Alan Wilson a quitté Schroders pour rejoindre l’équipe obligataire d’Eurizon SLJ Asset Management, la société londonienne d’Eurizon Capital, rapporte Investment Week. Il travaillera aux côtés de Yasmine Ravai sur les stratégies de dette émergente en devises locales. Jusqu’à présent, Alan Wilson était gérant dans l’équipe obligataire multi-secteurs de Schroders.
Lazard Asset Management a recruté une équipe de gestion de Coherence Capital Partners et repris sa stratégie crédit long/short. Cette équipe se compose de Sal Naro, Vincent Mistretta, Michael Cannon et Sanjay Aiyar, lesquels rejoignent Lazard AM à New York pour former l’équipe Lazard Coherence. «L’ajout de leur expertise crédit est complémentaire de notre activité alternative grandissante ainsi que de notre offre obligataire», explique Loren Katzovitz, managing director, qui pilote l’expansion de la plate-forme d’investissement alternative de LAM. Cette plate-forme représentait 4,5 milliards de dollars au 30 juin.
La société de gestion américaine Capital Group a lancé un nouveau fonds Ucits pour les investisseurs européens qui réunit ses meilleures idées sur le segment obligataire international. La stratégie dufonds Capital Group Global Total Return Bond (Lux) est gérée par trois gérants obligataires internationaux et un gérant spécialisé sur la dette à haut rendement.
Selon un rapportpublié par l’association chilienne des administrateurs de fonds d’investissement (Acafi), les encours sur le segmentde l’investissement d’impact au Chili s'élevaient à 318 millions de dollars fin juillet 2020. Le chiffre a plus que doublé en deux ans, puisque les encours étaient de 138,2 millions de dollars en 2018, note l’Acafi. Six gestionnaires locaux se partagent la gestion de ces encours : Lumni, Fen Ventures, FIS Ameris, Sudamerik, Quest Capital and Sembrador. A l’exception des deux derniers qui proposent des fonds publics, les autres sont des fonds privés.
L’antenne espagnole de BNP Paribas Wealth Management a enregistré l’arrivée de Gonzalo Antón en qualité de directeur exécutif au sein deson unité de développement de l’activité, selon un communiqué. Il occupait précédemment les fonctions de directeur des grands patrimoines chez Bankinter.
Schroders a annoncé jeudi que ses encours avaient augmenté de 525,8 milliards de livres à 536,3 milliards de livres entre le 1er juillet et le 30 septembre. Les encours de la gestion d’actifs sont ressortis à 469,5 milliards de livres, en hausse d’environ 9 milliards, et ceux de la gestion de fortune sont restés quasi-stables à 66,8 milliards de livres.
Apex atteindra près de 1.000 milliards de dollars d'actifs dans les domaines de l'administration de fonds, de la conservation, du dépôt et de la gestion.
Le graphique ci-contre montre l’évolution de l’appétit pour le risque des ménages (trait vert) et les récessions (barres grisées) aux États-Unis depuis 1952. Trois scénarios de résultats à l’élection présidentielle sont également représentés. Ce graphique illustre la relation entre le cycle économique et le cycle électoral documenté aux États-Unis par les chercheurs universitaires L. Pastor et P. Veronesi.
Les tableaux ci-contre présentent les meilleures et plus mauvaises performances en euros des fonds sur les marchés des fonds actions américaines et européennes en septembre 2020, mises en perspective par le calcul de la volatilité, du ratio de Sharpe sur trois ans d’historique, ainsi que du rendement depuis un an.
Oddo BHF et la banque privée genevoise Landolt & Cie ont annoncé ce 15 octobre avoir scellé leur alliance. Pierre Landolt et Thierry Lombard deviennent à cette occasion actionnaires et associés à la gouvernance du groupe Oddo BHF. Cette association permet à Oddo de doubler ses encours en Suisse à 6 milliards d’euros. La firme assure vouloir faire de ce pays son troisième marché domestique après la France, d’où il est originaire, et l’Allemagne, renforcée il y a quelques années avec le rachat de BHF. La banque privée entend poursuivre son développement sur son métier coeur et contribuer à l’innovation et la consolidation du secteur dans la Confédération. « Nous sommes très heureux à travers cette alliance d’investir dans les spécificités du marché suisse qui, tout comme l’Allemagne, compte de nombreuses entreprises familiales, non seulement dans le domaine industriel mais aussi dans la santé, l’horlogerie, l’agroalimentaire ou encore les services.Ce rapprochement signe le mariage de deux maisons familiales, plus que centenaires, proches par leurs valeurs et leurs convictions et riches d’un avenir commun », a déclaré Philippe Oddo, associé-gérant de la maison Oddo.
Le japonais Asset Management One, dont NewsManagers avait révélé le lancement de ses premiers fonds en France, va s’appuyer sur l’expertise du tierce partie marketeur (TPM) Investeam pour son développement commercial, ont annoncé ce 15 octobre les deux sociétés. Contacté par NewsManagers, AMOet Investeam précisent viser l’ensemble de la clientèle professionnelle en France (institutionnels, banques privées, réseaux bancaires, family-office, CGP). La France est par ailleurs le seul grand marché d’Europe continentale pour lequel AMO fait appel à un TPM, l’Europe du Sud, l’Allemagne et le Benelux étant couverts par des membres de l'équipe commerciale basée à Londres. Les deux premières stratégies commercialiséesdans l’Hexagone sont le fonds AMO Japan Growth Equity Portfolio (actions japonaises avec un style croissance) et le fonds AMO Global Small-Mid Cap Equity Quality Growth Portfolio (actions internationales de petite et moyenne capitalisation avec un style croissance). La gamme Ucits d’AMO se compose de huit fonds et le gestionnaire japonais pourrait enregistrer d’autres fonds sur le marché français. AMOest le deuxième plus grand gestionnaire d’actifs au Japon avec plus de 487 milliards de dollars (416 milliards d’euros) sous gestion et ambitionne de figurer dans le top 10des sociétés de gestion à l’international.
La banque américaine Wells Fargo a présenté ce 14 octobre ses résultats financiers du troisième trimestre. Dans le département de gestion d’actifs et de fortune, qui regroupe Wells Fargo Advisors, The Private Bank, Abbot Downing, et Wells Fargo Asset Management, le produit net trimestriel a chuté de 25% sur un an glissant, à 3,8 milliards de dollars. Une baisse de 1,3 milliard de dollars qui s’explique notamment par un effet périmètre, puisque la firme a cédé son entité dédiée aux solutions retraites institutionnelles et trusts, qui représentait 1,1 milliard de revenus en 2019. Le résultat net s'élève lui à 463 millions de dollars, soit -64% par rapport au T3-2019. Les encours totaux sous gestion s'élèvent, au 30 septembre, à 1.900 milliards de dollars, un niveau constant par rapport au trimestre précédent. La décollecte sur trois mois a été compensée par l’effet marché, a précisé la firme, sans entrer dans les détails. Les encours de la sous-division Asset Management ont été enregistrés à 607 milliards de dollars, soit une hausse de 21% par rapport au troisième trimestre 2019, principalement alimentée par les fonds monétaires et la hausse des marchés, et partiellement effacée par la décollecte sur les fonds actions. Le bénéfice net de 2 milliards de dollars (1,7 milliard d’euros) représente une baisse de 43,5% par rapport au bénéfice de 4,6 milliards de dollars enregistré au troisième trimestre 2019. Au deuxième trimestre, la banque avait subiune perte nette de 2,4 milliards de dollars.
La société de gestion américaine Stone Ridge, qui gère 13 milliards de dollars, a annoncé l’acquisition de 10.000 bitcoin pour une valeur de 115 millions de dollars. Cet investissement a étéréalisé dans le cadre de satrésorerie de réserve du groupepar une de sesfiliales, New York Digital Investment Group, qui se trouve être également le dépositaire.
L’association de la gestion d’actifs espagnole Inverco a indiqué que les encours sous gestion discrétionnaire en Espagne s'élevaient à 78 milliards d’euros fin juin. Celasuppose une hausse de 7% de ces encours au cours du deuxième trimestre 2020, qui s’explique tant par la collecte nette que les effets de marché enregistrés sur la période, selon Inverco. L’association a recensé 740.000 portefeuilles gérés de manière discrétionnaire pour un patrimoine moyen d’environ 97.954 euros. Quelque 35% de la gestion discrétionnaire espagnole se fait au travers de fonds d’investissement gérés par des sociétés tierces.
Le gestionnaire français BNP Paribas Asset Management a annoncé mardi le lancementd’un ETF sur l'économie bleue, BNP Paribas Easy ECPI Global ESG Blue Economy Ucits. Celui-ci est coté sur la bourse allemande Xetra ainsi que sur Euronext depuis le 6 octobre. Il suit l’indice ECPI Global ESG Blue Economy, composé de 50 titres de large capitalisation impliqués dans l'économie bleue, notion qui comprend entre autres l’utilisation durable des ressources des océans pour la croissance économique. L’indice répond aux besoins de l’objectif numéro 14 de développement durable des Nations Unies portant sur la protection de la vie sous-marine. Les 50 compagnies sélectionnées dans l’indice sont classées en cinq secteurs: protection du littoral et tourisme écologique, énergie et ressources (énergie éolienne, maritime, etc), poissonneries et aliments de la mer, réduction de la pollution et transport maritime. L’indice exclut les compagnies qui violent les principes de l’UN Global Compact et impliquées dans la manufacture d’armes ainsi que les sociétés dont les revenus sont tirés à plus de 10% du tabac, de l’extraction de charbon thermique ou du pétroleet du gaz non conventionnel.
Legal & General Investment Management (LGIM) a publié ce 14 octobre son engagement annuel sur l’impact climatique, et a annoncé dans le même temps qu’elle publierait désormais la notation de risque climatique qu’elle attribue à un millier de grandes capitalisations. Cette notation est issue du système quantitatif propriétaire de LGIM, qui prend en compte la gouvernance, les objectifs d'émission carbone des entreprises, et le lobbying gouvernemental de ces dernières. La firme britannique va désormais classer, sur son site internet, les entreprises en trois catégories, selon un système de «feux de circulation». Celles qui ne respectent pas les normes minimales en matière de durabilité, ou qui ne communiquent pas avec LGIM, se verront octroyer un vote négatif et subiront un éventuel désinvestissement des fonds de la gamme Future World, qui représentaient 9,5 milliards de livres à mi-octobre.
Après Hong Kong, le gérant d’actifs suisse Vontobel AM vient d’ouvrir un bureau à Singapour, afin d’accélérer sa croissance en Asie. Il est constitué de deux collaborateurs, recrutés pour l’occasion : Benny Gay comme directeur des clients intermédiaires, et Jeremy Tan, responsable relations clients intermédiaires. Les deux recrues arrivent de DWS, dont Benny Gay était le responsable clients banques privées et intermédiaires pour la région.
La société de gestion américaine PineBridge Investments a conclu un accord pour l’acquisition deBenson Elliot Capital Management, gestionnaire de fonds de private equity immobilier basé à Londres. Le montant de l’opération n’a pas été dévoilé. Benson Elliot, fondé en 2005, gère plus de 3,5 milliards de dollars et son portefeuille inclut un mix d’actifs immobiliers européens situés au Royaume-Uni, en Allemagne, France, Espagne, Italie, Belgique et Pologne. La société de gestion londonienne a déjà lancé quatre fonds, dont le dernier, Elliot Real Estate Partners V, a levé 836 millions d’euros pour son closing final en 2019. Une fois l’acquisition validée, les équipes de Benson Elliot rejoindront PineBridge. Cette acquisition va permettre à PineBridge de se lancer sur de nouvelles classes d’actifs d’alternatives. Son directeur général, Greg Ehret, a noté que l’immobilier était «une classe d’actifs stratégiquement importante pour les investisseursinstitutionnels, particulièrement dans une période d’environnement de taux bas.» La firme gérait 104,4 milliards de dollars à fin juin. Du côté de Benson Elliot, Marc Mogull, président exécutif et responsable des investissements, estime que cette transaction va permettre à la compagnie de «rester à l’avant» dans le domaine du private equity immobilier.
La société de gestion quantitative AJO Partners, qui gère 10 milliards de dollars dans un style «value», prévoit de fermer à la fin de l’année et de rembourser ses clients après que plusieurs de ses fonds aient subi des pertes importantes, rapporte le Financial Times. Ted Aronson, fondateur de la société, a annoncé aux investisseurs qu’AJO cesserait la gestion des fonds le 30 novembre avant de liquider la société le 31 décembre, selon une lettre d’investisseurs lue par le FT. Le fonds grandes capitalisations d’AJO, qui était le plus gros avec 5,1 milliards de dollars d’actifs, perdait 15,5 % à fin septembre. A son pic, AJO gérait 31 milliards de dollars dans plusieurs fonds. Mais la gestion value ne fait plus de performance depuis plusieurs années.
DNCA Finance s’engage à publier chaque année la trajectoire climatique de l’ensemble de ses investissements gérés dans le cadre de l’Accord de Paris et de l’objectif d’une neutralité carbone en Europe à horizon 2050. Cela prendra effet en juin 2021. Pour piloter cette trajectoire, la filiale de Natixis Investment Managers va utiliser les évaluations de température du CDP (Carbon Disclosure Projet). Les températures calculées par la CDP fournissent une trajectoire de réchauffement pour près de 250 sociétés internationales, basée sur leurs objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre (GES) couvrant toute la chaîne de valeur des entreprises. DNCA va donc un peu plus loin après avoir développé l’an dernier un modèle d’analyse climat des émetteurs, basé sur les recommandations de la Taskforce on Climate related Financial Disclosure (TCFD), les scénarii énergétiques de l’Agence Internationale de l’Energie (AIE) et du GIEC et l’initiative des Science Based Targets (SBTi). En plus d’apporter un cadre commun de lecture et d’analyse des entreprises, ce modèle fournit des indicateurs sur la matérialité et la gestion des risques climatiques. Dans la continuité, DNCA a lancé le fonds DNCA Invest Beyond Climate avec l’objectif de contribuer à l’atteinte des objectifs de l’Accord de Paris et à la neutralité carbone en Europe en 2050.
La Financière de l’Echiquier (LFDE) vient d’obtenir l’agrément nécessaire à la distribution du fonds Echiquier World Next Leaders pour l’Allemagne et l’Autriche, a appris Das Investment. Le fonds d’actions internationales, géré par Rolando Grandi et ses équipes, est issu du repositionnement du fonds Echiquier Global Opportunités, lancé en avril 2013. Il vise les moyennes capitalisations (inférieures à 20 milliards d’euros) qui seront les futurs leaders de la croissance mondiale.
Cette stratégie défensive a bien négocié les écueils de ces dernières années mais la crise du coronavirus pèse sur ses bons résultats, au moins temporairement.
C’est la somme que va puiser la Norvège dans son fonds souverain de 972 milliards afin de financer son « déficit fiscal structurel hors pétrole ». Sans surprise, la relance post-Covid et les efforts de lutte contre l’épidémie auront pesé lourd en 2020 : ce déficit représentait 3 % des actifs du fonds l’an dernier, mais il atteint cette année 3,9 %. Le coût du soutien public pendant la crise a été évalué à 11,5 milliards d’euros. La somme prélevée est d’autant plus exceptionnelle qu’elle rompt avec les règles budgétaires du pays, qui lui imposent de ne pas ponctionner plus de 3 % des actifs du fonds. Optimiste sur la suite de l’épidémie, le gouvernement s’est donc engagé à redresser la situation l’an prochain.
Virage. La banque américaine Morgan Stanley a annoncé le rachat, pour 7 milliards de dollars, du gestionnaire d’actifs Eaton Vance, quelques jours à peine après avoir bouclé le rachat du courtier en ligne E*Trade. Ces deux acquisitions soulignent la forte volonté pour le groupe de se détacher des activités de marché. Avec le rachat d’Eaton Vance, Morgan Stanley double ses actifs sous gestion pour le compte de fonds de pension et autres grands institutionnels, pour atteindre 1.200 milliards de dollars. Selon la presse américaine, Eaton Vance gère 500 milliards de dollars d’actifs et devrait permettre à Morgan Stanley de réaliser 1,7 milliard de dollars de chiffre d’affaires annuel supplémentaire. Le rachat d’E*Trade pour 13 milliards de dollars en actions doit de son côté lui rapporter 360 milliards de dollars d’actifs.
Mieux que la terrasse improvisée à base de palettes en bois et de toile de tente, voici la cabane en dur : dans ce restaurant d’Hanau, non loin de Francfort (photo), il est possible de dîner tout en respectant les distances sociales dans de petites maisons de verre. C’est à cela que l’on reconnaît la qualité allemande, jamais démentie depuis le début de la pandémie. Mais même Berlin s’inquiète de la résurgence des infections dans un pays où la première vague est pourtant montée bien moins haut que chez ses voisins. « Ne gâchons pas tous nos efforts de ces derniers mois en relâchant notre vigilance », insiste la chancelière Angela Merkel.
27,5 millions de dollars : c’est le prix record atteint par un fossile particulièrement bien conservé de T-Rex. L’emblématique saurien ne fascine pas que les enfants : Leonardo DiCaprio ou Nicolas Cage sont parmi les plus grands collectionneurs de lézards pétrifiés. D’autant qu’il s’agirait d’un bon placement : les musées n’hésitent pas à louer les squelettes bien conservés à prix d’or.