HSBC Global Asset Management Deutschland vient de nommerAxel Cron en qualité de nouveau responsable des investissements et membre de la direction élargie. Il va prendre la succession de Christian Heger, membre de la direction depuis 2001, qui, après 35 ans au sein de la banque, a fait valoir ses droits à la retraite. Agé de 51 ans, Axel Cron a rejoint HSBC en Allemagne en 2004, en tant que gérant de portefeuille pour le compte de HSBC Global Asset Management Deutschland. Depuis 2012, il dirige l'équipe dédiée à la gestion obligataire tout en étant parallèlement coresponsable de la gestion de portefeuille. Avant de rejoindre HSBC, il a travaillé chez UBS à Zurich et chez WestAM, la filiale de gestion de la banque publique régionale WestLB.
Les investisseurs qui se classent comme des connaisseurs ou des experts sont plus enclins à s'exposer davantage. Ils s'intéressent aux placements à haut risque et accordent moins de poids aux liquidités que les investisseurs novices.
Hilbert Investment Solutions, spécialiste dans la conception et la distribution de produits structurés et de solutions d’investissements sur mesure, accélère son développement avec l’arrivée de Xavier Millischer dans son équipe, en qualité de directeur commercial.Au travers de ce recrutement, Hilbert IS poursuit sa croissance en France et renforce sa présence auprès des CGPI, des Family Offices et des tiers distributeurs. Spécialiste de la distribution de produits financiers auprès des CGPI et de banquiers privés, Xavier Millischer, fort d’une expérience de plus de 25 ans auprès de ces professionnels, a entre autres été directeur commercial de Skandia Life, puis directeur des partenariats Épargne du Groupe APICIL.
NN Investment Partners (NN IP), a annoncé ce lundi 17 décembre le recrutement de Bronka Rzepkowski au poste de responsable de la stratégie d’investissement de son équipe multi-asset. Elle dirigera une équipe de 9 macroéconomistes, stratégistes et data scientists. Bronka Rzepkowski sera basée au siège de NN IP à La Haye et sera rattachée à Ewout van Schaick, le directeur du multi-asset. Titulaire d’un doctorat en économie et finance de l’université Paris X, Bronka Rzepkowski a débuté sa carrière en tant qu’économiste à la Banque de France à la fin des années 90. Elle a ensuite été économiste senior à la BCE pendant sept ans puis a rejoint Oxford Economics à Londres au poste de lead global strategist. Avant de rejoindre NN IP, elle était responsable de la recherche global macro fixed income chez Robeco. « Compte tenu de son expérience aux postes d’économiste à la BCE et chez Oxford Economics, Bronka Rzepkowki est la personne idéale pour diriger l’équipe invesment strategy de NN IP. Cette équipe combine analyses fondamentale et comportementale pour publier des commentaires d’investissement top-down. NN IP a par ailleurs pour objectifs l’année prochaine de trouver de nouvelles sources de données, multiplier ses efforts de recherche de signaux comportementaux et innover en matière d’intelligence artificielle mais aussi étendre la couverture de son allocation d’actifs à moyen-terme», indiqueEwout van Schaick dans un communiqué.
NN Investment Partners (NN IP) has announced the recruitment of Bronka Rzepkowski as head of investment strategy on its multi-asset team. Rzepkowski will direct a team of nine macroeconomists, strategists, and data scientists. Rzepkowski will be based at the headquarters of NN IP in The Hague, and will report to Ewout van Schaick, director of multi-asset. Rzepkowski, who holds a doctorate in economics and finance from the Université Paris X, began her career as an economist at the Bank of France in the late 1990s. She then served as senior economist at the ECB for seven years, and then joined Oxford Economics in London as lead global strategist. Before joining NN IP, Rzepkowski was responsible for global macro fixed income research at Robeco. “Given her experience as an economist at the ECB and Oxford Economics, Rzepkowski is the ideal person to direct the investment strategy team at NN IP. This team combines fundamental and behavioural analysis to publish top-down investment commentaries. NN IP has also defined goals for next year to find new sources of data, to step up its efforts to identify behavioural signals, and to innovate in the field of artificial intelligence, as well as to extend coverage of its asset allocation in the mid-term,” van Schaick says in a statement.
L’agence de labellisation luxembourgeoise Luxflag compte désormais un quatrième pays à son champ d’action, l’Allemagne qui vient s’ajouter au Luxembourg, à la France et à la Belgique. L’agencevient en effet d’attribuer son premier label ESG à un fonds domicilié en Allemagne,UniNachhaltig Aktien Global. Le Label ESG a aussi été récemment attribué à trois autres véhicules : Midas Eurozone Equity, Midas Patrimonial FundetCapitalatWork Foyer Umbrella – Sustainable Equities at Work. La labellisation Luxflag, dans la microfinance, l’environnement, la finance climatique, les green bonds ou encore les fonds ESG,constitue une référence sur les marchés au point que des fonds domiciliés dans différents pays y recourent. C’était déjà le cas en Belgique et en France, outre les différents fonds enregistrés au Luxembourg.Au 1er janvier prochain, 104 véhicules d’investissement, dont 38 fonds ESG et 31 fonds de microfinance, seront estampillés en accord avec un des labels de Luxflag.
Goldman Sachs Asset Management (GSAM) va racheter Aptitude, une société de fonds de hedge funds, a indiqué à Pensions & Investments Patrick Scanlam, porte-parole de la société de gestion. Le porte-parole n’a pas précisé les modalités de l’opération qui devrait être bouclée avant la fin de l’année. Selon les dernières données de la Securities& Exchange Commission (SEC), Aptitude gère environ 5,4 milliards de dollars. L'équipe d’Aptitude va intégrerla division de GSAM dédiée aux investissements alternatifs et à la sélection de fonds. A fin septembre 2018, cette division gérait quelque 200 milliards de dollars.
La société de gestion suisse Pictet Asset Management a recruté unancien gérant obligations émergentes de JP Morgan, a appris NewsManagers. L’intéressé, Ravinder Singh,occupe le poste de «senior investment manager» et demeure basé à Londres. Ravinder Singh travaillait depuis 2012 chez JP Morgan qu’il a quitté fin septembre. Il faisait notamment partie de l'équipe de gestion des fonds JP Morgan Emerging Markets Strategic Debt et JP Morgan Emerging Markets Strategic Bond. Ravinder Singhadébuté sa carrière comme trader crédit chez Morgan Stanley en2007. Pictet AM a récemment procédé à un autre recrutement sur le segment obligataire en la personne d’Ella Hoxha.
Vanguard a annoncé qu’il s’attendait à dépenser seulement 2 millions de dollars pour de la recherche externe sur les actions en 2019, contre 5 millions de dollars prévu il y a un an, rapporte Financial News. Le groupe, qui gère la majorité de ses actifs de manière passive, dépense beaucoup moins en recherche externe que certains de ses concurrents.
La banque allemande Targobank, qui fait partie du groupe Crédit Mutuel, va lancer cette semaine une nouvelle offre de gestion de fortune en ligne, rapporte le Handelsblatt. La nouvelle offre de conseil automatiséest dénommée «Pixit», un concentré de pixel, qui évoque l’univers digital, et de cochon («pig») pour évoquer la traditionnelle tirelire. La stratégie d’investissement sera celle arrêtée par Targobank qui a toutefois fait appel au savoir-faire dela fintech allemande Scalable.
Le Qatar envisage d’accroître sa part dans Deutsche Bank, selonle Handelsblatt.La famille royale détient 6,1% du capital de la banque allemande, selon le site de Deutsche Bank, et l'émirat en contrôle plus de 9% une fois prises en compte ses positions sur instruments dérivés, précisele Handelsblatt. «Nous allons investir dans une grande institution financière en Allemagne. Cela a été discuté en marge du Forum de Doha et sera annoncé prochainement», a déclaré Youssouf Mohamed Al Djaïda, directeur général du groupe public Qatar Financial Center, au quotidien financierallemand. Youssouf Mohamed Al Djaïda n’a pas mentionné le nom de la société mais précisé que le Qatar en possédait déjà une partie du capital.Le Handelsblatt rapporte par ailleurs que Christian Sewing, le président du directoire de Deutsche Bank, était le seul dirigeant d’un grand groupe allemand présent au Forum de Doha qui s’est déroulé au cours du week-end.
Le cours des actions des sociétés de gestion de fonds traditionnelles des deux côtés de l’Atlantique a connu une année difficile en 2018, la plus difficile depuis la crise financière mondiale, rapporte le Financial Times fund management. Les sociétés de gestion européennes cotées ont perdu 27 % en dollars depuis début janvier, tandis que les américaines ont abandonné 24 %, selon Refinitiv. Les perspectives pour 2019 sont compliquées.
Cette année, l’activité ETF d’UBS a subi des rachats nets de 585 millions de dollars, alors qu’elle avait enregistré des souscriptions nettes de 11,4 milliards en 2017, rapporte le Financial Times fund management. Sur novembre seulement, la société a vu sortir 3,1 milliards de dollars sur son activité ETF. Cela a fait suite à un changement d’allocation d’actifs de la part du département gestion de fortune d’UBS, qui est un gros client du pôle ETF. La performance médiocre des marchés actions en Europe et les troubles politiques au Royaume-Uni, en France et en Allemagne ont été des vents contraires importants pour de nombreux gestionnaires d’ETF. La croissance de la collecte sur l’ensemble du secteur est en baisse de moitié cette année. BlackRock a enregistré une collecte nette de 19 milliards de dollars cette année, ce qui est moitié moins qu’en 2017. Lyxor, le troisième acteur dans les ETF en Europe, a vu sa collecte nette chuter de 73 % à 3,2 milliards de dollars cette année. Les acteurs américains qui tentent de s’implanter en Europe ont aussi connu des difficultés; Invesco a accusé des rachats nets de 94 millins cette année et ETF Securities voir sortir 633 millions.
Le gérant d’actifs sud-américain Credicorp Capital a nomméNicole Montalvánau poste de responsable de la gestion d’actifs, rapporte le site spécialisé Funds Society. Basée à Lima, Nicole Montalván, en poste depuis novembre, dirige les équipes de sélectionde fonds tiers, de produits structurés et des fonds maison off-shore. Elle a précédemment travaillé chez Alicorp et Citibank.
L’assureur espagnol Mutua a acquis une participation d’environ25% dans le capital d’Alantra Wealth Management Agencia de Valores et celui d’Alantra Wealth Management Gestión, deux entreprises qui toutes deux forment Alantra Wealth Management, la banque privée du groupe Alantra. Au total, Mutua dispose d’une participation de 50,1% dans Alantra Wealth Management tandis qu’Alantra et son management conservent 25% de la filiale chacun. Mutua paiera initialement 23,75 millions d’euros auxquels s’ajoute un paiement variable pouvant monter jusqu'à 6,25 millions d’euros. L’entrée de Mutua dans Alantra Wealth Management lui permettra de renforcer ses capacités de gestion d’actifs et sa présence auprès des institutionnels espagnols. La transaction demeure sujette à l’approbation du régulateur espagnol CMNV.
La société de gestion japonaise Nikko Asset Management a recruté Clive Plaine en tant que responsable du développement au Royaume-Uni, afin de renforcer son équipe commerciale en Europe. L’intéressé travaillait précédemment au sein de Jupiter Asset Management, et encore avant, chez Franklin Templeton Investments. Chez Nikko AM, Clive Plaine sera membre de l’équipe commerciale Europe, Moyen-Orient et Afrique basée à Londres. Il sera chargé de développer les relations avec les clients britanniques. Nikko AM souligne que l’Europe est un «marché clé» pour lui et que la société a renforcé son offre dans la région.
Sebastian Radcliffe, responsable de la stratégie pour les actions américaines, et Ben Surtees, directeur de la gestion de fonds dans l’équipe marchés émergents, quittent Jupiter Asset Management suite à une revue des capacités d’investissement et de la direction stratégique pour 2019, rapporte Investment Week. Sebastian Radcliffe gérait les fonds Jupiter North American Income et North American Equities et co-gérait le Jupiter Global Equity Income avec Gregory Herbert. Après son départ, le fonds North American Income sera repris par Stuart Cow, tandis que Herbert devient seul gérant le Equity Income. Ben Surtees gérait le Jupiter Asian fund qui est confié à Amélie Thévenet.
La société de gestion norvégienne DNB Asset Management a recruté Malte Kirchner en tant que commercial institutionnel pour couvrir l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse. L’intéressé était dernièrement directeur commercial au sein de Santander Asset Management Allemagne à Francfort. Il avait auparavant piloté la distribution institutionnelle au sein de la boutique d’investissement Staedel Hanseactic. Tout récemment, la société de gestion norvégienne, dont les actifs sous gestion s'élèvent à environ 61 milliards d’euros, a recruté Marta Oudot en France.
La banque suédoise Swedbank a recruté Kerstin Winlöf, actuelle directrice des opérations au sein du département Wealth management and wholesale banking de Nordea, en tant que nouvelle responsable du Group Savings. Elle prendra ses fonctions au plus tard le 1er mai 2019 et siègera aussi au comité exécutif de Swedbank. Group Savings est responsable de tous les produits d’épargne de la banque et a un rôle important dans l’offre de produits et solutions aux clients privés et entreprises de Swedbank. Swedbank Robur, la société de gestion de la banque suédoise, et Swedbank Försäkring, l’activité assurances, font partie de Group Savings. L’actuel responsable de Group Savings, Björn Elfstrand, prendra d’autres fonctions au sein de la banque.
Plus des deux-tiers (68 %) des investisseurs institutionnels s’inquiètent de leur capacité à atteindre leurs objectifs de croissance dans le cadre des conditions de marché actuelles, selon une étude publiée par State Street (*). 72 % des propriétaires d’actifs entendent adopter à l’avenir une stratégie d’investissement plus défensive, et les gérants d’actifs prévoient dans une proportion équivalente de revoir à la baisse leurs plans d’expansion au cours des cinq prochaines années. Dans ce contexte, l’enquête révèle un changement majeur dans la manière dont les participants prévoient de s’adapter. Près de la moitié d’entre eux (48 %) ont identifié les technologies émergentes comme un vecteur principal de croissance au cours des cinq prochaines années. Ceci représente une hausse importante par rapport à l’enquête menée en 2017selon laquelle à peine 18 % des participants estimaient que les technologies émergentes, y compris la blockchain et l’intelligence artificielle, constitueraient un vecteur de croissance majeur. L’enquête mondiale a également montré que les institutions veulent améliorer leur capacité à extraire de meilleures informations à partir de leurs données, un sujet important pour 58 % des participants. 43 % d’entre eux citent l’amélioration de l’analyse des risques comme l’un des principaux résultats qu’ils attendent de leur technologie dans les douze mois qui viennent. «Comme l’enquête l’illustre une fois de plus, l’industrie de l’investissement traverse actuellement une période de changements sans précédent»,a déclaré Liz Nolan, Directrice générale de State Street pour la région EMEA. «Nos clients sont confrontés à une complexité et des attentes réglementaires croissantes, ainsi qu’à la nécessité d’actualiser leur technologie et d’améliorer la gestion de leurs données, et ce, tout en gérant leurs coûts avec prudence. Nous mettons actuellement en place une plateforme intégrée «front-to-back», conçue pour répondre à ces besoins, qui apportera à nos clients un système efficace et rationalisé, une meilleure gestion de l’investissement et des risques, et surtout, la capacité d’extraire des analyses pertinentes et décisionnelles à partir des données.» Les participants affichent cependant un certain degré de prudence, un peu plus des deux-tiers (61 %) indiquant qu’ils opteraient pour une approche graduelle dans l’adoption des technologies émergentes, plutôt que de repenser l’ensemble de leur écosystème informatique. En outre, de nombreuses sociétés ciblent sélectivement des partenaires dans le secteur technologique comme moyen d’atteindre la taille souhaitée compte tenu des coûts qu’implique une refonte totale de l’architecture informatique. En Europe (hors Royaume-Uni), l’insuffisance budgétaire/de financement constitue selon l’enquête l’obstacle le plus important à l’implémentation (46 % contre 27 % pour le Royaume-Uni). En conséquence, une hausse des acquisitions et partenariats pourrait potentiellement transformer l’industrie, 45 % des participants se tournant vers des entreprises de technologie établies pour accompagner le développement de solutions technologiques émergentes. (*) étude intitulée New Routes to Growth[De nouvelles voies vers la croissance] auprès de quelques 500 gérants d’actifs, propriétaires d’actifs et compagnies d’assurance dans le monde, afin de comprendre les difficultés qu’ils rencontrent pour atteindre leurs objectifs de croissance. Il s’agit de la seconde étude annuelle sur ce thème menée par State Street [1] Le rapport «New Routes to Growth» s’appuie sur une enquête menée en 2018 auprès de plus de 500 cadres dirigeants de l’industrie dans 20 pays. [2] Le rapport «A New Climate for Growth: Cultivating Asset Intelligence to Thrive» s’appuie sur une enquête menée en 2017 auprès de plus de 500 investisseurs institutionnels et gérants d’actifs de 15 pays.
La société dédiée à l'épargne salariale lance parallèlement sa fondation destinée à soutenir financièrement « tous les projets et initiatives de l’économie sociale et solidaire porteurs de sens ».