Selon Mutual Fund Wire, Precidian Investments (anciennement Next Investments) a lancé ce qu’il affirme être le premier ETF coté aux Etats-Unis répliquant l’indice japonais Nikkei 225. Ce Maxis Nikkei 225 Index Fund est assorti d’un taux de frais sur encours de 0,50 %. Les fonds est «sous-conseillé» par Northern Trust. Precidian a obtenu de Mitsubishi UFJ Asset Management l’exclusivité de l’utilisation du Nikkei 225 pour les Etats-Unis.
Après le Credit Suisse 130/30 et le RAFI Long/Short, le gestionnaire américain ProShares (26 milliards de dollars) a annoncé le 14 juillet le lancement d’un troisième produit de la gamme Alpha ProShares, le ProShares Hedge Replication ETF dont l’acronyme sur la plate-forme NYSE Arca est HDG.Ce nouveau produit utilise la méthode de réplication des hedge funds adoptée par Merrill Lynch en adoptant comme indice de référence le Merrill Lynch Factor Model - Exchange Series (MLFM-ES).Le taux de frais sur encours est fixé à 0,95 %.
Le 8 juillet, Charles Schwab a notifié à la SEC que Schwab ETFs a lancé un nouveau produit obligataire, le Schwab US Aggregate Bond ETF, chargé à 0,10 %.Il s’agit du 14ème ETF de ce promoteur qui gérait fin juin 4,4 milliards de dollars sur ce segment.
JPMorgan Chase a annoncé le 15 juillet la cession à la Banque canadienne impériale de commerce (CIBC en anglais) des 41 % qui lui restaient dans le gestionnaire de mutual funds American Century Investments (112 milliards de dollars fin juin) pour environ 848 millions de dollars en numéraire.Arithmétiquement, CIBC paie ainsi l'équivalent de 1,84 % des encours correspondant à la participation ainsi acquise. La transaction devrait être bouclée sous 60 à 90 jours.La CIBC aura deux représentants sur dix au board d’American Century Investments. Outre sa participation économique de 41 %, le groupe canadien disposera également d’un droit de vote de 10,1 % dans American Century.
Russell Investments a annoncé le 14 juillet que l’Alaska Permanent Fund Corporation (APFC) a sélectionné le Russell Fundamental Developed Large Company Index comme référence pour un mandat d’actions internationales «quasi-passif» lancé le 1er juillet et portant sur 640 millions de dollars. APFC a converti le mandat existant qui se fondait sur une pondération par les capitalisations, géré par State Street Global Advisors (SSgA).L’indice retenu à présent fait partie de la gamme présentée il y a près de cinq mois par Russell et Research Affiliates (lire notre article du 28 février) et fondée sur la méthodologie mise au point par Research Affiliates qui prend en compte les critères fondamentaux des entreprises et non leur capitalisation.
Le conseil d’administration du gestionnaire d’actifs Eaton Vance Corp (200 milliards de dollars d’encours) a décidé le 15 juillet de servir un dividende trimestriel de 18 cents par action.Il a surtout autorisé le rachat d’au maximum 8 millions d’actions sans droit de vote. En vertu de l’autorisation du 15 janvier 2010, Eaton Vance a déjà racheté 6,7 millions d’actions.
Alors que les actionnaires des deux opérateurs boursiers Nyse Euronext et Deutsche Börse ont approuvé le projet de rapprochement, les regards se tournent désormais vers la Commission européenne, note Les Echos. Les services du commissaire à la Concurrence, Joaquin Almunia, ont entamé la première phase d’examen et ont jusqu’au 4 août pour décider d’ouvrir une seconde phase plus détaillée. Une issue jugée très probable. L’enquête approfondie de Bruxelles devrait se focaliser sur deux champs : les marchés de produits dérivés cotés et les activités de compensation. Une fois dans cette phase, tout dépendra de la nature des discussions et des «remèdes» proposés par le nouveau groupe. Bruxelles peut demander des engagements sur la politique de prix de la future entité comme des cessions d’actifs en contrepartie de son feu vert.
Credit Suisse a informé sur son site Internet de l’ouverture d’une enquête à son sujet par le Département américain de la Justice (DoJ). Cette enquête concerne d’anciens services de banque privée transfrontaliers fournis à des citoyens américains. La banque précise que conformément à ses obligations légales, elle compte coopérer avec les autorités américaines.
Le suisse Partners Group fait état pour le premier semestre de souscriptions nettes de 2,1 milliards d’euros contre 3 milliards de francs suisses pour la période correspondante de 2010. L’encours à fin juin ressortait à 22,8 milliards d’euros contre 21,4 milliards d’euros fin décembre et 26,5 milliards de francs suisses un an auparavant.L’encours au 30 juin se répartissait en 16,1 milliards d’euros d’actions non cotées contre 15,2 milliards six mois plus tôt, 2,8 milliards d’euros en immobilier non coté contre 2,5 milliards, 1,9 milliard contre 2 milliards pour les obligations non cotées, 1,2 milliard pour l’infrastructure non cotée et 0,8 milliard contre 0,7 milliard pour les sociétés du groupe.
Le fonds de droit autrichien ESPA Stock BRICK d’Erste Sparinvest (116,42 millions d’euros fin juin) a changé de nom le 14 juillet en ESPA Stock BRIC.La stratégie demeure inchangée, mais le gestionnaire, Erste Sparinvest (groupe Erste Bank, caisses d'épargne) considère que désormais la Corée du Sud (le «K» de l’acronyme) fait partie des pays développés même si MSCI Barra n’a pas encore validé cette promotion du fait que le won n’est pas suffisamment liquide.La commission de gestion se situe à 1,80 % tandis que le droit d’entrée ressort à 4 % pour les quatre classes de parts en euros et à 5 % pour celles en forints et en couronnes tchèques.
Le 20 juin, le luxembourgeois Hauck & Aufhäuser Investment Gesellschaft SA (H&A) a lancé deux nouveaux compartiments de sa sicav luxembourgeoise Structured Solutions qui viennent d’obtenir l’agrément de commercialisation en Allemagne.Il s’agit de fonds de fonds pouvant utiliser aussi bien la réplication physique que la réplication synthétique. Ils reproduisent, pour le Structured Solutions Rare Earth / Strategic Metals Index Strategie Fonds (parts B et C), l’indice Market Vectors Rare Earth / Strategic Metals (EUR), et, pour le Structured Solutions UCITS HFS Investable Index Strategy Fund, le UCITS HFS Investable Performance-Index.CaractéristiquesDénomination : Structured Solutions Rare Earth / Strategic Metals Index Strategie FondsCodes Isin : Part B : LU0575319081Part C : LU0575320337Droit d’entrée (part B) : 3 %Commission de gestion (part B): 0,8 %Commission de banque dépositaire (Hauck & Aufhäuser Banquiers Luxembourg S.A.), part B : 0,1 %Commission de conseil (Baader Bank AG) : 0,1 %Dénomination : Structured Solutions UCITS HFS Investable Index Strategy FundCode Isin : LU0575317382Droit d’entrée : 3 %Commission de gestion : 0,8 %Commission de banque dépositaire (Hauck & Aufhäuser Banquiers Luxembourg S.A.) : 0,1 %Commission de conseil (Structured Solutions AG) : 0,1 %
Hans Joachim Reinke, président du directoire d’Union Investment, a indiqué selon la Frankfurter Allgemeine Zeitung que la société de gestion centrale des banques populaires a enregistré au premier semestre des souscriptions nettes de 498 millions d’euros et que l’encours s’est accru de 5,7 % à 177 milliards d’euros, «une évolution relativement stable».Néanmoins, le fonds monétaire d’optimisation fiscale Uni Opti 4 a subi une hémorragie de 800 millions d’euros et pourrait encore accuser des sorties d’un milliard au second semestre.Quant au fonds immobilier offert au public UniImmo: Global, dont les remboursements ont été gelés juste après Fukushima à cause de l’impossibilité de valoriser les actifs japonais du portefeuille, Union Investment l’a rouvert, mais est obligé de le soutenir en rachetant en compte propre les parts revendues par les souscripteurs.
Du 13 juillet au 7 octobre 2011, le suisse Banque Sarasin et l’allemand Catella Real Estate KAG ouvrent la souscription pour le Sarasin Sustainable Properties – European Cities, un fonds immobilier institutionnel qui sera le premier en Allemagne, selon ses promoteurs à n’investir que dans des immeubles «durables» situés dans les métropoles européennes en croissance, initialement en Allemagne, en France et dans les pays nordiques. L’objectif de ce produit de droit allemand est de générer une performance annuelle de 5 à 5,5 % par an en investissant principalement dans des immeubles de bureaux et commerciaux, le résidentiel étant plafonné à 25 % du portefeuille. Les promoteurs visent un encours de 500 millions d’euros. C’est la première coopération entre une banque suisse et à une société de gestion allemande pour créer un fonds de droit allemand.La souscription minimale est fixée à 0,5 million d’euros et le droit d’entrée se situe à 2,5 %.
Lors d’un récent séjour à Paris, Rick Lacaille, global chief investment officer de State Street Global Advisors (SSgA) a fait le point pour Newsmanagers sur le programme de développement du groupe d’origine américaine qui dispose de centres de gestion répartis à travers le monde entier. «J’estime qu'à peu près 65 % de nos encours de 2.100 milliards de dollars sont d’origine américaine ou en produits américains, le solde provenant de l’international, précise le manager. Et nous avons dix sites de gestion : en Europe, il s’agit de Dublin pour le fondamental actions (avec l’acquisition récente de Bank of Ireland AM), de Londres, pour les actions et obligations en passif et actif, plus le cash et le multi-classes d’actifs, et de Paris, qui a les mêmes fonctions que Londres moins l’obligataire actif mais plus l’allocation d’actifs et les émergents actifs. Par ailleurs, nous gérons à partir de Sydney, de Tokyo, de Hong-Kong, de Singapour, de Boston (le plus gros centre avec 1.300 milliards de dollars et les deux tiers des professionnels de l’investissement), de Montréal et de Toronto. Nous sommes également présents commercialement en Europe à Munich, Bruxelles et Milan».Concernant l’actualité «produits» de SSgA, Rick Lacaille précise : «Dans la catégorie des nouveautés, nous avons mis sur le marché un ETF sur la dette émergente en monnaie locale et nous percevons une demande des investisseurs, notamment nord-américains, pour des produits sous contrainte de passif (LDI) que les Européens, notamment les Néerlandais et les Britanniques, ont déjà découverts».Récemment, le groupe américain, numéro deux mondial des ETF (mais qui a en portefeuille le plus gros fonds mondial de la catégorie, le SPDR Gold Shares), a fait admettre à la négociation à Francfort et à Paris deux dizaines d’ETF, signe que SSgA s’est enfin résolu à investir le marché européen. «Nous pensons effectivement élargir notre offre d’ETF de ce côté-ci de l’Atlantique (lire nos articles du 5 juillet et du 16 mai), confirme Rick Lacaille. «Car les investisseurs européens recherchent apparemment des produits plus «granulaires». En revanche, si nous n’avons pas l’intention de proposer des ETF inversés ou à effet de levier, nous disposons aux Etats-Unis d’une très vaste gamme de fonds mondiaux sur les obligations indexées sur l’inflation, que l’on pourrait décliner en fonds pays développés et pays émergents». Une gamme protéiformeIl ne faudrait pas oublier, cela posé, que les ETF sont aussi des fonds d’investissement, et qu’ils peuvent bénéficier d’une recherche qui sert également dans d’autres registres. Comme le souligne le global CIO de SSgA, «en ce qui concerne le crédit, nous avons lancé une recherche spécifique depuis trois ans. Cela s’est traduit par un système «intelligent» qui permet une gestion active dans un environnement qui est en réalité passif. Mais cela n’est possible que si des données fiables sont disponibles en quantité suffisante. Sur ce point, l’initiative est venue d’Europe, notamment de l'équipe londonienne qui s’est concertée avec l'équipe crédit de Boston, avec la contribution de l'équipe quantitative active. Et cela se traduit également par le lancement d’ETF en France, en Europe et aux Etats-Unis». (lire notre article du 22 juin). Cela dit, «il faudra aussi travailler pour prendre en compte les besoins des investisseurs qui opèrent par Internet"…Les ETF, on l’a vu, ne sont pas l’unique spécialité de gestion chez State Street, et Rick Lacaille précise d’ailleurs: «avec l’acquisition de BoI AM, nous sommes à même de proposer une sorte de stratégie barbell (haltères, ndlr)) à partir d’Irlande, avec une gamme indicielle d’une part et d’autre part des produits de performance absolue avec des portefeuilles très concentrés d’une vingtaine de lignes. Nous allons améliorer cette offre irlandaise… et l’exporter».En plus des ETF et de la gestion indicielle active, la gamme de SSgA comprend entre autres des produits alternatifs. «En matière de gestion alternative et de performance absolue, nous avons trois piliers, avec une constante : maintenir les coûts à bas niveau et proposer des produits transparents», souligne le CIO. «D’abord, une poche fonds de hedge funds sans produits SSgA dans le portefeuille, chez State Street Absolute Return Strategies (SSARS), ensuite des «single strategies», equity market neutral, obligataire ou CTA suiveurs de tendances, et enfin le pôle multistratégies. Tout cela ne représente pour l’instant que 1,5 milliard de dollars, mais ne demande qu'à croître».Une responsabilité sociétaleLe groupe est en mesure, de par ses multiples implantations, de faire jouer les synergies à l'échelon mondial. Cela vaut tant pour la gestion que pour le négoce, comme le note Rick Lacaille : «Pour le trading, SSgA se concentre sur trois pôles : Boston pour les Amériques, Londres pour l’Europe et le Moyen-Orient et enfin Hong-Kong pour l’Asie-Pacifique. Nous sommes de ce fait capables de traiter en temps réel, 24h sur 24, à travers tous les fuseaux horaires. Nous avons nos propres tables de négoce, mais bien sûr nous faisons aussi appel aux courtiers spécialisés pour la «boucle locale», lorsqu’ils s’avèrent mieux placés que nous pour une meilleure exécution. En tout état de cause, nous évitons les «dark pools» et nous n’utilisons les algorithmes qu’avec des limitations pour que tout cela reste honnête».Interrogé sur l’orientation générale de la stratégie d’investissement du groupe, le global CIO indique : «En ce moment, en attendant la saison des publications de résultats du premier semestre, nous sommes surpondérés actions, une classe d’actifs où les valorisations sont raisonnables et que nous comprenons bien. Nous sommes également surpondérés crédit et un peu sur les actions émergentes. Notre horizon est d’un an, mais nous revoyons la composition du portefeuille une fois par mois». Au-delà, Rick Lacaille estime que la mission sociétale de State Street Global Advisors, comme de tous les gestionnaires d’actifs, consiste à contribuer à une amélioration de l’image du secteur financier, qui a été sérieusement mise à mal par les crises de ces dix dernières années. «Il faut d’une manière générale, que nous travaillons à réduire les risques et les coûts, tout en augmentant les performances», conclut le CIO.
Véronique Leroux, directeur général adjoint administratif et financier revient sur les principaux chantiers actuels de PRO BTP dans un article paru dans Option Finance: D’abord, nous sommes en train de réfléchir à la mise en place d’une politique globale ISR pour l’ensemble des activités du groupe. PRO BTP, en tant qu’entreprise socialement responsable, se doit de réfléchir à l’ensemble des chantiers qu’elle pourrait mener dans ce domaine. Notre filiale PRO BTP Finance développe déjà sa propre recherche ISR et a lancé plusieurs fonds en la matière dont un fonds crédit corporate ISR en 2010. D’autre part, nous réfléchissons actuellement aux possibilités d’investissements dans des supports qui pourraient éventuellement permettre de financer le développement du secteur du BTP: investissements dans les collectivités locales, dans les fonds infrastructures, etc. Ce type d’investissements correspond à notre problématique d’engagements à très long terme et dans le même temps, permet le développement du secteur du BTP. Pour rappel, PRO BTP cumule 12.5 milliards d’euros d’actifs au 31 décembre 2010 sur l’ensemble de ses institutions, dont 84% proviennent de ses activités d’assurance de personnes et le solde correspondant à la gestion d’une partie des réserves de l’AGIRC ARRCO. La gestion financière est principalement réalisée au sein du groupe(86% des encours), la quasi totalité de ces encours étant confiée à PRO BTP Finance. Nous déléguons à d’autres sociétés de gestion autour de 430 millions d’euros sur deux types de stratégies. La première concerne le private equity (où nous sélectionnons des fonds de fonds) et l’immobilier papier pour un montant total de 130 millions investis. La deuxième concerne la gestion des provisions techniques de BTP Prévoyance (investies en actions et obligattions) sur laquelle nous avons mis en place trois mandats extérieurs pour étalonner notre gestion financière. Ces mandats, de 100 millions d’euros chacun, ont été mis en place en 2005 et renouvelés en 2009. L’allocation d’actifs est très hétérogène en fonction des portefeuilles de chaque institution. Mais en moyenne, nous possédons actuellement 27.3% d’obligations d’Etat, 32% d’obligations privées, 21.4% d’actions et convertibles, 8% de trésorerie, 5.7% d’immobilier pierre et papier et 5.2% de prêts au logement.
As of 31 May 2011, according to statistics from the CSSF, assets under management in collective investment organisms and specialised investment funds totalled EUR2.2192trn, compared with EUR2.1954trn one month earlier, an increase of 1.08% in one month. Over twelve months, the increase has been 11.38%. EUR7.9bn of the EUR23.8bn increase in May (0.36%) is due to inflow effects, and EUR15.99bn (0.72%) due to market effects. The number of collective investment organisms (OPC) and specialised investment funds (FIS) taken into consideration is 3,749, compared with 3,736 the previous month. “2,374 entities have adopted a structure with multiple sub-funds, which represents 11,811 sub-funds. In addition to that, there are 1,375 traditionally structured entities, which makes a total of 13,186 entities which are active in the financial markets,” the CSSF states.
Dans un entretien accordé à Option Finance, Pierre-Jean Besombes, directeur finances et comptabilité revient sur l’appel d’offres que vient d’achever Novalis-Taitbout, sur les portefeuilles retraites (AGIRC-ARCCO): Nous avons lancé un appel d’offres pour remettre en concurrence nos gérants en tenant compte des mouvements de concentration du marché, et pour optimiser le rapport prestation/prix. Après avoir étudié le marché, nous avons invité une trentaine de gérants en plus de ceux que nous avions déjà en portefeuille à répondre à un questionnaire. Ce dernier se basait sur une série de critères comme leur gestion des risques, leur connaissance de notre environnement, leurs références et leurs performances sur une longue période. Nous avons ensuite réalisé un important travail pour mettre à niveau toutes les données financières en vue de faciliter leur comparaison. Ensuite, 14 gérants ont été sélectionnés pour un oral devant notre commission financière et nous en avons retenu finalement dix pour gérer une enveloppe globale de 3 milliards d’euros. Nous avons choisi de grands gestionnaires et des gérants plus atypiques avec des mandats moins importants. Cet appel d’offres a été un processus assez long pour lequel nous nous sommes appuyés sur un conseil extérieur en la personne de Michel Piermay, dirigeant de la société spécialisée dans le conseil en actuariat, Fixage. Ce dernier est le conseil habituel de notre commission mixte paritaire.
The Swiss firm Partners Group in first half had net subcsriptions of EUR2.1bn, compared with CHF3bn in the corresponding period of 2010. Assets as of the end of June totalled EUR22.8bn, compared with EUR21.4bn as of the end of December, and CHF26.5bn one year previously. Assets as of 30 June were divided between EUR16.1bn in shares that are not publicly traded, compared with EUR15.2bn six months earlier, EUR2.8bn in non-publicly traded real estate, compared with EUR2.5bn, EUR1.9bn compared with EUR2bn in non-publicly traded bonds, EUR1.2bn in non-publicly traded infrastructure, and EUR0.8bn, compared with EUR0.7bn, in companies of the group.
Hans Joachim Reinke, chairman of the board at Union Investment, has announced that the central management firm for the German co-operative banks posted net subscriptions in first half of EUR498m, and that assets have increased 5.7% to EUR177bn, “a relatively stable evolution,” the Frankfurter Allgemeine Zeitung reports. However, the tax optimisation fund Uni Opti 4 has seen outflows of EUR800m, and may yet see outflows of EUR1bn in second half. The open-ended real estate fund UniImmo: Global, meanwhile, whose redemptions were frozen following the Fukushima disaster, has been unable to value the Japanese assets in its portfolio. Union Investment has reopened the fund, but it has been obliged to support it with a repurchase of shares redeemed by subscribers with its own money.
On 8 July, Charles Schwab notified the SEC that Schwab ETFs has launched a new bond product, the Schwab US Aggregate Bond ETF, which charges fees of 0.10%. It is the 14th ETF from the promoter, which as of the end of June managed USD4.4bn in this segment.
Following the Credit Suisse 130/30 and the RAFI Long/Short, the US management firm ProShares (USD26bn) on 14 July announced that it is launching a third product in the Alpha ProShares range, the ProShares Hedge Replication ETF, with the acronym HDG on the NYSE Arca platform. The new product uses the hedge fund replication method adopted by Merrill Lynch, with the Merrill Lynch Factor Model – Exchange Series (MLFM-ES) as its benchmark index. The total expense ratio for the fund is 0.95%.
According to Mutual Fund Wire, Precidian Investments (formerly known as Next Investments) has launched what it says is the first ETF listed in the United States to replicate the Japanese Nikkei 225 index. The Maxis Nikkei 225 Index Fund charges a TER of 0.50%. The fund is sub-advised by Northern Trust. Precidian has received exclusive rights to use the Nikkei 225 index in the United States from Mitsubishi UFJ Asset Management.
The Austrian-registered fund ESPA Stock BRICK from ERSTE Sparinvest (EUR116.42m in assets as of the end of June) on 14 July changed its name to ESPA Stock BRIC. The strategy of the fund remains unchanged, but the management firm, Erste Sparinvest (Erste Bank, Austrian savings banks) now considers South Korea (represented by the K in the acronym) to be a developed country, although MSCI Barra has not yet approved the move, due to the fact that the Korean won lacks adequate liquidity. Management commissions are 1.80%, while front-end fees are 4% for the four share classes in euros, and 5% for share classes in Hungarian forint and Czech crowns.
After a decline of 2.3 points to 86.9% in May, the coverage rate for pension funds at US businesses in June rose back to an average of 88.5%, according to statistics from BNY Mellon Asset Management, which suggest that the adjusted increase was 0.8 points last month. The average liabilities of funds fell 2.1% due to the fact that the discount rage rose to 5.53% from 5.34%. At the same time, assets fell 1.1% with the fall of US and international share prices.
As of 30 June, assets managed by Austrian funds totalled EUR142.4bn, according to the VÖIG association for the sector. That figure remains above the EUR141.5bn recorded twelve months previously, but assets have fallen from their levels at the end of May (EUR144.1bn) and at the end of December 2010 (EUR145bn).
JPMorgan Chase on 15 July announced that it has sold its remaining 41% stake in the mutual fund management firm American Century Investments (USD112bn in assets as of the end of June) to the Canadian Imperial Bank of Commerce (CIBC), for about USD848m in cash. Arithmetically, CIBC is thus paying the equivalent of 1.84% of assets for the corresponding stake that it acquires in the firm. The transaction will be completed in 60 to 90 days. The CIBC will have two representatives on the six-member board of American Century Investments. In addition to its economic participation of 41%, the Canadian group will also have 10.1% voting rights in American Century.
The board of directors at the asset management firm Eaton Vance Corp (USD200bn in assets) on 15 July decided to pay out a quarterly dividend of 18 cents per share. It has authorised the repurchase of up to 8 million shares without voting rights. Under an authorisation on 15 January 2010, Eaton Vance has already bought back 6.7 million shares.
Russell Investments on July 14th announced that the Alaska Permanent Fund Corporation (APFC) has selected the Russell Fundamental Developed Large Company Index for its new quasi-passive global mandate. APFC converted an existing market capitalization-weighted portfolio managed by State Street Global Advisors (SSgA) to this new strategy. The initial mandate, which started July 1, is approximately USD640m.The new index suite, developed by Research Affiliates and Russell Investments, has been released approximately 5 months ago (see NewsManagers of February, 28th).
From 1 July, the Belgian management firm Petercam has modified the fee structures for institutional share classes in its Luxembourg Sicav Petercam L, in order to bring them into line with the situation that already obtains for institutional share classes of the Belgian Sicav Petercam (B). Petercam has also registered K and L shares in the Euroclear France, in order to more adequately meet the expectations of IFAs in terms of commission kickbacks. Management fees for A and B share classes (and consequently also K & L and E & F share classes) for some funds have been adjusted “in order to bring them more accurately into line with the market in strategies where Petercam’s added value is significant,” Ives Hup, sales director, tells Newsmanagers. “But, at any rate, that comes with a reduction of other fees inherent in the administration of the Sicav so that the total expense ratio (TER) for sub-funds will not be affected by the changes.” For funds on sale in France, Petercam has raised management fees for eight sub-funds of the Petercam (B) Sicav, while it has reduced them for one sub-fund, and they remain unchanged for four. For three sub-funds of the Petercam (L) sub-fund, fees have been raised, while they have been reduced for one sub-fund, and they remain unchanged for four.
Turgot Asset Management on Friday, 15 July announced that it has taken over management of Orelis Capital, a global equities fund which invests in large caps with the objective of outperforming a benchmark index composed 25% of the MSCI World index, 40% of the Eurostoxx 50 and 35% of the CAC40 index. According to a statement, the firm now has assets of EUR50m, and manages three other funds: Turgot Multicaps Europe, founded in January 2009, a “flexible” OPCVM fund which invests in equities of greater Europe; Turgot Asie Flexible, founded in September 2010, another “flexible” fund which invests in the entire Asia-Pacific region, and Turgot Multigest International, founded in February 2011, an international equities fund of funds which invests in 20 underlyings.