats de services de banque dépositaire en Allemagne dans le secteur des fonds fermés auprès d’acteurs reconnus de la gestion d’actifs tels que Doric, Hahn ou encore Signa. La mise en œuvre de la directive relative aux gestionnaires de fonds d’investissement alternatifs (AIFM), en juillet 2013, a récemment donné lieu à une profonde mutation du paysage de la gestion des fonds fermés en Allemagne. Caceis propose aux fonds immobiliers et de private equity, qui investissent notamment dans l’aviation, les énergies renouvelables ou les conteneurs, une gamme de services conformes à la directive AIFM. La restructuration imposée par cette directive, de même que le mouvement en faveur de l’externalisation des activités connexes au cœur de métier des sociétés de gestion, ouvrent à Caceis de nombreuses opportunités pour proposer l’ensemble de ses services, au-delà de la seule fonction de dépositaire de fonds.«La position de leader des services de dépositaire indépendant qu’occupe déjà Caceis auprès des fonds ouverts immobiliers sur le marché allemand nous a permis de nous pencher attentivement sur les besoins des fonds fermés ces dernières années. En outre, les liens solides qu’entretient le groupe Caceis avec l’industrie des fonds immobiliers et de private equity, ainsi que l’expertise de son entité en Allemagne et sa capacité à proposer des solutions personnalisées, ont fortement contribué à ces succès commerciaux auprès des fonds fermés.», explique Holger Sepp, co-directeur de Caceis en Allemagne.
Henderson Group a enregistré au premier trimestre des souscriptions nettes de 2,9 milliards de livres, selon ses derniers résultats en date du 24 avril. Cette collecte a été tirée par la clientèle de particuliers, qui a investi 2,8 milliards de livres, confirmant une tendance amorcée fin 2013. Les flux des investisseurs institutionnels sont restés stables à 113 millions de livres.En termes de classes d’actifs, les investisseurs toutes catégories confondues se sont portés vers les actions européennes et les placements alternatifs, qui ont drainé respectivement 1,25 milliard de livres et 1,06 milliard de livres.Sur les trois premiers mois de l’année, les encours de Henderson ont augmenté de 4 milliards de livres pour s’établir à 79,2 milliards de livres.
JP Morgan Asset Management a remporté un mandat obligataire d’un montant de 12 milliards de dollars, rapporte Financial News. Ce mandat lui a été confié par Resolution Life.
Lloyds Banking Group a annoncé le 24 avril la nomination effective au 23 juin 2014 de Nick Prettejohn au poste de président de Scottish Widows Group, sa filiale de gestion d’actifs récemment acquise par Aberdeen Asset Management. L’intéressé, également nommé directeur indépendant non-exécutif de Lloyds Banking Group, remplace ainsi Lord Norman Blackwell, devenu président de Lloyds Banking Group en avril.Nick Prettejohn officiait jusqu’à récemment au sein de la Prudential Regulation Authority en qualité de directeur non-exécutif. Au cours de sa carrière, il a occupé plusieurs hautes fonctions dans le secteur de l’assurance, ayant notamment été président de Brit Insurance, directeur général du Lloyd’s of London (2010-2013) et directeur général de Prudential UK (2006-2009).
Le britannique Lombard Risk Management, spécialisé dans le reporting réglementaire et les solutions de gestion du collatéral, a annoncé le 23 avril la nomination de John Groetchas en tant que responsable des ventes pour la région «Americas». Basé à New York, John Groetchas sera responsable de la mise en œuvre de la stratégie de développement de la société dans la région. Il travaillait précédemment chez Markit Analytics à New York.
La société de gestion américaine Wellington Management Company est devenue actionnaire de sa concurrente italienne Anima Holding, dont l’introduction en Bourse a eu lieu il y a une semaine, rapporte Milano Finanza. La société américaine détenait au 16 avril 5,256 % du capital de la structure italienne, selon le régulateur italien Consob. Wellington Management gère 869 milliards de dollars d’encours.
Andreas Feller a été promu chez Julius Baer. Il occupe désormais le poste de directeur de la division Investment Advisory en plus de la direction mondiale du conseil en investissement. Ces activités seront fusionnées, a prévenu Burkhard Varnholt, CIO de la banque privée dans un courrier interne cité par Finews.
La société de gestion allemande LBBW Asset Management a lancé un fonds devises à destination des investisseurs institutionnels. LBBW Devisen 1 a comme indice de référence le LBBW FX Carry index et suit une stratégie de carry trade sur les devises internationales. CaractéristiquesISIN: DE000A1W1PS5Frais : 0,92 % par an
Black Tulip Capital a annoncé le 24 avril le lancement du premier fonds d’investissement régulé « pierre-papier américain » pour les investisseurs francophones. L’immobilier résidentiel américain est en forte reprise en 2013, en particulier sur les villes de New York City (+ 18,5%) et de Miami (+ 14,3%). Mais les prix restent encore inférieurs à ceux enregistrés avant la crise de 2007-2009, en particulier dans ces deux métropoles où la demande excède structurellement l’offre. C’est pour bénéficier de cette opportunité que Black Tulip Capital lance cette nouvelle stratégie. Black Tulip Fund II est constitué d’actifs résidentiels diversifiés et à fort rendement. Afin d’apporter un maximum de sécurité aux investisseurs, il est régulé aux Etats-Unis par la Securities & Exchange Commission (SEC).
Directeur général d’Axa IM depuis juillet 2013, Andrea Rossi, qui s’est confié à L’Agefi Hebdo, entend accélérer la croissance de la société à l’international pour développer la gestion pour compte de tiers qui représentait 180 milliards d’euros sur un total de 547 milliards d’euros à fin 2013. Pour ce faire, il a découpé l’activité d’Axa IM en trois zones. Dans les pays où sa part de marché est importante (France, Italie, Suisse, Espagne), la société de gestion d’actifs souhaite segmenter davantage la clientèle et mettre l’accent sur les particuliers, « plus profitables de 40 points de base que les institutionnels ». Dans les pays mûrs où sa présence est faible (Etats-Unis, Canada, Australie, Japon, Royaume-Uni, Suède), elle va se concentrer sur les grands institutionnels.Enfin, elle va renforcer son dispositif sur les marchés émergents dans les zones où Axa est très actif notamment au Moyen-Orient où Andrea Rossi compte activer ses relations pour séduire les fonds souverains. Par ailleurs, Andrea Rossi veut renforcer la notoriété de la « marque Axa IM », en particulier hors d’Europe où le gestionnaire est peu connu, en misant sur la croissance organique. Dans cette optique, le recrutement de 35 personnes est prévu. Aujourd’hui, les institutionnels et les particuliers ne représentent ensemble qu’un tiers des encours d’Axa IM, la part restante provenant de sa maison mère. La société de gestion tente de rééquilibrer la structure de sa clientèle pour augmenter ses revenus, à 60 % issus de la gestion obligataire.