La semaine dernière, BlackRock a promu Roque Calleja au poste de responsable pour l’Amérique latine de BlackRock Alternative Specialists, sa plateforme d’investissements alternatifs, rapporte Citywire Americas. Roque Calleja était jusqu’alors co-responsable de l’activité institutionnelle de BlackRock au Mexique. Dans ses nouvelles fonctions, il sera en charge de la stratégie et de la levée de fondspour la plateforme alternative auprès des institutionnels et des grandes fortunes d’Amérique latine. Il déménagera à New York en avril et sera rattaché à Armando Senra, le responsable de BlackRock pour l’Amérique latine. Les encours de la plateforme BlackRock Alternative Specialists, qui compte plus de 800 professionnels, se chiffrent à 172 milliards de dollars.
Plus de 275 parmi les plus importantes institutions financières basées à Londres ont relocalisé leur activité, déménagé du personnel ou encorecréé de nouvelles entités à l'étranger pour faire face à l’impact du Brexit, rapporte le site Financial News. Le nombre de candidats à l’exil devrait «augmenter significativement» au cours des toutes prochaines années, selon une étude du think tank New Financial. Les banques ont transféré ou sont en train de transférer quelque 800 milliards de livres d’actifs du Royaume-Uni vers l’Union européenne. Les gestionnaires d’actifs ont pour leur part déjà transféré plus de 65 milliards de livres d’actifs de fonds.
La société de capital-investissement Eurazeo a vu son résultat net chuter à251 millions d’euros fin 2018 contre 441 millions d’euros fin2017, selon les résultats annuels publiés par l’entreprise le8 mars. Les actifs sous gestion d’Eurazeo progressent, eux, de 10% sur un anpour ressortir à 16,8 milliards d’euros fin 2018. L’actif net réévalué - 77,5euros par action au 31 décembre2018, en hausse de 4,2% sur un an -compte pour 5,9 milliards d’euros tandis que les10,8 milliards d’euros d’actifs restants sont gérés pour le compte de partenaires investisseurs à travers les fonds d’Eurazeo, d’Idinvest et de Rhône. Les encours sous gestion pour le compte d’investisseurs partenaires ont augmenté de 14,4% au 31 décembre 2018.Eurazeo a également levé 2,3 milliards d’euros en 2018, un record qu’il doit principalement à Idinvest, sociétéde gestion pour laquelle la firme a levé 1,7 milliard d’euros. L’actif net réévalué d’Eurazeo Development,qui regroupe investissements dans les sociétés de gestion (Idinvest, Rhône, IM Square et Capzanine) etdans les fonds gérés par les sociétés de gestion (Idinvest, Capzanine et Raise), s'élève à 874 millions d’euros en 2018 contre 704 fin 2017. Au 31 décembre 2018, la création de valeur ressort à +38 %, soutenue tant parl’activité de gestion d’Eurazeo pour le compte de partenaires investisseurs, bénéficiant du premier closing de la levée de fonds d’Eurazeo Capital IV que par les bons chiffres deCapzanine, valorisée dans l’ANR du 31 décembre 2018 à son prix de cession, soit 82 millions d’euros. Dans un communiqué, Eurazeo explique qu’Idinvest et Rhône sont valorisés à leur prix d’acquisition : 231 millions d’euros au titre de l’acquisition de 70 % du capital d’Idinvest et 234 millions d’euros au titre de 30 % de Rhône, payés en numéraire pour 85 M€ et en titres Eurazeo (pour un total de 2 millions d’actions Eurazeo émises). Quant à la plateforme de gestion d’actifs iM Global Partner dont Eurazeo est l’actionnaire de référence (58% du capital),deux nouvelles prises de participation dans des sociétés de gestion américaines ont été réalisées, portant à 4 le nombre desociétés de gestion partenaires affiliés. Les encours d’iM Global Partner s'élevaient à 7,3 milliards d’euros fin 2018, en hausse de +7 % proforma des deux dernières acquisitions en 2018. « L’année 2018 a été particulièrement importante pour notre groupe : transition managériale, acquisition d’Idinvest, partenariat stratégique avec Rhône et toujours une activité d’investissement soutenue et une gestion très active de notre portefeuille. A cela s’ajoute une année record de levée de fonds. Nous sommes déterminés à amplifier la dynamique, autour de trois priorités : le renforcement de nos capacités opérationnelles pour accélérer la création de valeur dans nos sociétés, la poursuite de l’expansion européenne et internationale pour chacun de nos pôles et l’accroissement de nos ressources issues d’investisseurs partenaires. Voilà notre feuille de route pour 2019», indique Virginie Morgon, présidente du directoire d’Eurazeo dans un communiqué.
Alter Domus, fournisseur de services de fonds d’investissement basé auLuxembourg, a nommé Aidan Connolly en qualité de directeur général. Il occupait ce poste en intérim suite au départ de Laurent Vanderweyen en décembre dernier. Aidan Connolly était auparavant le responsable des opérations d’Alter Domus. La société, qui se concentre sur les gestionnaires d’actifs alternatifs, administre quelque 446 milliards d’euros.
Le fonds d’investissement ZMP Invest, principal actionnaire de Hochdorf (28,54% selon les annonces de participation sur SIX) souhaite un renouvellement de l’organe de surveillance pour contribuer à stopper l’évolution négative du groupe et le remettre sur la voie du succès, rapporte L’Agefi suisse. L’actionnaire du fabricant d’aliments pour bébé va proposer l’élection de trois nouveaux administrateurs lors de l’assemblée générale du 12 avril prochain, y compris d’un nouveau président. La société d’investissementpropose notamment l’élection de Bernhard Merki au poste de président du conseil d’administration. Ancien patron de Netstal et de 4B, M. Merki dispose de l’expérience nécessaire. Il est aussi administrateur d’EMS-Chemie.
Bill Gross a reçu de l’ancien maire de New York Michael Bloomberg un abonnement gratuit et à vie à Bloomberg comme cadeau de départ à la retraite, rapporte le Financial Times. L’ancien «roi des obligations» s’est retiré de Janus Henderson en début de mois après une carrière de quarante ans. Il prévoit désormais de jouer au golf, de faire de la philanthropie et de gérer sa fondation de 390 millions de dollars et une fortune personnelle estimée à environ 1,5 milliard de dollars par Forbes. Lorsque son départ a été annoncé, Michael Bloomberg l’a contacté personnellement pour lui dire qu’il pouvait garder ses trois terminaux Bloomberg. Un seul terminal coûte environ 24.000 dollars par an.
Le nombre d’employés dans le secteur mondial de la gestion de fonds devrait diminuer pour la première fois en dix ans, les sociétés de gestion faisant face à la hausse des coûts et à une baisse des revenus issus des frais, rapporte le Financial Times fund management. Les encours totaux du secteur devraient se contracter pour la première fois depuis 2010, selon Casey Quirk. Plusieurs sociétés de gestion – dont BlackRock, Axa Investment Managers, GAM et AQR – ont annoncé d’importantes suppressions de postes ces derniers mois. Les réductions d’effectifs sont souvent la manière la plus facile de réduire les coûts, les rémunérations et avantages représentant 70 % des dépenses des sociétés de gestion. Jonathan Doolan, responsable EMEA de Casey Quirk, indique que la plupart des coupes ont concerné jusqu’ici des rôles de middle office et back office. «Les réductions d’effectifs qui auront le plus gros impact seront dans le front office, dans les investissements et la distribution», dit-il. Casey Quirk estime que le nombre de salariés dans la gestion d’actifs va baisser de 0,6 % cette année.
La société de placements financiers SEI a annoncé aujourd’hui l’expansion de sa relation de gestion d’actifs existante avec le groupe financier BMO sur le marché de l’Asie. Pour permettre la distribution aux investisseurs asiatiques accrédités, SEI a enregistré à Singapour 25 de ses fonds OPCVM de Dublin. «Le nouveau partenariat de SEI avec BMO Banque privée enAsie s’appuie sur notre relation de gestion en place depuis 21 ans avec BMO Nesbitt Burns (BMO NB) au Canada», indique SEI dans un communiqué.Le programme Quadrant de BMO NB est un programme de fonds communs de placement intégré enmarque blanche et mis au point conjointement. Il se sert des conseils de répartition d’actif axée sur les objectifs de SEI et est mis en œuvre par le biais des fonds de catégories d’actif canadiens sous-jacents de SEI. Quadrant est offert à plus de 1.300 conseillers BMO NB et à leurs clients de détail partout au Canada. Par ailleurs, BMO Gestion de patrimoine,client de SEI aux États-Unis depuis 2005, utilise actuellement la plateforme antérieure de SEI, TRUST 3000et transférera ses affaires existantes à SEI Wealth PlatformSM en 2019. De plus, le mois dernier, BMO a lancé une nouvelle solution composée de quatre portefeuilles stratégiques mondiaux avec un profil de risque gérés par SEI. «Notre partenariat avec SEI nous permettra d’améliorer nos solutions d’investissement afin de satisfaire les besoins de nos clients de banque privée en Asie», se réjouit dans un communiqué Monique Chan, CEOdeBMO Banque privéeAsie.
Le fournisseur d’indices Solactive a annoncé vendredi 8 mars le lancement parAvanza, plateforme numérique d'épargne et d’investissement, du Tracker AVA sur l'égalité homme/femmeutilisant le Solactive Equileap Europe Gender Equality Index. Cet indicesélectionne les 75 premières entreprises européennes leaders dans le domaine de l'égalité homme/femme sur la base de la méthodologie de notation d’Equileap. Le tracker indiciel est conçu pour donner aux investisseurs la possibilité de s’engager activement en faveur de l'égalité des sexes et d’investir dans des sociétés qui répondent à des critères ESG spécifiques. L’univers de base de la série d’indices se compose de toutes les actions accessibles au public dont la cotation principale se situe dans une économie de marché développée, soit plus de 3.000 actions mondiales. A partir de l’univers de base, les 75 premiers titres sont sélectionnés en fonction de leur classement selon le tableau de bord Equileap sur l'égalité entre les femmes et les hommes, qui comprend 19 critères incluant, entre autres, l'équilibre entre les sexes à tous les niveaux de l’entreprise, l'écart de rémunération entre les sexes et l'égalité de rémunération à travail égal, le congé parental, la conciliation travail-vie privée et les politiques favorisant l'égalité entre les sexes. De plus, une présélection ESG exclut les entreprises dont les activités sont controversées et qui tirent la majorité de leurs revenus de l’industrie des armes, des jeux de hasard ou du tabac. En outre, les sociétés qui figurent sur la liste du Conseil norvégien d'éthique sont également exclues de l’indice. Les indices sont pondérés de façon égale, rééquilibrés annuellement et révisés trimestriellement. L’AVA Gender Equality Tracker est coté à la Bourse de Stockholm depuis le 8 mars.
L’Agefi Actifs a interrogé Matthieu Duncan, directeur général d’Ostrum AM (ex-Natixis Asset Management), sur l’avancée de son plan stratégique. La filiale de Natixis IM a perdu par exemple Seeyond, qui était un pôle de compétence de gestion active quantitative de Natixis Asset Management, pour devenir un affilié à part entière de Natixis IM. «Nous avons aussi filialisé l’activité d’administration de fonds (fund administration), dont les services peuvent être utilisés par tous les affiliés. Nous avons donc aujourd’hui une plateforme unique sur laquelle tous les autres affiliés pourront se greffer à terme», ajoute Mathieu Duncan. Le dirigeant a également confirmé que les activités Investissements et Solutions Clients ont rejoint les équipes Dynamic Solutions de Natixis IM. Gérant plus de 250 milliards d’euros sous gestion (sur les 800milliards au total gérés par Natixis IM), Ostrum AM est structurée désormais autour de trois piliers : la dette, les actions (surtout sur certaines niches comme les petites et moyennes capitalisations) et la gestion des actifs des assureurs. «Sur la totalité des actifs que nous gérons, 170milliards d’euros proviennent en effet de 25compagnies d’assurance, dont évidemment Natixis Assurances, ou la CNP avec qui nous avons un partenariat historique», précise Mathieu Duncan qui ajoute que «quoi qu’il en soit, notre positionnement est aujourd’hui clair. Ostrum AM reste un spécialiste de la gestion active fondamentale.» Les seules entités qui restent filiales d’Ostrum AM correspondent "à de pures extension» de l’activité d’Ostrum AM. «Nous avons, par exemple, une filiale à Singapour, pour nos activités de gestion asiatiques et une filiale à Boston, pour nos activités américaines. De la même manière, notre table d’intermédiation, qui s’appelle encore Natixis Asset Management Finance (Namfi), reste située dans notre univers. En revanche, toutes les filiales de gestion, comme Mirova, H2O AM, ou encore Dorval AM, sont aujourd’hui des affiliés au même niveau qu’Ostrum AM au sein de Natixis IM», délcare le dirigeant. Ostrum AM a également engagé une réorganisation de sa gamme pour réduire le nombre de produits gérés. «Nous allons, par exemple, nous recentrer sur les véhicules phares de notre gestion obligataire. Il y a eu, ces dernières années, une prolifération de produits et de fonds. Nous en réduisons donc le nombre pour ne conserver que les plus importants. De plus de 1.150produits en 2017, nous devrions arriver à environ 700 produits en 2020, soit une baisse de leur nombre de 40 % en trois ans. Aujourd’hui, nous sommes passés sous la barre des 1.000". Ostrum AM compte par ailleurs se diversifier vers la dette privée, que ce soit de la dette sur actifs réels (multi-investisseurs ou via un partenariat avec la banque d’affaires du groupe) ou la dette structurée.
À l’occasion de la Journée internationale de la femme le 8 mars, Nordea Asset Management a lancé une nouvelle stratégie mondiale d’investissement en matière de diversité entre les sexes.Baptisée «Global gender Diversity» le fonds vient compléter la gamme ESG de la société nordique. La stratégie est un produit d’actions mondiales géré par deux gestionnaires de portefeuille féminins :Julie Bech et Audhild Asheim Aabø.Cette solution viseà «prouver qu’il est possible d’obtenir des rendements solides en investissant dans des entreprises fortement axées sur l'équilibre entre les sexes», explique Nordea AM dans un communiqué. Plus précisément, le fondsinvestiradans des entreprises avec une représentation diversifiée des femmes et des hommes et intégrera un certain nombre de critères ESG tels que l’exclusion des entreprises impliquées dans des violations du droit international et des normes sur la protection de l’environnement, les droits de l’homme et les normes du travail. «Nous privilégions les entreprises qui incluent une représentation équitable des hommes et des femmes à la haute direction et au conseil d’administration», détaille Julie Bech, codirectrice de la stratégie.
L’industrie des fonds spéculatifs a signé son deuxième mois consécutif de gains, avec une performance globale pondérée de 1,4% en février, selon le cabinet américain Hedge Fund Research (HFR). Cette performance a été tirée par les stratégies actions qui ont gagné 1,8% le mois dernier. «Les gains de février ont concerné toutes les stratégies, ce qui inclut les stratégies actions «beta-sensitive» mais aussi les contributions des stratégies crédit, matières premières, quantitative, marchés émergents et celles des fonds exposés au crypto-monnaies volatiles», a expliqué Kenneth Heinz, président de HFR. Dans le détail, les fonds aux stratégies event-driven, risk parity et risk premia ainsi que les defensive macro, ont pris respectivement 1,5%, 1,7% et 0,7% en février.
La société d’investissement Eurazeoa annoncé vendredi que son actif net réévalué (ANR) par action a progressé de 4,2% à 77,5 euros au 31 décembre 2018, et de 5,7% dividende inclus, grâce à la hausse de ses actifs non cotés de 10,8%. Le chiffre d’affaires, à périmètre et change constants et retraité des cessions signées, s’est établi à 5,2 milliards d’euros, en hausse de 12,6% par rapport à l’année dernière. Le résultat net a, de son côté, atteint 251 millions d’euros, contre 441 millions d’euros en 2017. Le total des actifs sous gestion du groupe a progressé de 10% par rapport à l’année précédente, proforma du premier closing d’Eurazeo Capital IV, à 17 milliards d’euros.
Durant la semaine au 6 mars, les fonds dédiés aux actions européennes ont encore enregistré des sorties nettes substantielles, de 3,1 milliards de dollars après 4,1 milliards la semaine précédente, selon l'étude hebdomadaire Bank of America Merrill Lynch, qui reprend des données de EPFR Global. Depuis quelques semaines, les investisseurs évitent également le Japon: pour celle au 8 mars, les fonds spécialisés sur les actions affichent des sorties nettes de 1,8 milliard de dollars. Mais la décision jeudi de la Banque centrale européenne (BCE) de reporter la hausse de ses taux directeurs et d’annoncer de nouvelles opérations de refinancement à long terme ciblées (TLTRO) en septembre pourrait changer la donne. Les fonds d’actions américaines ont terminé la semaine dans le rouge, mais avec des dégagements plus modérés à 5,5 milliards de dollars. Les fonds d’actions émergentes ont encore attiré 0,5 milliard de dollars. Les fonds obligataires restent dans la lignée des semaines précédentes avec des entrées nettes de 8,8 milliards de dollars.
Tombé à 0,6 pour 2019, l'indice issu de l'enquête annuelle de Fidelity International auprès de ses analystes marque une nette dégradation de l'optimisme.
Allianz a annoncé ce 8 mars avoir signé un nouveau partenariat avec le gestionnaire d’actifs immobiliers AEW, visant à lancer un fonds logistique "develop-to-core" dédié à des projets de développement "spéculatifs" dans le secteur de la logistique au Royaume-Uni.
aMoon2, a fund launched in April 2018 has recoreded $660m in engagements, according to a statement from the asset management firm aMoon, which would make the fund “the largest venture capital fund in Israel.” With about $1bn in assets under management on the aMoon investment platform, aMoon2 is seeking to exploit innovations which have not yet been exploited in the Israeli health tech industry, and to capitalise on financing shortfalls in mid-project, both within Israel and worldwide. So far, the fund has invested in four Israeli companies, and in a fifth Silicon Valley firm founded by an Israeli entrepreneur. “We are planning to exploit the Israeli ecosystem of revolutionary science and disruptive technological innovation to accelerate treatment and redefine global health care,” says Dr. Yair Schindel, co-founder and managing partner at aMoon, in a statement. “The HealthTech ecosystem, which extends beyong the borders of Israel, includes the large commnuity of Israeli entrepreneurs and researchers in global centres such as Silicon Valley and Boston.” Israel has had well-maintained electronic case files for 98% of the population for 20 years, which makes it one of the most valuable data agglomerations in the world. To reinforce the competitive advantage of Israel in this space, the Israeli government has recently launched a national initiative, which will invest ILS1bn ($272bn) into digital health projects in the next five years. “The convergence of medicine and technology is generating a wave of innvoation which has the potential to redefine medical care, beyond what we can imagine. That represents a unique opportunity for impact on human life and for the community of investors,” says Marius Nacht, co-founder and chairman of the cyber-cecurity giant Check Point Software Technologies, a leading investor in the fund. In May 2018, aMoon and Credit Suisse announced a strategic partnership to provide investors with direct access to the fast-growing health tech sector. “We are convinced that our partnership with aMoon represents an attractive platform for investors, while providing the financing necessary for disruptive companies to achieve progress in healthcare,” Michel Degen, chairman and CEO of Credit Suisse Asset Management Suisse and the EMEA region, said.
Lancée en avril 2018, aMoon2 compte 660 millions de dollars d’engagements, selon un communiqué de la société aMoon. Cela en ferait «le plus important fonds de capital-risque en Israël». Sur environ 1 milliard de dollars d’actifs sous gestion sur la plateforme d’investissement aMoon, aMoon2 cherche à exploiter les innovations encore inexploitées de la HealthTech israélienne et à capitaliser sur les déficits de financement à mi-parcours en Israël et dans le monde. À ce jour, le fonds a investi dans quatre sociétés israéliennes et une cinquième dans la Silicon Valley, créée par un entrepreneur israélien. «Nous prévoyons d’exploiter l'écosystème israélien de science révolutionnaire et d’innovations technologiques perturbatrices pour accélérer le traitement et redéfinir les soins de santé mondiaux», a déclaré le Dr Yair Schindel, cofondateur et partenaire directeur de aMoon, cité dans un communiqué. «L’écosystème HealthTech qui s'étend au-delà des frontières israéliennes inclut la communauté importante d’entrepreneurs et de chercheurs israéliens dans des pôles mondiaux, tels que Silicon Valley et Boston». Israël possède des dossiers médicaux électroniques hautement soignés pour 98% de la population depuis 20 ans, ce qui en fait l’un des ensembles de données les plus précieux au monde. Pour renforcer l’avantage concurrentiel d’Israël dans cet espace, le gouvernement israélien a récemment lancé une initiative nationale qui investira 1 milliard de shekels (272 millions de dollars) dans des projets de santé numérique au cours des cinq prochaines années. «La convergence de la médecine et de la technologie génère une vague d’innovation capable de redéfinir les soins médicaux - au-delà de notre imagination. Cela représente une opportunité unique pour l’impact sur la vie humaine et pour la communauté des investisseurs», a déclaré Marius Nacht, cofondateur et président du géant de la cybersécurité, Check Point Software Technologies, principal investisseur. En mai 2018, aMoon et Credit Suisse ont annoncé un partenariat stratégique visant à fournir aux investisseurs un accès direct au secteur en pleine croissance des technologies de la santé. «Nous sommes convaincus que notre partenariat avec aMoon représente une plate-forme attrayante pour les investisseurs, tout en fournissant le financement nécessaire aux entreprises perturbatrices pour faire progresser les soins de santé», a déclaré à cette occasion Michel Degen, PDG de Credit Suisse Asset Management Suisse et de la région EMEA.
La Banque Postale Asset Management has appointed Mathilde Sauve asnew head for investment solutions, NewsManagers has learnt. Sauve, who is joining the firm in March, will also sit on the executive board at LBPAM. She previously worked at the Axa group, where she served as head of multi-asset investments and head of dedicated solutions for institutionals. Sauve also worked for two years at Oddo & Cie as a sell-side equity analyst covering the insurance sector.
La Banque Postale Asset Management vient de nommer une nouvelle responsable des solutions d’investissements en la personne de Mathilde Sauve, a appris NewsManagers. Mathilde Sauve, qui a rejoint la société en mars, siège également au comité exécutif de LBPAM. Elleévoluait auparavant au sein du groupe Axa où elle a occupé notamment les rôles de responsable des investissements multi-actifs et responsable des solutions dédiées aux institutionnels. Mathilde Sauvea également fait un passage de deux ans par Oddo & Cie en tant qu’analyste actions sell-side sur le secteur de l’assurance.
La société de gestion finlandaise FIM Asset Management / S-Bank Wealth Management a nommé Mika Leskinen directeur des investissements, selon son profil LinkedIn. L’intéressé était jusqu’ici responsable de l’investissement responsable. Il avait rejoint FIM il y a huit mois après avoir été responsable de l’ESG d’OP Wealth Management et OP Financial Group. L’équipe dont Mika Leskinen aura la responsabilité se compose d’une vingtaine de professionnels de l’investissement basés à Helsinki.
Danske Bank Asset Management has recruited Claus Lyngdal as its new head of alternative investments, the Danish website AMWatch reports. Lyngdal, who joins from PensionDanmark, will work to reinforce the Danish bank’s offerings in liquid alternative investments.
Danske Bank Asset Management a recruté Claus Lyngdal en tant que nouveau responsable des investissements alternatifs, rapporte le site danois AMWatch. L’intéressé, qui vient de PensionDanmark, doit renforcer la position de la banque danoise dans les placements alternatifs illiquides.
Christopher Hönig, responsable de la distribution wholesale de GAM en Allemagne, a été nommé responsable également de la distribution pour la clientèle institutionnelle dans le sillage du départ volontaire fin mars du responsable actuel, Jürgen Florack, rapporte le site spécialisé Das Investment. Autrement dit, Christopher Hönig, qui a rejoint GAM en 2011 et qui pilote la distribution wholesale depuis 2015, devient seul responsable de la distribution sur le marché allemand. Jürgen Florack avait rejoint GAM en août 2016, en provenance de J.P. Morgan Asset Management. À la tête d’une équipe de six personnes, Christopher Hönig est rattaché à Daniel Durrer, responsable de la distribution pour l’Europe continentale.
Ingo Ahrens becomes the new head for Germany at BNP Paribas Asset Management. Ahrens directed and developed the activities of Robeco in Germany for 11 years. In his new role, he will oversee the activities of the asset management firm serving institutional, whoesale and retail clients. Ahrens will be based in Frankfurt, and will begin on 1 April 2019. Ahrens will report to Charles Janssen, head for Northern Europe and co-head for distribution in Europe, and will report locally to Lutz Diederichs, chairman of the group management board at BNP Paribas Germany. “We are aiming to develop strongly in asset management, and to strengthen our presence in investment products on the market,” says Diederichs.
Ingo Ahrens est le nouveau responsable pour l’Allemagne de BNP Paribas Asset Management.L’intéressé a pendant onze ans dirigéet développé les activités de Robeco en Allemagne. Dans ses nouvelles fonctions, Ingo Ahrens pilotera les activités de la société de gestion auprès des clients institutionnels, wholesale et retail. Basé à Francfort, Ingo Ahrens prendra ses fonctions le 1er avril 2019. Il est rattaché à Charles Janssen, responsable de l’Europe du Nord et coresponsable de la distribution en Europe, et, au niveau local, à Lutz Diederichs, président du group management board BNP Paribas Allemagne. «Nous avons l’objectif de nous développer fortement dans l’asset management et de renforcer la présence de nos produits d’investissement sur le marché», a souligné Lutz Diederichs.