Dans un entretien au quotidien, Michael Spencer, directeur général d’Icap, le principal courtier interbancaire au monde, se dresse contre le projet de rapprochement entre Nyse Euronext et Deutsche Börse. Une opération qui serait «fondamentalement mauvaise pour les marchés» du fait de la situation de monopole à laquelle elle donnerait naissance.
Le quotidien croit savoir de source proche que le hedge fund londien lancé en 2009 Tyrus Capital entend ouvrir un bureau à Monaco. Une partie de l’équipe actuelle rejoindra cette nouvelle implantation, nouveau témoignage clair des craintes grandissantes des fonds alternatifs face au déploiement de nouvelles taxes et réglementations au Royaume-Uni. Les deux cofondateurs de Tyrus resteront à Londres.
En vue de tenir tête dans un contexte mondial de concentration des opérateurs boursiers, les Bourses d’Osaka et de Tokyo poursuivent leurs négociations en vue d’un rapprochement.Le Tokyo Stock Exchange, numéro quatre mondial en termes de volumes de transactions, aurait selon le quotidien nippon formulé une offre d’achat. Une offre qui devrait être rejetée.
Les deux solutions proposées par la Fédération bancaire française pour couvrir les besoins d’Athènes de 2011 à 2014 en rééchelonnant la dette grecque par des échanges de titres reviendraient à placer Athènes en situation de défaut sélectif, a prévenu l’agence de notation Standard & Poor’s. Selon S&P, l’une comme l’autre impliquent des pertes pour les créanciers privés de la république hellénique. «A défaut d’information complémentaire, nous abaisserions probablement la note souveraine grecque à «SD», ce qui indiquerait la restructuration dans les faits d’une partie, mais pas de la totalité, de sa dette obligataire.». Sur les marchés asiatiques, l’euro a touché un plus bas de séance face au dollar aussitôt après cette déclaration. Par ailleurs, aucune décision n’a encore été prise sur le mode de participation du secteur privé au plan d’aide à la Grèce, a annoncé lundi le ministère allemand des Finances.
L’indice Sentix du sentiment des investisseurs de la zone euro s’est accru contre toute attente en juillet pour atteindre 5,3, après être ressorti à 3,5 en juin. Les sept analystes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un repli à 1,2. L’indice Sentix restait sur trois mois consécutifs de recul. L’amélioration de la conjoncture explique en partie cette remontée.
Les prix à la production dans les 17 pays qui forment la zone euro ont diminué de 0,2% au mois de mai, en raison notamment de la baisse du prix de l'énergie. Sur un an, ils affichent une hausse de 6,2%. Les prix à la production avaient progressé en avril de 0,9% par rapport à mars, et de 6,7% par rapport à avril 2010.
La Chine va s’en tenir à une politique monétaire «prudente» en raison des pressions inflationnistes élevées, a annoncé lundi la Banque populaire de Chine, au terme de sa réunion trimestrielle lors de laquelle le cours-pivot du yuan a été porté à 6,44661, un niveau record. La devise chinoise a ensuite rapidement atteint le niveau historique de 6,4599 pour un dollar. Le yuan ne peut évoluer que de 0,5% en hausse ou en baisse par rapport au cours-pivot, défini tous les jours par la banque centrale. Depuis que le yuan a été désarrimé du cour du dollar, en juin 2010, la devise chinoise a pris 5,67% par rapport au billet vert, et 2,13% depuis le début de l’année. La banque centrale chinoise a ajouté qu’elle aurait recours à divers outils pour maintenir le niveau de liquidité et la masse monétaire à des niveaux acceptables.
Alors que le championnat amLeague vient d'avoir un an, Antoine Briant, son concepteur, revient sur les raisons qui expliquent les nettes différences de performances des sociétés de gestion désireuses, en l'occurrence, de séduire les investisseurs institutionnels membre du club amLeague. Dans la compétition, il ne manque finalement que les filiales des grandes banques françaises, même si Antoine Briant veut croire qu'elles finiront par se lancer, comme déjà quelques grands établissements l'ont fait.
L’indice à roulement optimisé à échéance constante de 3, 6 et 12 mois, deux ans et cinq ans (constant maturity) UBS Bloomberg CMCI pour l’agriculture sert de sous-jacent à six nouveaux ETF de droit irlandais en francs suisses, en euros et en dollars qu’UBS ETF plc a fait admettre à la négociation le 27 juin sur la Bourse suisse SIX.Trois de ces produits (UBS ETFs plc - CMCI Agriculture SF A acc CHF, UBS ETFs plc - CMCI Agriculture SF A acc EUR et UBS ETFs plc - CMCI Agriculture SF A acc USD) sont chargés à 0,60 % tandis que les trois autres (UBS ETFs plc - CMCI Agriculture SF I acc CHF, UBS ETFs plc - CMCI Agriculture SF I acc EUR et UBS ETFs plc - CMCI Agriculture SF I acc USD) sont assortis d’une commission de gestion de 0,45 %.Par ailleurs, UBS a lancé les fonds marchés émergents UBS ETFs plc - MSCI Emerging Markets TRN Index SF USD-A, qui est facturé 0,60 %, et UBS ETFs plc - MSCI Emerging Markets TRN Index SF USD-I, chargé à 0,45 %.
Selon The Wall Street Journal, Global Logistics Properties, filiale du fonds souverain singapourien Government of Singapore Investment Corp (GIC) est en concurrence avec The Blackstone Group pour l’acquisition d’un portefeuille de 20 actifs immobiliers industriels situés au Japon et mis en vente par LaSalle Investment Management. Cet ensemble pourrait valoir jusqu'à 140 milliards de yen ou 1,7 milliard de dollars.Ce pourrait donc être le plus gros investissement étranger au Japon depuis les catastrophes de mars et aussi la transaction la plus élevée depuis l’achat du Pacific Century Palace de Tokyo par le fonds immobilier Secured Capital pour 140 milliards de yen en 2009. Les rendements de l’immobilier au Japon sont attrayants pour les étrangers.
La CNMV a octroyé son agrément de commercialisation au fonds obligataire de performance absolue Thames River Global High Yield Bond Fund du britannique F&C (lire notre dépêche du 28 mars), rapporte Funds People. Il s’agit d’un produit coordonné d’une cinquantaine de lignes qui a été lancé en mai et qui est surpondéré sur les émissions européennes à haut rendement. L’objectif de performance est de 10 %, avec une volatilité ex ante de 10-12 %.La souscription minimale est de 10.000 livres/euros/dollars pour la classe de parts retail et de 10 millions pour la classe institutionnelle. La commission de gestion se situe à 1,5 % pour les parts retail et 1 % pour les parts institutionnelles, ce à quoi s’ajoute une commission de performance avec taux butoir et high watermark.
La société de gestion indépendante Sycomore Asset Management, dont les actifs sous gestion s'élèvent à près de 2 milliards d’euros, a annoncé le 1er juillet l’arrivée d’Olivier Mollé au sein de son équipe long/short en tant que gérant du fonds Long Short Conservative, rebaptisé Sycomore Long Short Market Neutral.Olivier Mollé qui travaillait précédemment chez Neuflize OBC Investissements où il gérait depuis 2009 le fonds NOBC Europe L/S. poursuivra cette stratégie de gestion visant à générer une performance absolue en tirant profit des écarts de performance entre les actions d’un même secteur et en couvrant systématiquement son exposition résiduelle par une gestion rigoureuse du risque de marché. Il s’appuiera sur l’équipe de gestion de Sycomore AM en matière d’analyse fondamentale et sur l’outil interne d’aide à la décision SycoValo. Le fonds, à liquidité quotidienne, investira parmi un univers de 300 valeurs de la zone euro.
La WGZ Bank Luxembourg a fusionné le 15 juin avec DZ Privatbank SA et le patron de l’activité banque dépositaire de WGZ, Joachim Wilbois, a été nommé co-directeur général de la société de gestion IP Concept Fund Management, filiale de DZ Privatbank, où il sera l’alter ego de Nikolaus Rummler.Le nouvel arrivant remplace Matthias Schirpke, qui retourne à la DZ Privatbank comme responsable de la division fonds d’investissement.
Mediolanum International Funds a fait enregistrer par la CNMV huit classes de parts du fonds irlandais Mediolanum Coupon Strategy Collection qui est le huitième produit de sa gamme Best Brands et qui sera commercialisé en Espagne par Banco de Finanzas e Inversiones.Il s’agit d’un produit flexible qui investit dans des fonds de revenu et qui distribuera un dividende semestriel. Initialement, le portefeuille composé de produits des plus grandes sociétés de gestion mondiales sera investi à 75 % en fonds d’actions à 15 % en fonds de haut rendement et à 10 % en fonds immobiliers.Dans son prospectus, Banca Mediolanum cite à titre d’exemple 23 des sociétés de gestion partenaires : Aberdeen AllianceBernstein, Axa IM, BlackRock, BNY Mellon AM, DWS Investments, Fidelity, Franklin Templeton, Goldman Sachs AM, Henderson, ING IM, Invesco, JP Morgan AM, M&G, MFS IM, Morgan Stanley, Natixis Global Associates, Pictet, Pimco, RCM, Schroders, T. Rowe Price et UBS.Ce fonds peut monter à 100 % actions et jusqu'à 30 % en immobilier, en obligations convertibles, en haut rendement, en obligations souveraines ou d’entreprises ou en monétaire. La rétropolation montre que, pour la période 2007-2010, cette stratégie aurait généré un rendement annuel moyen du dividende de 5,68 %.
Le 1er juillet, Jaime Echegoyen, directeur général de la banque de détail de Barclays en Espagne (Barclays Global Retail Banking España), et Juan Alcaraz, CEO d’Allfunds Bank ont signé un accord de coopération permettant à Barclays de disposer de la gamme de produits et services proposés par la plate-forme de distribution de fonds d’Allfunds dans le cadre de son nouveau service de gestion discrétionnaire de portefeuilles de fonds pour les clients de Barclays Gestión de Carteras Premier.
Avec le recrutement de Sophie del Campo comme directrice générale de Natixis Global Associates en Espagne, Natixis Global Asset Management vient de renforcer sa distribution en Europe avec une grosse pointure. L’intéressée, qui est désormais subordonnée à Hervé Guinamant, PDG de Natixis Global Associates International, se voit chargée de la responsabilité de la stratégie commerciale et du marketing pour l’Espagne et le Portugal ainsi que d’une fonction de développement stratégique en Amérique latine. sophie del Campo vient de quitter Pioneer Investments dont elle dirigeait les activités ibériques, après avoir été à la tête de l’antenne espagnole de Crédit Agricole Asset Management.Par ailleurs, Christian Rouquerol, qui était le directeur de la distribution en Espagne et au Portugal d’Amundi Iberia, prend la responsabilité des ventes de Natixis Global AM pour la Péninsule ibérique.
Le francfortois Veritas Investment Trust a annoncé le lancement au 1er juillet des fonds de droit allemand ETF-Dachfonds Emerging Markets Plus Money et ETF-Dachfonds Quant. Comme leur nom l’indique et selon la spécialiste-maison, il s’agit de fonds d’ETF.Le premier investit de manière active (0 à 100 % d’actions) sur les marchés les plus prometteurs de l’univers émergent avec une volatilité inférieure d’environ moitié de celle de l’indice MSCI Emerging Markets.Le fonds Quant investit uniquement sur des marchés d’actions et de matières premières qui sont censés connaître une hausse durable en pratiquant une diversification importante du portefeuille. Il se compose de vingt lignes (18 fonds d’actions, 2 fonds de matières premières) équipondérées.Markus Kaiser, directeur général et CIO, a précisé que les deux nouveaux produits sont gérés en fonction du modèle de suivi de tendance développé en interne, avec une actualisation hebdomadaire du portefeuille, sur la base des données de la semaine précédente.CaractéristiquesDénomination : ETF-Dachfonds Emerging Markets Plus MoneyCode Isin : DE0009763326Droit d’entrée : 4 %Commission de gestion : 1,5 %Commission de performance : 15 % sur la performance au-delà de 7 %Agrément de commercialisation : Allemagne, Autriche, FranceDénomination : ETF-Dachfonds QuantCose Isin : DE0005561625Droit d’entrée : 5 %Commission de gestion : 1,5 %Commission de performance : 15 % sur la performance dépassant 5 %Agrément de commercialisation : Allemagne, Autriche
Prudential a décidé de fusionner 17 de ses fonds, des «unit trusts», avec des fonds de M&G dans le courant de l’année prochaine, rapporte Fund Web. Le mois dernier, Prudential avait déjà fusionné cinq unit trusts avec leurs contreparties chez M&G.Cette vague de fusions vise à bien séparer l’assurance du retail. La marque Prudential devrait se concentrer sur les fonds multi-classes d’actifs alors que M&G devrait promouvoir tant les fonds multi-classes d’actifs que les fonds dédiés à une seule classe d’actifs. Une nouvelle série de fusions, non encore arrêtées, devrait être annoncée courant octobre.
Scottish Widows Investment Partnership (Swip) a décidé la fermeture de cinq fonds dans le cadre d’un examen plus large de son offre en actions internationales, rapporte Fund Web.Le Pan European Equity (10,5 millions de livres), le Pan European SRI Equity (14,7 millions de livres) et le Asian Equity (15,2 millions de livres) ferment à la suite de rachats demandés par des institutionnels ayant revu leur allocation dans ces véhicules. Ces rachats vont réduire de façon substantielle la valeur nette d’actif des fonds, de ce fait plus vraiment viable sur le plan commercial. Swip ferme également le Japanese smaller Companies (13 millions de livres) et le US Smaller Companies (25,5 millions de livres).
Selon les milieux financiers italiens, le gestionnaire américain Amber Capital a acheté ces jours derniers en deux blocs des droits de souscription de nouvelles actions Fondiara Sai, rapporte Il Sole-24 Ore.Au terme de l’augmentation de capital devrait détenir aux alentours de 3,5 % de l’assureur, dont il deviendrait le troisième actionnaire de référence après Premafin (41 %) et UniCredit (6,6 %).Amber Capital détient déjà des participations inférieures à 2 % valorisées à un total de 426,7 millions d’euros en Italie, notamment dans Iride, Enia, Cofide et Banca Popolaire di Milano.
La Frankfurter Allgemeine Zeitung constate que les sociétés de gestion françaises Edmond de Rothschild Asset Management (Edram) et Rothschild & Cie Gestion se sont tous deux récemment lancées à l’assaut du marché allemand.Mais Edram (14 milliards d’euros d’encours) a choisi l’option coûteuse d’un bureau à Francfort dans l’Opern Turm avec deux directeurs généraux (Rupert Hengstler, l’ancien patron d’Oppenheim KAG, et Stefan Zayer) et une agence de communication.Rothschild & Cie Gestion (22,4 milliards d’euros) a opté pour une formule plus discrète, sans bureau local et en recourant à un accord de distribution avec max.xs.Des deux côtés, précise le journal, on veille à ne pas monter en épingle la concurrence entre les maisons cousines.
En août, la banque privée Sal. Oppenheim (groupe Deutsche Bank) ouvrira sa dixième succursale en Allemagne, à Hanovre. Elle sera dirigée par Michael Jänsch qui a été débauché avec toute son équipe de Credit Suisse dans la capitale de Basse-Saxe et qui a commencé à travailler pour son nouvel employeur au 1er juillet.
UBS Global Asset Management a obtenu l’agrément de commercialisation en Allemagne du compartiment Energy de la sicav luxembourgeoise UBS (Lux) Equity lancé le 13 mai. Ce produit est confié au gérant de portefeuille James McLellan, qui privilégie les entreprises de services et d'équipement pétroliers (National Oilwell Varco, Baker Hughes, ENSCO et Dril-Quip) par rapport aux grands groupes intégrés. De plus, il parie sur les entreprises comme Ultra Petroleum, QEP ou Williams, qui participent à la mise en exploitation des gisements de gaz naturel en Amérique du Nord. Pour se diversifier, le gérant compte sur les entreprises qui investissent dans les énergies renouvelables.L’objectif du fonds est de surperformer de 250 points de base l’indice MSCI World Energy.CaractéristiquesDénomination : UBS (Lux) Equity Sicav - Energy (USD) P-accCode Isin : LU0622290632Droit d’entrée : 6 %Frais forfaitaires : 1,80 %Droit de rachat : 2 %
Selon Funds People, Isabel Ortega, qui a rejoint Alken Asset Management en 2007 et a été nommée global head of sales, est devenue au 1er juillet associée de la société de gestion, aux côtés de Nicolas Walewski, Antoine Badel et Marc Festa. Ce dernier a été récemment nommé co-head of strategy.
Très prochainement, F&C choisira parmi deux finalistes le sous-traitant auquel il confiera ses fonctions administratives dont le coût sera fonction des encours sous gestion et de l’ampleur des transactions. Cette formule se traduira par une économie annuelle de 12 millions de livres, dont 9 millions liés à la restructuration et 3 millions à la diminution des charges locatives liée à la réduction des effectifs, a indiqué la société le 1er juillet.L’accord d’externalisation concernera environ 110 personnes, soit 70 % des personnels administratifs (donc hors investissement, distribution et service à la clientèle). Une partie importante de ces collaborateurs sera mutée chez le sous-traitant.Cette réorganisation répond au souhait de F&C de se diversifier et d'élargir son activité par rapport à son biais historique de mandats assurantiels, a souligné Alain Grisay, le CEO.
Les actifs sous administration de GlobeOp Financial Services s’inscrivaient à 174 milliards de dollars au 31 mai 2011, en progression de 17% par rapport au 31 décembre 2010 (149 milliards de dollars).
Lors d’une présentation à Paris le 1er juillet, Mark Mobius, l’un des gérants vedettes de Franklin Templeton, a indiqué que depuis le début de l’année le Templeton Emerging Markets Group, à lui seul (donc en dehors des autres divisions du groupe) a enregistré des souscriptions nettes d’environ 20 millions de dollars par jour.L’encours se situe à quelque 54 milliards de dollars, dont 60 % en Asie (dont 11 % pour l’Inde), 15 % en Amérique latine (dont 11 points pour le Brésil) et 15 % également en Amérique latine. L’Europe du Sud et l’Afrique représentent chacune 2 % du portefeuille, et le Moyen-Orient, 1 %.Les flux de la clientèle se sont surtout portés sur le fonds Chine, sachant que le compartiment correspondant de la sicav luxembourgeoise pèse presque 2,36 milliards de dollars à fin mai, devant le fonds Asie (17,93 milliards), le fonds marchés émergents mondiaux (1,31 milliard) et le fonds marché frontière (1,13 milliard).Mark Mobius a également souligné que le taux de rotation des portefeuilles de son groupe est très bas, en dessous de 20 %.D’une manière générale, le gérant-star de Franklin Templeton est confiant pour l’avenir des pays de sa «juridiction». D’abord, l’offre et la demande de capitaux sont équilibrés, ensuite la croissance est forte et le ratio dette/PIB faible, enfin les valorisations sont raisonnables. Les grands thèmes retenus sont ceux de la consommation, qui va augmenter avec les revenus et grâce à la faiblesse de l’endettement des ménages, et des matières premières. Les deux risques majeurs, en revanche, sont l’expansion monétaires et la prolifération des dérivés.