Retrouvez les articles d’actualité et d’analyse portant sur les résultats financiers (comptes trimestriels, semestriels, annuels, journées investisseurs, avertissements sur résultats) publiés par les grandes entreprises françaises et internationales.
Le fournisseur de l’industrie biopharmaceutique Sartorius Stedim Biotech a relevé ce jeudi ses prévisions financières pour 2021, en tablant désormais sur une croissance de 38% de son chiffre d’affaires à taux de change constants, contre une hausse comprise entre 20% et 26% auparavant anticipée. Sa marge d’excédent brut d’exploitation (Ebitda) courant devrait ressortir autour de 33%, soit 100 points de base de plus que l’objectif fixé précédemment.
L’Académie nationale de médecine a choisi Oddo BHF Asset Management pour la constitution et la gestion d’un fonds commun pour des portefeuilles de dons et legs investis en valeurs mobilières. Le gérant a été préféré à 12 autres candidats. L’encours global à gérer est de l’ordre de dix-sept millions d’euros. La valeur du marché est estimée à 90.000 euros. Les dons et legs consentis à l’Académie lui permettent, par la gestion des patrimoines mobiliers ou immobiliers qu’ils constituent, la dotation de prix ou de bourses renouvelés tous les ans ou tous les deux ans.
EssilorLuxottica a déclaré ce vendredi qu’il tablait pour l’année 2021 sur une performance comparable aux niveaux d’avant la pandémie. Il a déjà constaté une dynamique positive en Asie-Pacifique et s’attend également à ce que la vaccination contre le Covid-19 commence à normaliser l’environnement économique dans les autres régions au cours du deuxième trimestre. La fusion réalisée entre Essilor et Luxottica devrait en outre générer des synergies de 300 à 350 millions d’euros au niveau du résultat opérationnel ajusté d’ici à la fin 2021, puis comprises entre 420 et 600 millions d’ici à la fin 2023. L’entreprise étudie 28 axes de travail pour réaliser ces synergies.
JCDecaux a annoncé jeudi une perte nette de 604,6 millions d’euros au titre de l’exercice 2020, contre un bénéfice net de 265,5 millions d’euros en 2019. C’est la première perte enregistrée au niveau du résultat net depuis le lancement du numéro un mondial de l’affichage publicitaire, en 1964. Ce résultat inclut des dépréciations évaluées à 211 millions d’euros par l’entreprise et principalement liées à la pandémie. Le groupe, qui table sur une baisse organique du chiffre d’affaires ajusté autour de 40% au premier trimestre 2021, ne prévoit pas de verser un dividende au titre de l’exercice 2020, pour la deuxième année consécutive.
WPP, leader mondial de la publicité, a annoncé jeudi vouloir reprendre immédiatement un programme de rachat d’actions de 620 millions de livres (724 millions d’euros), après un quatrième trimestre 2020 légèrement meilleur que prévu, soutenu par des réductions de coûts et de nouveaux contrats. En données organiques, son revenu net a reculé de 6,5% durant les trois derniers mois de 2020, alors que le consensus prévoyait une contraction de 6,7%. Le groupe britannique a confirmé ses prévisions pour l’exercice 2021 d’une hausse de 5% de ses ventes organiques. Sur l’exercice écoulé, WPP a accusé une perte avant impôts de 2,79 milliards de livres, contre un bénéfice de 1,21 milliard en 2019.
WPP, leader mondial de la publicité, a annoncé ce jeudi vouloir reprendre immédiatement un programme de rachat d’actions de 620 millions de livres (724 millions d’euros), après un quatrième trimestre 2020 légèrement meilleur que prévu, soutenu par des réductions de coûts et de nouveaux contrats. En données organiques, son revenu net a reculé de 6,5% durant les trois derniers mois de 2020, alors que le consensus prévoyait une contraction de 6,7%. Le groupe britannique a confirmé ses prévisions pour l’exercice 2021 d’une hausse de 5% de ses ventes organiques, et d’un retour à la croissance dès le deuxième trimestre.
JCDecaux a annoncé jeudi matin une perte nette de 604,6 millions d’euros au titre de l’exercice 2020, contre un bénéfice net de 265,5 millions d’euros en 2019. «Il s’agit de la première perte enregistrée au niveau du résultat net depuis le lancement de nos activités en 1964», a déclaré David Bourg, directeur général en charge des finances du numéro un mondial de l’affichage publicitaire, au cours d’une conférence de presse. Ce résultat inclut des dépréciations évaluées à 211 millions d’euros par l’entreprise et principalement liées à la pandémie de coronavirus.
Selon le baromètre économique des TPE-PME françaises du conseil de l’Ordre des experts-comptables, le chiffre d’affaires de ces entreprises a enregistré une baisse cumulée de 8,4% d’un an sur l’autre en 2020 en raison des confinements et des mesures de restriction liées à la pandémie. Le recul a été de 5,6% au premier trimestre et de 20,2% au deuxième trimestre. La levée partielle des restrictions a conduit à un repli de l’activité limité à 1% entre juillet et septembre par rapport à la même période de 2019, et de -5,6% au quatrième trimestre. Sur l’ensemble de l’année écoulée, la restauration traditionnelle, l’hôtellerie et les débits de boisson ont été les secteurs les plus affectés avec un plongeon respectif de 38,7%, 44,4% et 35% de leur chiffre d’affaires.
Selon le baromètre économique des TPE-PME françaises publié ce mercredi par le conseil de l’Ordre des experts-comptables, le chiffre d’affaires de ces entreprises a enregistré une baisse cumulée de 8,4% d’un an sur l’autre en 2020 en raison des confinements et des mesures de restriction liées à la pandémie de coronavirus. Le recul a été de 5,6% au premier trimestre et il a atteint 20,2% au deuxième trimestre. La levée partielle des restrictions a conduit à un repli de l’activité limité à 1% entre juillet et septembre par rapport à la même période de 2019 et la baisse a été de 5,6% au quatrième trimestre.
Inditex, propriétaire de la marque de prêt-à-porter Zara, a fait état ce mercredi d’une chute de 70% à 1,1 milliard d’euros de son bénéfice net sur son exercice clos le 31 janvier 2021, en raison des fermetures de magasins liées à la pandémie de coronavirus. Le consensus des analystes tablait sur un bénéfice de 1,3 milliard. Sur le seul quatrième trimestre, marqué par de nouvelles mesures de restriction en Europe, son bénéfice net a reculé de 53% à 435 millions d’euros. Au 8 mars, environ 15% des magasins du groupe dans le monde étaient encore fermés.
Maisons du Monde a annoncé mercredi à l’occasion de la présentation de ses résultats annuels le lancement d’une revue stratégique de ses actifs aux Etats-Unis, en raison d’un marché de la distribution américain rendu « difficile » par la pandémie de Covid-19. « Nous avons décidé d’enregistrer une dépréciation d’actifs pour un montant de 51 millions d’euros liée à Modani en 2020 et nous étudions actuellement toutes les options possibles pour la société », a indiqué Julie Walbaum, la directrice générale de Maisons du Monde, lors d’une conférence téléphonique avec des journalistes.
Avec désormais plus de 95% de ses magasins ouverts, Adidas a indiqué mercredi matin qu’il tablait sur une hausse de ses ventes à taux de change constant comprise entre 15% et 20% en 2021, avec des progressions jusqu'à 30% attendues en Chine, dans le reste de l’Asie et en Amérique latine. Dans la région EMEA, les ventes devraient progresser entre 15% et 20% et autour de 10% en Amérique du Nord.
Continental demeure très prudent en raison des difficultés de sa branche automobile. L’équipementier et pneumaticien allemand prévoit un chiffre d’affaires compris entre 40,5 milliards et 42,5 milliards d’euros et vise une marge opérationnelle ajustée comprise entre 5% et 6% en 2021. L’an dernier, son chiffre d’affaires a chuté de 12,7% à 37,7 milliards d’euros et sa marge opérationnelle est tombée à 3,5%, contre 7,3% en 2019. Le groupe a intégré des dépenses logistiques supplémentaires d’environ 200 millions d’euros pour faire face aux difficultés dans la chaîne d’approvisionnement liées à la pénurie de semi-conducteurs. Il a aussi prévu des dépenses additionnelles de R&D à hauteur de 200 millions à 250 millions d’euros.
S’il table sur un redressement de son activité et de sa rentabilité opérationnelle cette année, Continental demeure très prudent en raison des difficultés de sa branche automobile. L’équipementier et pneumaticien allemand prévoit un chiffre d’affaires compris entre 40,5 milliards et 42,5 milliards d’euros et vise une marge opérationnelle ajustée comprise entre 5% et 6% en 2021. L’an dernier, son chiffre d’affaires a chuté de 12,7% à 37,7 milliards d’euros et sa marge opérationnelle est tombée à 3,5%, contre 7,3% en 2019.
Dassault Aviation prévoit de livrer le premier exemplaire de son avion d’affaires Falcon 6X à la fin de 2022 et fera une annonce dans «les mois ou semaines à venir» sur son nouveau programme Future Falcon, a déclaré son PDG, Eric Trappier, à la suite de la publication des résultats annuels du groupe. Si le constructeur aéronautique anticipe un chiffre d’affaires en hausse en 2021, il a subi un recul de 39,1% de ses prises de commandes l’an dernier et son résultat opérationnel a plongé de 65,9% à 261 millions d’euros.
CGG a publié vendredi matin une perte nette de 438 millions de dollars (367 millions d’euros) au titre de l’exercice 2020, contre un déficit de 61 millions de dollars enregistré un an plus tôt. Le résultat net des activités poursuivies a été négatif à hauteur de 376 millions de dollars, contre un résultat positif de 126 millions en 2019. Sur la base de prix du pétrole stabilisés au-dessus de 50 dollars le baril, le groupe de services parapétroliers prévoit pour cette année une reprise de la croissance de son chiffre d’affaires et un flux de trésorerie net positif, après un flux négatif de 247 millions de dollars dégagé en 2020.
Lufthansa envisage de clouer définitivement au sol des avions supplémentaires pour mieux sortir de la crise due au Covid. La compagnie aérienne, qui a bénéficié l’an dernier d’un plan de sauvetage de 9 milliards d’euros de l’Etat allemand, table pour 2021 sur une capacité de vol représentant 40 à 50% de ses niveaux de 2019. Elle a enregistré une perte nette record de 6,7 milliards d’euros pour 2020. Son chiffre d’affaires a plongé de 63% à 13,6 milliards. Sa dette nette est passée à 9,9 milliards d’euros au 31 décembre 2020, contre 6,7 milliards un an plus tôt, tandis que ses liquidités totales s'élevaient à 10,6 milliards d’euros, dont 5,7 milliards d’aide publique non utilisée.
Lufthansa envisage de clouer définitivement au sol des avions supplémentaires pour mieux sortir de la crise déclenchée par le coronavirus, a annoncé jeudi matin le groupe de transport aérien. « Nous sommes en train de décider si tous les avions de plus de 25 ans resteront définitivement immobilisés », a déclaré le président du directoire, Carsten Spohr. La compagnie aérienne, qui a bénéficié l’an dernier d’un plan de sauvetage de 9 milliards d’euros de l’Etat allemand, table pour 2021 sur une capacité de vol représentant 40 à 50% de ses niveaux de 2019. Elle a enregistré une perte nette record de 6,7 milliards d’euros au titre de l’année 2020, contre 6,6 milliards prévus en moyenne par des analystes. Son chiffre d’affaires a plongé de 63% 13,6 milliards.
Morgan Stanley a annoncé ce 1er mars avoir bouclé l’acquisition d’Eaton Vance Corp qui avait été dévoilée en octobre 2020, pour un montant de 7 milliards de dollars. Les actionnaires ordinaires d’Eaton Vance ont reçu 0,5833 action ordinaire Morgan Stanley et 28,25 dollars par action en espèces pour chaque action ordinaire Eaton Vance, et ont eu la possibilité de choisir de recevoir la contrepartie de la fusion entièrement en espèces ou entièrement en actions, sous réserve d’une répartition proportionnelle et d’un ajustement. Comme prévu dans l’accord de fusion, les actionnaires d’Eaton Vance ont également reçu un dividende spécial de 4,25 dollars par action, qui a été versé le 18 décembre 2020 aux actionnaires inscrits le 4 décembre 2020. «Avec l’ajout d’Eaton Vance, Morgan Stanley supervisera 5.400 milliards de dollars d’actifs de clients dans ses segments de gestion de patrimoine et de gestion d’actifs. Les activités de Morgan Stanley Investment Management et d’Eaton Vance connaissent une forte croissance et leurs capacités complémentaires d’investissement et de distribution apporteront une valeur ajoutée significative à nos clients de la gestion des investissements», a déclaré James P. Gorman, président et directeur général de Morgan Stanley. Eaton Vance gérait 583 milliards de dollars à fin 2020.