Le variant dit britannique du coronavirus représente une infection sur quatre en France, a déclaré jeudi le ministre de la Santé, Olivier Véran, lors d’un point hebdomadaire sur la crise sanitaire. Les variants apparus en Afrique du Sud et au Brésil circulent quant à eux moins sur le territoire français, a-t-il précisé, ajoutant que la diffusion de ces deux variants n'était pas inéluctable. Le ministre se rendra vendredi en Moselle, zone particulièrement affectée, pour y mener des concertations.
Les particuliers utilisant un service à domicile, directement ou via une entreprise prestataire, bénéficieront à partir de 2022 d’un système de «tiers payant» pour leur crédit d’impôt, ce qui devrait contribuer à la lutte contre le travail au noir, a annoncé jeudi le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt. Les personnes âgées en perte d’autonomie ou handicapées bénéficiant d’une aide à domicile seront éligibles à cette réforme un peu plus tard en 2022.
OFI AM part à la conquête de l’Asie. La société de gestion du groupe éponyme va prochainement créer une joint-venture à Hong Kong, avec son concurrent belge Degroof Petercam AM, a annoncé son directeur général Jean-Pierre Grimaud lors de la présentation à la presse du plan stratégique du groupe ce 11 février. Elle sera active tant dans la gestion de fonds, la recherche financière et extra-financière, que la distribution. La société va prochainement déposer sa demande d’agrément auprès du régulateur hongkongais, et espère devenir opérationnelle d’ici l'été. Le capital est réparti à 66% pour le Français et 34% pour le Belge. Des fonds émergents pour les Européens, et des fonds européens pour les investisseurs chinois Les gestions basées à Hong Kong couvriront les marchés émergents, tant sur les actions que les obligations. Ces fonds seront commercialisés auprès de clients européens. Ces stratégies émergentes représentent aujourd’hui moins de 500 millions d’euros d’encours. Mais Jean-Pierre Grimaud compte bien profiter de la croissance du poids des entreprises émergentes dans les indices mondiaux, et donc mécaniquement dans les portefeuilles des investisseurs institutionnels, pour renforcer ce segment. Côté analyse, des équipes de recherche actions, obligataire et extra-financière couvriront la région Asie. Elles sont en cours de création. Enfin, sur la distribution, la joint-venture aura pour vocation de commercialiser les produits européens auprès de clients institutionnels hongkongais et chinois. Le futur responsable de la commercialisation a déjà été trouvé, et est désormais chargé de construire son équipe. Une diversification clients qui passe par l’international Cette joint-venture s’inscrit dans l’un des piliers du nouveau plan stratégique à horizon 2023 d’OFI, la diversification de sa clientèle. La filiale de la Macif et de la Matmut, très présente historiquement auprès des mutuelles hexagonales, mise depuis quelques années sur les principaux marchés institutionnels du continent européen pour maintenir sa dynamique de collecte. Mais la relative faiblesse de la croissance de l'épargne disponible à gérer en Europe la conduit aujourd’hui à se tourner vers l’Empire du Milieu, dont le dynamisme et l’ouverture rapide des marchés de capitaux attirent les plus importants gérants d’actifs mondiaux. La santé du groupe repose également sur les investisseurs individuels intermédiés, dont les encours gérés par OFI ont progressé de 70% en quatre ans. Cette clientèle est activement courtisée depuis la mise en place du précédant plan stratégique, dessiné il y a cinq ans. Partie de presque rien, elle représente aujourd’hui 5% des 67 milliards d’euros d’encours à fin décembre, et presque 38% des 1,35 milliard d’euros collectés en gestion collective sur 2020. Cette diversification est d’autant plus stratégique pour OFI que le groupe a perdu un important mandat. Jean-Pierre Grimaud a annoncé pendant la conférence de presse que Mutex avait rapatrié 8,2 milliards d’euros d’encours au sein des gestions du groupe Vyv. En dehors de cet échec, OFI AM a toutefois collecté 370 millions d’euros sur ses mandats, 400 millions d’euros dans ses fonds traditionnels ouverts, et 950 millions d’euros dans ses fonds non-cotés ouverts. Définir sa raison d'être L’autre axe majeur du plan triennal consiste à devenir un leader de la finance durable. Pour ce faire, la société, qui compte déjà 23 fonds labellisés dans le domaine de l’ISR, va renforcer ses politiques d’exclusion et de transition dans différents domaines. Mais, surtout, elle réfléchit actuellement à la définition de sa raison d'être. Une consultation «très large» avec les parties prenantes est en cours, et va prochainement s’ouvrir aux collaborateurs, a indiqué Jean-Pierre Grimaud. La présentation de cette «raison d'être», qui sera intégrée dans les statuts, doit avoir lieu dans le courant de l’année. Enfin, OFI AM a esquissé une réorganisation structurelle du groupe en trois domaines d’expertises. Il s’agit des gestions traditionnelles (OPCVM et assurantielles), des stratégies de diversification (classes d’actifs non cotées ou diversifiantes), et des métiers de la distribution.
Le groupe américain Fidelity a triplé la surface de ses bureaux à Shangai en septembre dernier pour pouvoir accueillir près d’une centaine de nouveaux salariés, selon l’agence Reuters. Le groupe se prépare à voir son activité en Chine s’accroître alors qu’il s’apprête à lancer une filiale de gestion d’actifs détenue à 100% comme les nouvelles règles chinoises l’y autorisent. Ces recrutement sont sans compter ceux prévus aussi dans son centre opérationnel et technologique de Dalian. Le groupe BlackRock quant à lui, qui met en place une filiale détenue à 51% avec Temasek et China Construction Bank, va recruter au moins une douzaine de conseillers senior en gestion de fortune, si l’on en croit les annonces du site Glassdoor.
BNP Paribas Asset Management a «softclosé» son fonds Energy Transition après que la stratégie ait atteint 3,5 milliards d’euros d’actifs au début de 2021, a appris Citywire Selector . Le fonds BNP Paribas Energy Transition, qui est co-géré par Edward Lees et Ulrik Fugmann, avait atteint 3 milliards d’euros à la fin de 2020 avant que les engagements existants et les nouveaux capitaux ne voient ce chiffre augmenter davantage. Le groupe français a imposé des restrictions sur le fonds au début du mois de février.
Allianz Global Investors a mis en place un fonds «Allianz France Relance» dans le cadre du programme de 1,5 milliard d’euros «Assureurs-Caisse des Dépôts Relance Durable France» investi dans des entreprises françaises et visant à promouvoir une reprise économique durable de la France. Ce fonds est sponsorisé par Allianz France et sera ouvert aux autres investisseurs institutionnels. Le fonds investira dans des entreprises de taille moyenne, cotées ou non cotées, en dette senior. Il fera l’objet d’un reporting spécifique à la FFA (Fédération française des assurances) sur les aspects ESG. Le pôle de dette privée du groupe Allianz Global Investors gère environ 36 milliards d’euros d’actifs et compte 65 personnes. L'équipe en charge du programme compte 7 personnes, principalement basées à Paris depuis 2013.
La Banque Postale Asset Management (LBP AM) annonce avoir créé, le 26 janvier 2021, une nouvelle part L au sein du FCP LBPAM ISR Convertibles Europe, à destination des personnes physiques et des personnes morales. Cette nouvelle part L est accessible avec un montant minimum de souscription initiale de 1.000 euros – soit l’équivalent à une part – et des frais de gestion de 1.20% TTC maximum. A l’instar des autres parts du FCP, la part L sera libellée en euro et pourra être fractionnée en cent-millièmes de parts. Les autres caractéristiques du FCP demeurent inchangées et l’opération n’a aucune conséquence sur le profil rendement/risque du FCP.
Candriam a obtenu le label ISR d’Etat pour 16 fonds totalisant un encours de 6,1 milliards d’euros. Diverses classes d’actifs et stratégies de gestion sont concernées: obligations de la zone euro, obligations à haut rendement, actions européennes, émergentes, gestions thématiques. La société de gestion obtient également le Label gouvernemental « Relance » pour son premier fonds de fonds de capital-investissement d’impact. Parmi ces fonds figurent les 5 déjà labellisés en 2018, mais également plusieurs fonds actions thématiques et durables dont Candriam Sustainable Equity Climate Action lancé en juin 2019 qui investit dans des entreprises mondiales offrant des solutions à long terme au problème du changement climatique et qui vient d’atteindre 1 milliard de dollars d’encours (à fin décembre 2020) ainsi que le fonds Candriam Sustainable Equity Circular Economy, lancé en ce début d’année sur le marché français, fonds d’actions internationales conçu pour promouvoir une économie zéro déchet, en investissant dans des entreprises qui placent l’économie circulaire au cœur de leur activité et contribuent ainsi à un avenir plus durable. Le label ISR a également été attribué au fonds santé Candriam Equities L Oncology Impact, lancé il y a deux ans, investissant dans des sociétés cotées qui développent des produits et services contribuant activement à la lutte contre le cancer. Le fonds vient d’atteindre 2 milliards de dollars d’encours (à fin décembre 2020). Deux fonds actions européennes de conviction rejoignent également la liste : Candriam Equities L Europe Innovation et Candriam Equities L Europe Optimum Quality. Enfin, la stratégie Candriam Sustainable Equity Emerging Markets qui a été l’un des premiers fonds d’actions émergentes intégrant une approche ESG il y a 13 ans a également recu le label ISR. Ces labels ont été délivrés pour une durée de 3 ans, à la suite de l’audit réalisé par l’AFNOR.
PGIM Investments, la société de gestion principale du groupePGIM lui-même filiale de gestion de l’assureur américainPrudential Financial, a terminé 2020 avec une collecte nette de 21,7 milliards de dollars dans ses fonds collectifs, portant ses encours sur les fonds collectifs à 160,4 milliards de dollars (+31% par rapport à 2019). Le montant s'élève à 163,3 milliards de dollars en ajoutant les ETF et les fonds fermés. Il s’agit de la douzième année consécutive de flux positifs nets pour PGIM Investments qui a vu une demande accrue pour ses fonds obligataires actifs. Le groupe PGIM pesait 1.500 milliards de dollars d’encours fin décembre.
La boutique de gestion H2O Asset Management, qui s’apprête à devenir indépendante, est en train de liquider son fonds H2O Fidelio, un fonds de performance absolue long/short market neutral, rapporte Citywire Selector. Le fonds est géré par Gonzague Legoff et Christophe Chappuis. Citywire remarque que si le fonds affichait 178 millions de dollars d’encours en décembre 2020, ils n'étaient plus que 35,7 millions de dollars en janvier 2021 selon les chiffres indiqués sur le site de Natixis. H2O Fidelio ne faisait pas partie des fonds ayant fait l’objet de mesures deside-pocketsuite aux turbulences traversées par la firme ces deux dernières années sur le plan de la liquidité de ses produits.
La transaction entre Natixis et le fonds Arch Capital, qui portait sur la cession d’une partie du capital de Coface et avait été annoncée le 25 février 2020, a reçu toutes les autorisations nécessaires à son exécution. «Par conséquent, Arch détient aujourd’hui 44,8 millions d’actions Coface, représentant 29,5% du capital» de l’assureur crédit, a annoncé ce dernier dans un communiqué. Pour l’occasion, les administrateurs représentant Natixis au conseil ont démissionné. Le conseil a coopté quatre administrateurs nommés par Arch ainsi que Bernardo Sanchez Incera, qui devient président de Coface à la place de Nicolas Namias, directeur général de Natixis. Agé de 60 ans, Bernardo Sanchez Incera a notamment été directeur général délégué de la Société Générale entre 2010 et 2018. Xavier Durand reste directeur général de l’assureur crédit.
A quelques encablures du siège de Fidelity, une équipe de quants travaille dur dans un anonymat relatif, relate le Wall Street Journal. Cette équipe constitue pourtant une arme clé dans la bataille de la société de gestion pour rattraper tous ses concurrents, de Vanguard à Robinhood. Créée en 2001, cette société s’appelle Geode Capital Management. Elle faisait partie de Fidelity avant d’en être détachée en 2003. Elle compte 140 employés – principalement des ingénieurs - et n’a pratiquement pas de budget marketing. Surtout, elle gère aujourd’hui quelque 720 milliards de dollars, contre moins de 100 milliards il y a dix ans. Geode est l'élément clé des efforts déployés par Fidelity pour réduire les coûts d’investissement dans toutes ses activités, écrit le WSJ. Elle a aidé Fidelity à regagner le terrain perdu face aux géants de la gestion passive que sont Vanguard et BlackRock. Elle a également attiré de nouveaux clients vers la société à l'époque des transactions sans commission. Les investissements gérés par Geode ont aidé Fidelity à faire passer ses actifs sous administration de 8.320 milliards de dollars fin 2019 à 8.800 milliards de dollars en septembre... Geode est une société distincte, poursuivant une stratégie d’investissement différente de celle de Fidelity. Mais la société reste sous le contrôle de la famille Johnson, note le WSJ.
BNY Mellon Investment Management a découpé sa filiale Mellon en quatre morceaux, dont trois seront transférés à ses autres sociétés. La gestion obligataire de Mellon, représentant 105,2 milliards de dollars d’actifs, sera transférée à Insight Investment. Cela permettra à ce dernier d’atteindre 1.100 milliards de dollars en gestion obligataire et sous contrainte de passif. La gestion actions de Mellon sera confiée à Newton, qui récupérera aussi par ailleurs l’expertise actions japonaises de BNY Mellon IM. Cela lui permettra de grossir à 140 milliards de dollars d’encours. Enfin, le pôle liquidité de Mellon sera apporté à Dreyfus CIS, ce qui lui permettra de dépasser les 300 milliards de dollars d’encours. Bien qu’amputé d’une bonne partie de ses actifs, Mellon ne disparaîtra pas pour autant et continuera à fournir de la gestion indicielle actions et obligataire aux investisseurs institutionnels, avec 390 milliards de dollars. Stephanie Pierce restera CEO de l’activité indicielle de Mellon. En revanche, suite à cette réorganisation, Des Mac Intyre, l’actuel CEO de Mellon, a décidé de quitter la société fin février. Michael Germano, le directeur des opérations de Mellon, reprendra les responsabilités de Des Mac Intyre comme CEO de la gestion active pendant la période de transition. «La décision permettra de renforcer les spécialités de chaque société de gestion», indique un communiqué. Le transfert devrait être bouclé d’ici au troisième trimestre 2021. Les processus d’investissement resteront inchangés.
Vanguard a annoncé ce 10 février la nomination de Fong Yee Chan à la direction de la stratégie ESG pour l’Europe, un poste nouvellement créé. Elle sera chargée de concevoir l’approche du géant de l’indiciel en matière d’ESG sur le continent. Basée à Londres, elle est rattachée à Matthew Piro, directeur du département produit pour l’Europe. Fong Yee Chan dirigeait jusqu’ici l’équipe produits d’investissement durables de FTSE Russell, où elle était plus particulièrement responsable de la stratégie d’investissement durable pour les ETF dans la région EMEA. Auparavant, elle fut notamment directrice ESG d’eFront. Elle siège par ailleurs au conseil d’administration de l’Association britannique pour l’investissement et la finance durables (UKSIF).
Amundi SGR a nommé Stefano Pregnolato responsable multi asset fund solutions à Milan. Avant cela, l’intéressé était directeur des investissements d’Amundi en République tchèque, et e depuis septembre 2019. Avant, il était responsable governance and international oversight pour la ligne métier dédiée aux marchés émergents à Londres. Stefano Pregnolato a débuté sa carrière comme gérant de portefeuilles à San Paolo Hambros à Turin. Ensuite, il a été gérant actions américaines de Gesticredit. A partir de 1999, il est devenu responsable des actions monde de Pioneer Investments à Dublin, puis directeur des actions internationales à Boston. Entre 2004 et 2018, Stefano Pregnolato était directeur des investissements pour l’Autriche et la division CEE à Prague et Vienne.
2021 sera l’année de la gestion active. Comme 2020. Et 2019. Ou peut-être même 2018… Combien de fois a-t-on entendu cette antienne, répétée par ceux-là même que le paquebot des fonds indiciels cotés (ETF) menaçait d’engloutir dans son sillage ? Et combien de fois cette prévision a été démentie par les faits, y compris lorsque les turbulences des marchés auraient dû profiter aux barreurs qui savent tenir leur cap dans la tempête ? Et pourtant, cette fois, c’est différent.
Clair obscur. Les modifications apportées au règlement européen Priips devaient rendre plus transparent le document d’information des produits d’investissement dédiés aux investisseurs particuliers. Mais les différentes parties prenantes pointent les problématiques liées aux informations complexes qui doivent y figurer. L’association européenne de la gestion d’actifs, l’Efama, fait ainsi campagne pour une révision des mesures techniques et se demande « comment créer un document d’investisseur clé homogénéisé pour des produits extrêmement différents (produits assurantiels et fonds d’investissement) à partir d’informations qui soient à la fois significatives et non trompeuses ». L’Efama a aussi demandé un report de 12 mois de la date limite de mise en œuvre du document d’investissement clé Priips pour les fonds d’investissement dédiés aux particuliers qui sont pour l’instant exemptés jusqu’au 31 décembre 2021. Selon l’association, les 11 mois restants ne laissent pas suffisamment de temps aux gestionnaires d’actifs pour modifier des dizaines de milliers de documents. L’Efama souhaite donc que les fonds concernés continuent d’utiliser le document d’investissement clé Ucits.
La Réserve fédérale (Fed) poursuivra ses efforts pour soutenir l'économie américaine à travers des taux historiquement bas et d’importants rachats d’actifs, a déclaré mercredi Jerome Powell, le patron de l’institution, lors d’un discours prononcé devant l’Economic Club de New York. Il a souligné que le marché du travail restait très fragilisé par les conséquences de la crise sanitaire. Il a indiqué qu’une «politique monétaire durablement accommodante» serait un facteur important de la reprise, et que la Fed restait déterminée à maintenir ses mesures de soutien tant qu’elle n’aurait pas atteint ses objectifs de plein emploi et de hausse des prix. Le banquier central a également réitéré son appel en faveur de mesures de relance budgétaire supplémentaires.
Euronext a fait état mercredi d’un chiffre d’affaires annuel soutenu par les revenus issus des cotations, du trading et des opérations de compensation après la consolidation de certaines acquisitions. Son chiffre d’affaires a augmenté de 30,2% à 884,3 millions d’euros alors que les analystes interrogés par Refinitiv prévoyaient en moyenne 869 millions d’euros. Le résultat net, en hausse de 42% à 315,5 millions d’euros, est en revanche ressorti en dessous des attentes. Le groupe dit avoir a été pénalisé par des coûts exceptionnels liés à la restructuration et à l’acquisition de Borsa Italiana. L’opérateur des Bourses de Paris, Amsterdam, Bruxelles, Dublin, Lisbonne et Oslo prévoit de boucler l’acquisition du groupe Borsa Italiana au premier semestre 2021.
Le volet universel du fonds de solidarité, qui permettait à toutes les petites entreprises en difficulté d’obtenir une aide mensuelle jusqu'à 1.500 euros, sera finalement prolongé pour les mois de janvier et février, a annoncé mercredi le ministre de l’Economie Bruno Le Maire. Il «devait être suspendu à partir du 31 décembre 2020 [mais] sera maintenu pour le mois de janvier et le mois de février 2021», a déclaré le ministre devant la commission des Affaires économiques de l’Assemblée nationale.
La filiale d’assurance-vie de Groupama a sélectionné le distributeur de fonds MFEX comme plateforme de placements d’unités de compte. Le groupe suédois, qui sert d’intermédiaire entre sociétés de gestion et distributeurs de fonds, devient donc l’unique point d’entrée pour le placement en OPC de Groupama Gan Vie. La plateforme référence plus de 950 sociétés de gestion, soit 80,000 fonds.