Un cadre du producteur d’indices S&P Dow Jones serait impliqué dans un schéma de délit d’initié, a appris Bloomberg. Le mis en cause, James Yang, un responsable des indices Dividend Aristocrats, Select Dividend et Dividend 100, aurait profité de sa connaissance des changements de compositions de ces indices pour parier sur les entreprises entrantes et sortantes. Afin de rester sous les radars, il se serait associé à un responsable de restaurant pour réaliser les investissements à sa place. Les gains s'élèveraient à 912.000 dollars.
Legroupe financier américainPrincipal a annoncé la promotion de Pat Halter au poste de président de Principal Global Asset Management, entité qui chapeaute la gestion d’actifs de Principal (701,8Md$ d’actifs à fin juin 2020) à travers Principal Global Investors et les fonds généraux de la firme. Pat Halter continuera en parallèle d’exercer la fonction de directeur général de Principal Global Investors, qui gère 450,1 milliards de dollars d’actifs dans plus de 80 pays. Pat Halter succède à Tim Dunbar à la présidence de Principal Global Asset Management. Tim Dunbar se retire après 34 ans de carrière au sein de Principal. Autre promotion à noter, celle de Kamal Bhatia, président de Principal Funds, qui devient responsable des opérations de Principal Global Investors. Pat Halter et Kamal Bhatia prendront leurs nouvelles responsabilités le 7 novembre.
La société de gestion espagnole Bestinver a annoncé l’intégration des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans la gestion de l’ensemble de ses fonds et stratégies d’investissement. L’annonce, rapportée par plusieurs médias hispaniques,a eu lieu lors d’une conférence investisseurs de Bestinver. La firme a précisé qu’elle commencerait à appliquer ces critères d’ici la fin de l’année. Par ailleurs, Bestinver lance une plateforme de produits sur les actifs privés. Le premier fonds d’infrastructures de la boutique est attendu pour la fin 2020. La société de gestion espagnole a récemment recruté Francisco del Pozo de Macquarie Capital au poste de responsable des fonds d’infrastructure.
PGGM Investment Management a recruté Geraldine Leegwater en tant que directrice de la gestion des investissements. Elle débutera ses fonctions le 1er novembre et rejoindra le comité exécutif de la société néerlandaise. Elle succède à Eloy Lindeijer, qui occupe ces fonctions depuis 2011 et les quittera le 1er octobre. Geraldine Leegwater est actuellement administratrice du fonds de pension néerlandais ABP où elle préside le comité des investissements. Elle est aussi membre du comité des investissements de De Nederlandsche Bank. Elle quittera ces deux postes lorsqu’elle rejoindra PGGM.
La société de gestion américaine Franklin Templeton est sur le point de regrouper les expertises de sonunitéde solutions d’investissement multi-actifs et de QS Investors, une boutique actions quantitative affiliée à Legg Mason, groupe que Franklin Templeton a racheté cette année pour 4,5 milliards de dollars. Le rassemblement des capacités des deux entités s’opérera le 1er octobre et donnera lieu à la création de Franklin Templeton Investment Solutions (FTIS). Cette nouvelle division, qui comptera120 employés, supervisera 120 milliards de dollars d’actifs investis en stratégies multi-actifs. QS Investors continuera néanmoins d’exister en tant qu’entité propre et ses employés seront toujours salariés de QS.
Le groupe DWS et Zurich Allemagne ont prolongé leur partenariat stratégique ciblant les investisseurs particuliers jusqu’en 2032. Les deux sociétés peuvent ainsi poursuivre leur coopération dans la distribution de fonds et dans le développement de produits d’assurance en unités de compte, en place depuis 2001. Ce partenariat, qui a déjà conduit au développement de nombreux produits, devrait continuer à contribuer au développement de la collecte et des actifs gérés par DWS.
Marshall Wace, l’un des plus gros gérants de hedge funds du monde, prévoit d’ouvrir un bureau à Singapour, rapporte le Financial Times. C’est la dernière société de gestion en date à s’établir dans la ville Etat alors que l’avenir de Hong Kong, le centre financier concurrent, est de plus en plus incertain. La société basée à Londres, qui gère plus de 48 milliards de dollars d’actifs, a récemment obtenu une licence à Singapour. Elle prévoit maintenant d’ouvrir un bureau et d’y installer des gérants, selon une source proche du dossier. Marshall Wace n’a pas souhaité faire de commentaires.
Le numéro deux mondial de la gestion, Vanguard, a annoncé ce 24 septembre le lancement d’un fonds indiciel coté obligataire composé de titres d’entreprises américaines avec des critères ESG d’exclusion. Le Vanguard ESG U.S. Corporate Bond ETF va tendre à répliquer l’indice Bloomberg Barclays MSCI U.S. Corporate SRI Select Index, avec des frais de 0,12% des encours investis. Les critères d’exclusion couvrent de nombreux domaines. Dans le secteur primaire, ils concernent les énergies fossiles et les OGM. Ils excluent également les sociétés liées aux «vices» comme la pornographie, la production de boissons alcoolisées, les jeux et le tabac, ainsi que les entreprises liées aux armes. L’indice exclut également les entreprises qui ne respectent pas certains critères de diversité managériale ainsi que celles impliquées dans certains types de controverses. Le véhicule sera géré par Josh Barrickman, un vétéran de la firme qui dirige aujourd’hui le pôle Vanguard Fixed Income Indexing Americas.
Le suédois Swedbank Robur a annoncé ce 24 septembre avoir aligné les stratégies d’investissement d’une gamme de fonds sur les objectifs écologiques des Accords de Paris. Les fonds de la gamme Access Edge devront désormais avoir une empreinte carbone inférieure d’au moins 50% à celle du marché en général, et les entreprises investies devront réduire leurs émissions en moyenne de 7% par an. Les stratégies couvrent l’univers des actions dans cinq zones géographiques : le monde (Global), la Suède, les Etats-Unis, le Japon et les marchés émergents.
Promotion éclaire pour Heike Fürpaß-Peter. Six mois après avoir pris la direction des ETF pour l’Allemagne et l’Autriche, la spécialiste des ventes outre-Rhin depuis 2007 chez Lyxor est promue directrice de la filiale allemande. Basée à Francfort-sur-le-Main, elle est rattachée à Lionel Paquin, le directeur général de Lyxor AM, et à Guido Zoeller, le responsable pays Allemagne et Autriche pour le Groupe Société Générale. Heike Fürpaß-Peter remplacera à partir d’octobre Guillaume de Martel, qui est amené à prendre de nouvelles responsabilités au sein du groupe Société Générale. Cet ex-gérant d’ETF évoluait au sein de la filiale allemande depuis 2014.
Drakai Capital vient de lancer son premier véhicule, Drakai Systematic Credit Fund, une stratégie d’arbitrage systématique. Le fonds, qui opère depuis le 17 août, compte tirer parti de la récente transparence, de la croissance des données accessibles et de l'électronification des marchés de crédit. L'équipe de gestion réunit des polytechniciens, diplômés et étudiants, sous la direction du fondateur Samer Comair, ex-proprietary trader sur les marchés crédit européens et américains de la Société Générale, et de son associé Guillaume Boulanger, directeur des risques. Le fonds, immatriculé en Irlande, et agréé par l’AMF, vise une clientèle d’investisseurs qualifiés. La société ne communique pas sur ses encours actuels, mais indique vouloir les limiter à 500 millions d’euros.
Le gérant d’actifs néerlandais Robeco a annoncé jeudi sa décision d’exclure de tous ses fonds communs de placement les investissements dans le charbon thermique, les sables bitumineux et le forage dans l’Arctique. «Les entreprises qui tirent 25% ou plus de leurs revenus du charbon thermique ou des sables bitumineux, ou 10% ou plus des forages dans l’Arctique, ne pourront plus faire partie des portefeuilles d’investissement», précise le groupe dans un communiqué. L’exclusion s’applique à tous les fonds communs de placement de Robeco, y compris les fonds bénéficiant de conseillers auxiliaires, exceptés les fonds et mandats spécifiques à un client. Le processus sera achevé d’ici la fin du quatrième trimestre 2020.
Un outil pour mesurer l'impact des gestions sur la biodiversité est développé par Axa IM, BNP Paribas AM, Mirova et Sycomore. Il pourra, à terme, être utilisé par la place.
Robeco a annoncé qu’elle allait exclure les investissements dans le charbon thermique, les sables bitumineux et le forage dans l’Arctique de tous ses fonds communs de placement, à l’exclusion des fonds et mandats dédiés aux clients, mais y compris les fonds sous-conseillés. La société de gestion néerlandaise prévoit de se désengager totalement des combustibles fossiles d’ici la fin du quatrième trimestre 2020. Concrètement, les entreprises dont les revenus proviennent de 25% ou plus du charbon thermique ou des sables bitumineux, ou de 10% ou plus du forage dans l’Arctique seront retirées des portefeuilles d’investissement. Robeco estime que le charbon thermique reste «de loin la source d'énergie la plus émettrice de carbone dans le mix énergétique mondial». Elle ajoute que «les sables bitumineux sont parmi les moyens de production de pétrole brut les plus intensifs en carbone, et le forage dans l’Arctique présente des risques plus élevés de déversements par rapport à l’exploration pétrolière et gazière conventionnelle. Il a également des impacts potentiellement irréversibles sur l'écosystème arctique sensible.» Au 30 juin 2020, Robeco gérait 155 milliards d’euros d’actifs dont 144 milliards d’euros intégraient des critères ESG.
«Le thème post-Covid au sein du secteur de l’asset management sera celui de l’alignement des intérêts entre les sociétés de gestion et les investisseurs», a estimé Thomas Friedberger, co-Chief Investment Officer et directeur général de Tikehau Investment Management. A l’occasion d’une conférence de presse sur ses perspectives macro-économiques, le dirigeant a fait le pari qu'à l’avenir, la différence de performance entre les fonds où les gérants qui les gèrent sont «massivement investis» et ceux où l’asset manager n’a pas investi «sera massive». Pour appuyer son raisonnement, il a sans surprise donné l’exemple de Tikehau. Ainsi, en pleine crise sanitaire et pendant le confinement, «cela nous a aidé pour les fonds que nous gérons. Nous avons donné une intensité dans notre travail et nous avions une motivation que d’autres n’ont pas eu». Pour le dirigeant, cette association d’intérêt prendra d’autant plus d’importance dans le futur pour les régulateurs que l’asset management devient de plus en plus systémique, surtout aux Etats-Unis. Il a rappelé ainsi qu’après la crise de 2008, les régulateurs avaient identifié les CLO (titrisations de prêts) comme l’un des principaux vecteurs de la crise financières de 2008. Depuis, les régulateurs ont imposés aux gérants d’investir aux côtés de leur clients pour diminuer les risques d’une mauvaise gestion. «C’est le seul cas dans la gestion où le co-investissement a été imposé» a-t-il regretté. Selon lui, Tikehau pratique cette politique de co-investissement avec ses clients pour chaque nouveau fonds. «Le bilan de Tikehau, c’est environ 3 milliards de fonds propres et un milliard environ de dette. L’objectif est d’investir entre les deux tiers et trois quarts de ces montants dans les fonds qu’on gère dans l’asset management», a expliqué Thomas Friedberger. Il a rappelé par exemple que Tikehau avait investi 230 millions dans le fonds Ace Aero Partenaires (géré via sa filiale Ace Management dans le cadre du plan de soutien à la filière aéronautique en France). Tikehau investit en général des tickets de 100 à 200 millions d’euros dans plusieurs stratégies de dette privée ainsi que dans l’immobilier. «On veut être un investisseur qui a les doigts dans la prise, a-t-il déclamé, afin d'éviter le désalignement d’intérêts ou d'être trop agressif sur la liquidité de l’actif par rapport au passif».
Le gérant d’actifs néerlandais Robeco a annoncé jeudi sa décision d’exclure de tous ses fonds communs de placement les investissements dans le charbon thermique, les sables bitumineux et le forage dans l’Arctique.
La Place de Paris accueille un nouveau fonds, sur un segment encore peu exploré, la gestion systématique sur l’univers du crédit. La jeune société parisienne Drakai Capital vient de lancer son tout premier véhicule, Drakai Systematic Credit Fund, une stratégie d’arbitrage systématique, qui utilisera entre autres du machine learning et de la data science. Le fonds, qui opère depuis le 17 août, compte tirer parti de la récente transparence, de la croissance des données accessibles et de l'électronification des marchés de crédit, domaine jusqu'à peu réservé des banques et des opérations de gré-à-gré sans contrepartie centralisée.
Le CFA Institute a publié un rapport sur l’analyse du changement climatique dans les processus d’investissement rédigé par Matt Orsagh. Ce rapport est destiné à «éduquer» les investisseurs sur les fondamentaux du changement climatique et à les aider à mieux percevoir les impacts économiques et de marché qui y sont liés. Le rapport se concentre sur les risques physiques et de transitionà venir liés au changement climatique et revient en détail surles marchés carbone. Parmi les outils pouvant aider les investisseurs à prendre en compte les risques liés au changement climatiques, le CFA Institute évoque entre autres la prise en compte des prix du carbone dans les rapports d’analystes mais aussi de la plus grande transparence à venir sur les métriques climat. Le CFA Institute suggère également que les investisseurs doivent discuteravec les sociétés pour s’assurer que leurs données climat, leurs analyses de scénarios liés au changement climatique sont suffisantes pour assurer une analyse de risque climat robustede chaque société dans leur process d’investissement.
Entre le 1er janvier et le 31 août 2020, Groupama Asset Management a enregistré une collecte nette de 2,8 milliards d’euros auprès de la clientèle externe, annonce la société dans un communiqué. Sur ce montant, 560 millions d’euros proviennent de l’activité à l’international. Ce rythme de croissance porte le total des encours sous gestion à 108,4 milliards d’euros (contre 105,1 au 31 décembre 2019). L’activité pour compte de tiers représente 26,7 milliards d’euros sous gestion, dont 9,8 milliards à l’international. La collecte s’est révélée positive sur l’ensemble des classes d’actifs, observe Groupama AM. Les expertises de gestion centrées sur les actifs de long terme, actions, obligations convertibles, obligations d’entreprises et diversifiés en tête, drainé près de 570 millions d’euros de flux de souscriptions (essentiellement via les fonds G Fund World [R]Evolutions, Groupama Crédit Euro et Groupama Equilibre). L’offre de produits monétaires a d’abord subi des rachats au plus fort de la crise sanitaire, avant un retour des souscriptions à la fin du premier semestre. En termes de segmentation de clientèle, 930 millions de collecte ont été réalisés auprès des investisseurs institutionnels, 774 millions d’euros auprès de clients corporate et 571 millions d’euros auprès des professionnels de la distribution, en France et dans l’Europe francophone. Enfin, Groupama AM annonce travailler à l’élaboration d’une unité de compte dite «post-Covid» dont l’objectif est d’investir dans des secteurs stratégiques pour adresser les enjeux de sortie de crise. Le produit sera dévoilé et commercialisé en octobre.
Man GLG va lancer un fonds actions asiatiques (hors Japon) de convictions fortes pour son responsable des actions asiatiques, Andrew Swan, qui a rejoint la société en août en provenance de BlackRock, rapporte Investment Week. Le fonds, qui n’a pas encore de nom, sera lancé en octobre en tant qu’OEIC pour les investisseurs britanniques. Andrew Swan sera secondé par ses anciens collègues de BlackRock, Anand Agarwal et Alethea Leung, qui sont arrivés en septembre, ainsi que par Andrew Hill, qui a rejoint la société en septembre en provenance d’UniSuper.
Il y a un an, Daphni officialisait son rapprochement avec Jaïna Capital, le fonds de Marc Simoncini, sur fond de départ des co-fondateurs Marie Ekeland, Mathieu Daix et Willy Braun. L’objectif était alors de réunir 200 millions d’euros pourl’automne pour leur nouveau véhicule d’investissement baptisé Daphni Yellow. Un objectif périlleux qui a depuis été décalé au premier semestre de l’année prochaine. L’ambition de levée est aujourd’hui fixée entre 150 et 200 millions d’euros, sachant qu’un premier closing vient d’être réalisé. Contactés, les associés de Daphni refusent de préciser la taille de cette première enveloppe. Le montant serait toutefois compris entre 80 et 90 millions d’euros, soit autant que l’an dernier, si l’on en croit les informations apportées par Les Echos. Parmi les souscripteurs de ce nouveau fonds figurent des business angels de renom comme Xavier Niel, Jean-Baptiste Rudelle, Jacques Veyrat, Olivier Mathiot, Jacques-Antoine Granjon et Fred Potter, ou bien encore des groupes comme Accor, Seb et Bouygues. A date, Daphni dispose de 350 millions d’euros sous gestion.
La Place de Paris accueille un nouveau fonds, sur un segment encore peu exploré, la gestion systématique sur l’univers du crédit. La jeune société parisienne Drakai Capital vient de lancer son tout premier véhicule, Drakai Systematic Credit Fund, une stratégie d’arbitrage systématique, qui utilisera entre autres du machine learning et de la data science. Le fonds, qui opère depuis le 17 août, compte tirer parti de la récente transparence, de la croissance des données accessibles et de l'électronification des marchés de crédit, domaine jusqu'à peu réservé des banques et des opérations de gré-à-gré sans contrepartie centralisée. L'équipe de gestion réunit des polytechniciens, diplômés et étudiants, sous la direction du fondateur Samer Comair, ex-proprietary trader sur les marchés crédit européens et américains de la Société Générale, et de son associé Guillaume Boulanger, directeur des risques. Samer Comair compte s’appuyer sur le savoir-faire français en matière de finance quantitative et a noué un partenariat avec son école d’origine. L’entreprise travaille ainsi avec Mathieu Rosenbaum, professeur du Centre de mathématiques appliquées de l’École polytechnique et porteur de la chaire «Analytics and Models for Regulation». Ce dernier a notamment reçu cette année le prix Louis Bachelier, qui récompense les contributions majeures à la modélisation mathématique en finance et au contrôle des risques financiers. Le fonds, immatriculé en Irlande, et agréé par l’AMF, vise une clientèle d’investisseurs qualifiés (institutionnels, family offices et ultra high net worth). La société ne communique pas sur ses encours actuels, mais indique vouloir les limiter à 500 millions d’euros pour ne pas obérer la performance. La stratégie d’arbitrage mise en place a reçu cet été la Bourse French Tech Émergence, «une première pour une société de gestion», est-il précisé sur sa page LinkedIn.
La banque privée Edmond de Rothschild a annoncé l’arrivéede Marcos Belil au sein de sa succursaleespagnole. L’intéressé a été nommé managing director et aura la responsabilité de développer l’activité d’Edmond de Rothschild en Catalogne. Il est rattaché à Pablo Torralba, qui dirige la filiale espagnole et sera également membre du comité de direction du gestionnaire en Espagne. Marcos Belil a précédemment travaillé chezSantander Banca Privada, UBS Wealth Management, Crédit Suisse etCA Indosuez.
Baillie Gifford vient d’ouvrir un bureau à Shanghai et s’est enregistré en tant que private securities fund manager (PFM) en Chine. Cela va permettre à la société de gestion écossaise de lancer des fonds privés destinés aux investisseurs chinois et de se développer sur ce marché. John MacDougall, l’un des associés de Baillie Gifford, pilotera la nouvelle structure. Il est parti en Chine depuis septembre 2019 en tant que président et directeur de la stratégie pour le pays. Il était basé auparavant à Edimbourg. Amy Wang, responsable Chine, a aussi été recrutée l’an dernier pour bâtir une équipe en Chine et développer les relations avec les clients. Par ailleurs, Linda Lin, qui travaille depuis six ans chez Baillie Gifford à Edimbourg, est retournée en Chine, son pays d’origine, en tant que responsable de la recherche en investissement. Elle est accompagnée de Rio Tu, qui est originaire de la province d’Hubei, et qui a passé cinq ans chez Baillie Gifford en Ecosse. La société de gestion a aussi recruté des talents locaux pour les opérations, la recherche, les transactions, la conformité, le développement et le marketing. Deux stagiaires ont été accueillis. Jusqu’à récemment, les équipes d’investissement de Baillie Gifford étaient toutes basées à Edimbourg. Mais les associés jugent désormais qu’une présence locale est nécessaire. Elle permettra d’approfondir les relations avec les sociétés chinoises, d’améliorer la compréhension des développements culturels et de nouer des partenariats universitaires.
M&G Real Estate a recruté Gabriele Inglese en tant que directeur associé de l’équipe Investment and Asset Management pour l’Italie, rapporte Bluerating. Il sera rattaché à Marc Reijnen, responsable Investment and Asset Management pour l’Europe continentale. Avant de rejoindre M&G, Gabriele Inglese travaillait pour Axa Investment Managers en tant que transaction manager. Il a aussi travaillé pour CBRE et Cushman & Wakefield.