Après huit années passées au sein d’UBS Asset Management, Fabien Perez quitte la société «pour poursuivre une nouvelle opportunité professionnelle début mai», selon un message de l’intéressé. Il était sales manager, au sein du département «wholesale», pour la France et Monaco, basé à Paris. Avant cela, il avait passé huit ans au sein de Société Générale Corporate and Investment Banking, comme spécialiste produits et ingénieur financier pour les dérivés de fonds, selon son profil LinkedIn.
Les cinq principaux actionnaires de GAM - Silchester International Investors, Kiltearn Partners, T Rowe Price, UBS et Credit Suisse - ont perdu près de 835 millions de francs suisses après la chute du cours de l’action de la société de gestion suisse dans le sillage de la saga Tim Haywood, rapporte le Financial Times, en se basant notamment sur des données de Bloomberg. Le titre GAM a chuté de 80 % depuis le pic de près de 18 francs suisses en début d’année dernière. Ensemble, ces investisseurs détiennent environ 36 % de GAM. Silchester, le plus gros actionnaire avec 19 %, a subi une perte virtuelle de près de 430 millions de francs suisses entre le pic de 2018 et la clôture des marchés mercredi. GAM affiche désormais une capitalisations boursière de 567 millions de francs.
Le conseil d’administration de Credit Suisse Group AG propose d’élire Christian Gellerstad et Shan Li en tant que nouveaux membres non exécutifs lors de l’assemblée générale ordinaire du 26 avril 2019, selon un communiqué diffusé ce matin à l’occasion de la publication du rapport annuel de gestion du groupe. Christian Gellerstad, anciennement chief executive officer (CEO) de Pictet Wealth Management, est un professionnel reconnu des services financiers disposant de plus de vingt ans d’expérience, notamment dansla gestion des activitésde private banking dans les marchés matures et en développement. Shan Li, CEO de Silk Road Finance Corporation Limited, Hong Kong,a lui aussi plus de vingt ans d’expérience, en particulier sur lemarché chinois. Après dix ans au conseil d’administration du Credit Suisse Group et plus de deux décennies dans différentes fonctions au sein de conseils d’administration et de comités consultatifs dans diverses entités du Groupe, Andreas Koopmann ne se présentera pas à la réélection lors de l’assemblée générale du 26 avril 2019. Par ailleurs, Alexandre Zeller a annoncé au conseil d’administration qu’il allait rejoindre Lombard Odier en tant qu’associé-gérant, et le conseil d’administration a accepté sa démission de ses fonctions au Credit Suisse Group et à Credit Suisse (Suisse) SA, avec effet au 28 février 2019, afin d’éviter tout conflit d’intérêts. Le président Urs Rohner et les autres membres du conseil d’administration sont candidats à la réélection pour un mandat allant jusqu’à la clôture de la prochaine AG.
Le capital-risque fait des émules chez les institutionnels, notamment du côté des fonds souverains qui ont investi des montants record l’an dernier sur ce segment du marché, rapporte l’agence Reuters. L’an dernier, 84 fonds souverains ont participé à 77 tours de table de capital-risque, selon une étude publiée par IE University et ICEX. Sur les cinq ans à 2018, on dénombre 220 tours de table contre seulement 14 durant la période précédente de cinq ans. Au cours des cinq dernières années, les secteurs de la biotech et de la santé ont dominé, représentant 20% des tours de table, mais les fintech, les services liés à la mobilité et l’agriculture suscitent de plus en plus d’intérêt. Les fonds souverains de Sinapour GIC et Temasek ont été les plus actifs, représentant 60% de tous les tours de table dans le capital-risque.
Des entrepreneurs et investisseurs, principalement gardois, viennent de créer un nouveau holding d’investissement sous l’impulsion de la plate-forme de financement nîmoise Fin-Touch, en partenariat avec Acci Plus Patrimoine et PVB Avocats, écrit Les Echos. Baptisé « Occipac », contraction d’Occitanie et de Paca, il prévoit d’injecter 3 millions d’euros en 2019 et le double l’an prochain dans des participations minoritaires au capital de PME. Il cible des sociétés « non cotées, en croissance, avec au moins trois ans d’ancienneté, ayant prouvé la viabilité de leur modèle économique et dont le chiffre d’affaires est compris entre 500.000 euros et 30 millions », explique André Hess, président d’Occipac, par ailleurs dirigeant de Sada Assurances. Les membres du comité de direction d’Occipac comprennent notamment Patrick Gounelle, ex-président d’EY Europe du Sud, Jean-Marc Natali (Urbanis), Estelle Everling (Ever-Link) ou André Sembelie, ancien DRH de Nestlé Waters France. Le fonds vise un niveau de rentabilité de 10 à 15 % pour les émissions obligataires et pour les investissements en actions, « nous souhaitons doubler la valeur de l’entreprise en quatre ou cinq ans », détaille le président. Le secteur géographique couvert s’étend de Marseille à Perpignan, «avec un coup de cœur pour le Gard».
Le fonds d’investissement Ares Life Sciences a lancé une offre publique d’achat sur le laboratoire Stallergenes Greer, rapporte L’Agefi suisse. La maison-mère d’Ares Life Sciences, Waypoint, a proposé de racheter en numéraire le capital restant pour 37 euros par action, soit un prix d’acquisition d’environ 117 millions d’euros, valorisant Stallergenes Greer à 730,1 millions d’euros. Il détient déjà 83,9% du capital de ce laboratoire spécialiste de traitements de désensibilisation aux allergies. Le prix proposé par action représente une prime de 42,9% par rapport au dernier cours de clôture de Stallergenes Greer. L’opération sera mise en oeuvre sous la forme d’une procédure de droit anglais, nécessitant d’être encore approuvée par les autres actionnaires de la société ce printemps, puis par la Haute Cour de justice d’Angleterre. Waypoint/Ares Life Sciences est l’actionnaire majoritaire de Stallergenes Greer depuis 2015. Etant donné la part limitée du capital flottant de Stallergenes Greer, Waypoint «a estimé que les avantages d’une cotation des actions sont limités, et que les coûts de maintien de cette cotation se sont pas justifiés pour les actionnaires».
Le fonds de pension de Taïwan a annoncé la sélection de cinq sociétés de gestion pour gérer son premier mandat discrétionnaire actions à l’international. La stratégie demandée par le fonds couvre l’univers des actions émergentes hors Taïwan, et ce avec une approche multifactorielle, avec pour benchmark le iEdge Rayliant EM Dynamic Multi-Factor Index, géré par la bourse de Singapour. Les cinq sociétés, qui se partageront à parts égales les 1,5 milliard de dollars singapouriens d’encours (environ 1 milliard d’euros), sont Amundi Asset Management, DWS Investments Hong Kong, Nomura Asset Management, Robeco Institutional Asset Management, et State Street Global Advisors Asia.
The French financial management association (AFG) on Thursday released the results of its annual study of employee savings. Net inflows were positive to the tune of €1.5bn in 2018, representing the best performance for the sector since 2011. Assets are down to €125.5bn due to negative market effects at the end of the year. Investment inflows to PEE and PERCO products were up 5%, to €15.2bn, breaking down as follows: €3.9bn for participation (+2%), €5.2bn for profit-sharing (+6%), €2.9bn for voluntary employee payments (+9%), and €3.2bn for corporate top-ups (+6%). Redemptions are down 12% to €13.7bn. 10.6 million clients are invested largely in employee savings funds (37%). Equities remain the most popular asset class within policies, representing more than 55% of assets (37% employee savings, 11% equity funds, and 7% via mixed funds). Equity and mixed funds have seen sharp increases in their net inflows (19% and 42%, respectively). At the same time, money market funds have seen a 12% decline. Assets in solidary funds are up to €7.9bn (+8%). Within PERCO products, steered management is the most popular formula (51% of employees, +3 points). 2.6 million people now hold these products, which show net inflows of €1.7bn. Investors have shown particular interest in the PERCO Plus formula, which redirects a part of investments to SMEs. Assets in these products now represent over 28% of total volumes (+38% in one year), at €4.7bn. Life annuity payments remain marginal (1% of the €1bn in outward payments in 2018), as savers have all but entirely preferred capital payouts.
L’Association française de la gestion financière (AFG) a publié ce jeudi les résultats de son enquête annuelle relative à l'épargne salariale. La collecte nette s’est révélée positive, avec 1,5 milliard d’euros collecté, ce qui constitue la meilleure performance du secteur depuis 2011. Les encours ont néanmoins baissé pour s'établirà 125,5 milliards en raison de l’effet marché de fin d’année. Dans le détail, les flux d’investissement dans les PEE et PERCO ont enregistré une hausse de 5% à 15,2 milliards d’euros. Les flux se décomposent ainsi : 3,9 milliards d’euros au titre de la participation (+2%), 5,2 milliards d’euros au titre de l’intéressement (+6%), 2,9 milliards d’euros au titre des versements volontaires des salariés (+9%) et 3,2 milliards d’euros au titre de l’abondement des entreprises (+6%). Le montant des rachats est lui en baisse de 12%, à 13,7 milliards d’euros. Les 10,6 millions de porteurs sont principalement investis dans des fonds d’actionnariat salarié (37%). Dès lors, les actions demeurent la première classe d’actifs au sein de ces contrats puisqu’elles représentent plus de 55% des encours (37% d’actionnariat salarié, 11% de fonds actions, et 7% via les fonds mixtes). Les fonds actions et les fonds mixtes ont connu une forte progression de leur collecte nette (respectivement 19% et 42%), quand, dans le même temps, celle des fonds monétaires a décru de 12%. L’encours des fonds solidaires a augmenté, lui, à 7,9 milliards d’euros (+8%). Au sein du PERCO, la gestion pilotée demeure la principale formule choisie (51% des salariés, +3 points). Le support, qui a enregistré une collecte nette de 1,7 milliard d’euros, est désormais détenu par 2,6 millions de personnes. Ces investisseurs se sont montrés particulièrement intéressés par la formule PERCO Plus, qui flèche une partie des investissement vers les PME. Leurs encours représentent désormais plus de 28% de la masse totale (+38% en un an) pour s'établir à 4,7 milliards d’euros. Dans ce produit, la sortie en rente viagère demeure anecdotique (1% des 1 milliard d’euros retirés en 2018), les épargnants ayant quasi exclusivement choisi la sortie en capital.
Assets at the Netherlands-based asset management firm Triodos Investment Management totalled €4.2bn as of the end of 2018, an increase of 21% year over year (€3.5bn as of the end of 2017). This increase is largely (18%) due to the internal integration of the asset management activities of three SRI funds from Triodos, and discretionary portfolios from Triodos Private Banking Netherlands. The funds of the Luxembourg Sicav Triodos I, which invest in publicly-traded equities and bonds which contribute to the sustainable transition, have seen an increase in their cumulative assets of 5.5%, to €1.48bn. The Triodos Organic Growth and Triodos Renewables Europe funds, which are not part of the Sicav, have seen increases in their assets of 18.5% (€83m in assets under management as of the end of 2018) and 12.3% (€55.3m), respectively. Last year, Triodos IM dissolved the Triodos Culture Fund, with assets of €86m at the time of the liquidiation, which resulted in a decline of 3% in assets under management for the Netherlands-based firm. Jacco Minnaar, chairman of the board of directors at Triodos IM, states: “With a growing SRI investment market, it is encouraging to see that the investment industry is moving in the right direction. But we need to pick up the pace. It is not enough to invest in the best companies in their sectors, which may be among the least polluting. By bringing asset management activities on board internally, we have integrated financial and sustainable analysis of publicly-traded equities and bonds, which will allow us to invest in companies which belong to a long-term trend and which actively contribute to a more sustainable society and a better world.” Impact Triodos IM has also revealed the environmental and social impact of its funds in 2018. According to the firm, funds were able to prevent the generation of two million tonnes of CO2 emissions (compared with 1.5 million tonnes in 2017), with 400,000 tonnes attributable to financing for renewable energy projects by Triodos IM. The energy produced is sufficient for the needs of 1.68 million homes. More than 104,000 persons [referred to in the French original as “small peasants”] in 13 countries which are considered emerging markets have been paid directly at fair prices. The equivalent of 8.8 million meals have eben produced by farmlands using organic management of European farms financed by the Netherlands-based asset management firms. Lastly, Triodos IM has financed 103 financial institutions with a focus on inclusive finance in Asia, Latin America and Africa. About 19.2 million people (20.3 million in 2017) were able to borrow from these institutions, while 11.1 million people living on low incomes used savings services from these institutions (compared with 15.1 people).
Les encours de lasociété de gestion néerlandaise Triodos Investment Management se chiffraient à 4,2 milliards d’euros à fin 2018, soit une progression de 21% sur un an (3,5 milliards d’euros fin2017). Cette hausse provient néanmoins en majeure partie (18%) de l’intégration en interne des activités de gestion des quatre fonds ISR de Triodos et des portefeuilles discrétionnaires de Triodos Bank Private Banking Netherlands. Les fonds de la Sicav luxembourgeoise Triodos I, qui investissent dans des actions et obligations cotéescontribuant à la transition durable, ont vu leurs encours cumulés augmenter de 5,5% pour s'établir à 1,48 milliard d’euros. Les fonds Triodos Organic Growth et Triodos Renewables Europe, qui ne font pas partie de la Sicav, ont connu des progressions respectives de leurs encours de 18,5% sur un an (83 millions d’euros d’actifs sous gestion fin 2018) et de 12,3% (55,3 millions d’euros). L’an dernier, Triodos IM a dissous le fondsTriodos Culture Fund dont les encours s'élevaient à 86 millions d’euros au moment de la liquidation, ce qui a entraîné une baisse de 3% des actifs sous gestion de la firme néerlandaise. Jacco Minnaar, président du conseil de direction deTriodos IM, a déclaré: «Avec un marché de l’investissement ISR grandissant, il est encourageant de voir que l’industrie de l’investissement va dans la bonne direction. Mais nous devons accélérer le rythme. Il n’est pas suffisant d’investir dans les meilleures entreprisesdans leurs secteurs, qui figurent peut-être parmi les moins polluantes. En rapatriant les activités de gestion d’actifs en interne, nous avons intégré l’analyse financière et durable des actions et obligations cotées, ce qui nous permet d’investir dans ces compagnies qui font partie d’une tendance de long-terme et qui contribuent activement à une société plus durable et un monde meilleur.» Impact Triodos IM a également dévoilé l’impact environnemental et socialde ses fonds pour l’année 2018. Selon la firme, ses fonds ont permis d'éviter la génération de 2 millions de tonnes d'émissions de CO2 (contre 1,5 million en 2017) dont 400 000 tonnes peuvent être attribués au financement de projets d'énergies renouvelables parTriodos IM. L'énergie produite équivaut auxbesoins d'électricité de 1,68 million de foyers. Plus de 104 000 petits paysans dans 13 pays considérés comme marchés émergents ont été payés directement et à des prix justes. L'équivalent de 8,8 millions de repas a été produit par les terres cultivées en gestion biologique sur les fermes européennes financées par le gestionnaire néerlandais. Enfin, Triodos IM a financé 103 institutions financières dont le focus se porte sur la finance inclusive en Asie, Amérique latine et Afrique. Environ19,2 millions de personnes (20,3 millions en 2017) ont pu emprunter auprès de ces institutions tandis que 11,1 millions de personnes vivant de faibles revenus ont utilisé les services d'épargne des institutions concernées (contre 15,1 millions de personnes).
Claudio de Sanctis, head of European wealth management at Deutsche Bank, is launching a recruitment campaign, according to a memo obtained by the website finews. De Sanctis has recruited Marco Pagliara from Morgan Stanley, who will begin in the role in June. He will be responsible for the United Kingdom, Scandinavia, Luxembourg, and clients in Switzerland and “emerging Europe.” At Morgan Stanley, he had been responsible for wealth management in Switzerland and continental Europe. Michael Morley, who had reported to de Sanctis, will now report to Pagliara. The head of wealth management has also recruited Alessandro Caironi to coordinate ultra-high net worth clients, a role which he had previously held at Credit Suisse. These recruitments are a sign of an ambition from de Sanctis to make Deutsche Bank a top pan-Europan wealth management firm. With €199bn in assets under management in this activity, Deutsche Bank ranks as a second-tier player in an industry that includes heavyweights such as Citi and UBS. Alongside the arrival of high-profile figures as part of the management team, Deutsche Bank is also planning to hire at least 100 private bankers worldwide.
Claudio de Sanctis, responsable de la gestion de fortune européenne chez Deutsche Bank, lance une campagne de recrutement, selon une note dont le site finews a eu connaissance. Claudio de Sanctis a ainsi recruté Marco Pagliara de Morgan Stanley. Il devrait prendre ses fonctions en juin. Il sera responsable du Royaume-Uni, des pays nordiques, du Luxembourg, des clients suisses et de l’Europe émergente. Chez Morgan Stanley, il pilotait la gestion de fortune en Suisse et en Europe continentale. Michael Morley, qui était rattaché à Claudio de Sanctis, dépendra désormais de Marco Pagliara. Le patron de la gestion de fortune a également embauché Alessandro Caironi en qualité de coordinateur pour les clients très fortunés, une fonction qu’il exerçait précédemment chez Credit Suisse. Des recrutements qui marquent la volonté de Claudio de Sanctis pour propulser Deutsche Bank au rang de gestionnaire de fortune paneuropéen de premier plan. Actuellement, avec ses 199 milliards d’euros d’actifs sous gestion dans cette activité, Deutsche Bank fait figure d’acteur secondaire face aux poids lourds comme Citi ou UBS. Parallèlement à l’arrivée de grosses pointures dans l'équipe de direction, Deutsche Bankveut également embaucher des banquiers privés, au moins une centainedans le monde.
The investment fund IK Investment Partners will buy a stake in the employee savings specialist Eres, joining the existing shareholder Parquest Capital. After the planned transaction, the Austrian venture capital firm, which has over €10bn in investments in over 115 European companies, will control the majority of shares. The founders will retain a significant stake in the capital, and employees will complement that stake. The firm, founded in 2007, has €2.3bn in assets. The transaction remains subject to the necessary regulatory permission, particularly from the French regulator, the Autorité des Marchés Financiers.
Le spécialiste de l'épargne salariale Eres vient d’annoncer la signature d’un protocole d’accord pour l’entrée à son capital du fonds d’investissement IK Investment Partners aux côtés de l’actionnaire existant Parquest Capital.A l’issue de la transaction envisagée, la société autrichienne de capital-investissement, qui compte plus de 10 milliards d’euros investis dans plus de 115 entreprises européennes,détiendrait la majorité du capital. Les fondateurs conserveront eux une part significative du capital et les collaborateurs renforceront leur détention. Créée en 2007, la société compte aujourd’hui 2,3 milliards d’euros d’encours. La réalisation de la transaction reste soumise à l’obtention des autorisations nécessaires en matière réglementaire et en particulier l’autorisation de l’Autorité des Marchés Financiers.
Christophe Karpiel, former head of investment solutions at Stanhope Capital (Switzerland), has left the firm to join the independent consulting firm Iskander, based in Paris, as chief investment officer, Citywire has learnt. Karpiel spent five years at Stanhope Capital, after serving at BNP Paribas Asset Management, IXIS Asset Management and ABN Amro Bank. At Stanhope Capital, he has been replaced by Karim Bertoni, who had previously been a senior portfolio manager at Bellevue Asset Management.
Christophe Karpiel, l’ancien responsable des solutions d’investissement chez Stanhope Capital (Switzerland), a quitté la société pour rejoindre la boutique de conseil indépendanteIskander, basée à Paris, en qualité de responsable des investissements, a appris Citywire Christophe Karpiel a travaillé pendant près cinq ans chez Stanhope Capital, après des passages chez BNP Paribas Asset Management, IXIS Asset Management et ABN Amro Bank. Chez Stanhope Capital, il a été remplacé par Karim Bertoni, qui était précédemment gérant de portefeuille seniorBellevue Asset Management.
Horizons ETFs Management Canada, the creator of the first marijuana ETF, is seeking to enlarge its product range, Bloomberg reports. The provider of the Horizons Marijuana Life Sciences Index ETF is actively at work on creating an ETF which will contain only producers who are licensed in the United States, according to CEO Steve Hawkins, who explains that the move aims to meet demand on the part of investors. The firm has also submitted a prospectus for a leveraged ETF and an inverse ETF. However, the company no longer plans to launch an inverse leveraged marijuana ETF. HMMJ is the largest Canadian ETF for cannabis, with over CAF750m in assets.
Horizons ETFs Management Canada, le créateur du premier ETF sur la marijuana, cherche à agrandir sa gamme, rapporte Bloomberg. Le fournisseur du Horizons Marijuana Life Sciences Index ETF travaille activement à la création d’un ETF qui contiendra uniquement des producteurs ayant une licence aux États-Unis, selon son directeur général Steve Hawkins, qui explique qu’il s’agit de répondre à une demande des investisseurs. La société a par ailleurs déposé des prospectus pour un ETF à effet de levier et un ETF inverse. En revanche, elle ne prévoit plus de lancer l’ETF marijuana inverse à effet de levier. HMMJ est le principal ETF canadien pour le cannabis, avec plus de 750 millions de dollars d’actifs.
Transamerica Asset Management has launched the DeltaShares S&P EM 100 & Managed Risk ETF, an expansion of the DeltaShares by Transamerica suite of strategic beta exchange-traded funds (ETFs) introduced in August 2017. The new DeltaShares ETF tracks the S&P EM 100 Managed Risk 2.0 Index and offers investors the opportunity to participate in the performance of the 100 largest companies in the emerging markets plus the Republic of Korea, while seeking to reduce downside risk. Transamerica chose Milliman FRM, a Chicago-based SEC-registered investment adviser and a global leader in institutional risk management, to act as sub-adviser for the DeltaShares Managed Risk ETFs. The new ETF brings the size of the product range to five items.
Transamerica Asset Management lance DeltaShares S&P EM 100 & Managed Risk ETF, élargissant ainsi sa gamme d’ETF «strategic beta» lancée en 2017 sous le nom de DeltaShares by Transamerica. Le nouvel ETF suit l’indice S&P EM 100 Managed Risk 2.0 et offre aux investisseurs la possibilité de participer à la performance des 100 principales entreprises des marchés émergents et de la République de Corée, tout en minimisant les pertes. Transamerica a choisi Milliman Financial Risk Management, une société basée à Chicago, pour gérer l’ETF. Ce nouvel ETF porte la gamme à cinq fonds.
La banque danoise Nykredit va créer une division «Wealth Management» dans le cadre d’une réorganisation, annonce un communiqué. Cette division réunira l’ensemble des activités de la banque en matière de services de conseil en gestion de fortune et en investissements et de gestion d’actifs. Peter Kjærgaard, l’actuel co-responsable de Nykredit Asset Management, deviendra responsable de cette nouvelle division, sous la responsabilité de Michael Rasmussen, directeur général, qui aura des responsabilités exécutives pour la gestion de fortune.
Le Livret A et le Livret de développement durable et solidaire (LDDS) ont enregistré en févrierune collecte nette de 2,5 milliards d’euros, en nette baissepar rapport à celle de janvier (4,63 milliards) mais néanmoins la plus élevée pour un mois de février depuis 2013, selon les données publiées ce 21 marspar la Caisse des dépôts (CDC). Pour le seul Livret A, la collecte ressort à1,93 milliard d’euros en février, celledu LDDS s’inscrivant à580 millions. L’encours total des deux livrets, avec les intérêts capitalisés, s'élevait à 398,6 milliards d’euros à fin février, en hausse de 4,5% sur un an, dont 289,7 milliards pour le Livret A et 108,9 milliards pour le LDDS.
La société de gestion et de conseil Feri, propriété du groupe allemand de services financiers MLP, a annoncé l’ouverture d’un nouveau bureau à Hambourg, qui vient s’ajouter aux trois autres implantations de la société, Bad Homburg, près de Francfort, Düsseldorf et Munich. Cette nouvelle antenne sera dirigée par Achim Uebele, qui depuis le début de l’année est responsable des mandats. Il aura pour mission de gagner de nouveaux mandats en gestion de fortune et auprès des family offices. Il est rattaché directement à Ersin Soykandar, responsable des mandats privés en Allemagne. Achim Uebele a environ 30 ans d’expérience dans la gestion de fortune et le family office. Il était dernièrement senior family officer pour le compte de deux family offices à Hambourg et à Staad.
Déjà agent de compensation et de règlement des produits financiers de gré à gré pour les fonds des clients de la banque privée Renell Bank, basée à Francfort, Caceisa étendu ses prestations sur les actions et les produits de taux sur les bourses de Düsseldorf, Berlin et Francfort (XETRA T7 et XETRA II) et divers segments de la Bourse suisse (SWX, SFS). Caceisaccompagne également Renell Bank dans son rôle de teneur de marché pour ces classes d’actifs. Avec 2633 milliards d’euros d’actifs en conservation et 1695 milliards d’euros d’actifs sous administration, Caceisest un acteur de premier plan en Europedansl’Asset Servicing et compte parmi les principaux acteurs mondiaux.
La société de gestion Oddo BHF AM a annoncé jeudi 21 mars l’enregistrement en Suisse des fonds de sa gamme Oddo BHF Polaris, qui regroupe, depuis l’an dernier, ses quatre fonds diversifiés sous une seule marque commune. Les fonds de la gamme sont sous la responsabilité de Laurent Denize, global co-CIO. De plus, les gestionnaires de fonds d’Oddo BHF Trust, une société de la banque privée Oddo BHF AG à Francfort, agissent aussi en tant que conseillers en investissement. Le processus d’investissement met l’accent sur la gestion des risques et la sélection ciblée d’actions européennes et américaines. Au total, les quatre fonds totalisent aujourd’hui près de 1,8 milliard d’euros d’encours sous gestion. Les deux fonds phares sont Oddo BHF Polaris Moderate et OddoBHF Polaris Balanced. ODDO BHF Polaris Balanced vient de dépasser récemment la barre des 500 millions d’euros d’encours sous gestion. «Tous les fonds Oddo BHF Polaris ont en commun une approche patrimoniale privilégiant la solidité des entreprises et la performance sur le long terme. La sélection des titres s’appuie sur l’analyse fondamentale des entreprises» précise la société de gestion dans un communiqué.
Berenberg propose, en partenariat avec Universal-Investment,un nouveau fonds durable, le Berenberg Sustainable World Equities qui, outre les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), doit prendre en compte l’impact positif des entreprises sur les défis climatiques de l’heure. Le portefeuille, qui va piocher dans l’indice MSCI World, devrait compter entre 50 et 80 lignes. La part active devrait dépasser les 80%, avec une tracking error élevée. Le fonds sera géré par Bernd Deeken qui, à côté des notations ESG, utilisera sa propre recherche maison pour les entreprises de plus petite taille.
La société de gestion DNCA Investments a obtenu vendredi 15 mars dernier trois nouvelles labellisations ISR pour les fonds de sa gamme de fonds ISR «DNCA Invest Beyond» lancée en mai dernier, a appris NewsManagers. Il s’agit des fonds Alterosa, Semperosa et European Bond Opportunities. Le fonds Alterosa est présenté par DNCA comme «le premier fonds patrimonial ISR français».Il est investi de manière flexible sur les actions, obligations classiques, obligations convertibles et produits monétaires. Le fonds est géré par Léa Dunand Chatellet, Adrien Le Clainche, Baptiste Planchard, Damien Lanternier et Romain Grandis. Il a été lancé en décembre 2018. Egalement lancé en décembre, le fonds Semperosa,est un fonds actions géré avec l’intention de générer des impacts environnementaux et sociaux positifs et mesurables. Il est géré par Léa Dunand-Chatellet et Adrien Le Clainche. Enfin, le fonds European Bond Opportunities est un OPCVM principalement investi en obligations libellées en euro et qui est issu du repositionnement en décembre dernier d’un fonds existant. Il est géré parPhilippe Champigneulle,Romain Grandis et Baptiste Planchard.