Delta Air Lines s’attend à compter 7.000 pilotes de plus que nécessaire cet automne en raison de l’impact de la pandémie de coronavirus sur ses activités, déclare la direction de la compagnie américaine dans un message aux salariés consulté hier par Reuters. «Je reconnais qu’il s’agit d’un chiffre alarmant, il est donc important que vous sachiez que notre intention est d’aligner nos effectifs sur nos besoins à long terme», a déclaré John Laughter, vice-président en charge des opérations de vol. Il a ajouté qu’au troisième trimestre 2021, Delta compterait entre 2.500 et 3.500 pilotes de plus que nécessaire, même en prenant en compte ceux qui atteindront l'âge d’un départ en retraite obligatoire.
Delta Air Lines s’attend à compter 7.000 pilotes de plus que nécessaire cet automne en raison de l’impact de la pandémie de coronavirus sur ses activités, déclare la direction de la compagnie aérienne américaine dans un message aux salariés que Reuters a pu consulter. «Je reconnais qu’il s’agit d’un chiffre alarmant, il est donc important que vous sachiez que notre intention est d’aligner nos effectifs sur nos besoins à long terme», a déclaré John Laughter, vice-président de l’entreprise en charge des opérations de vol.
Le voyagiste allemand TUI a fait savoir mercredi matin qu’il prévoyait de reprendre progressivement ses activités après les avoir suspendues en raison de la pandémie de coronavirus. Le groupe a ajouté qu’il cherchait à réduire de façon permanente ses frais généraux de 30%, ce qui pourrait affecter quelque 8.000 emplois à l’échelle mondiale. Il renoncera à certains recrutements ou supprimera des postes pour atteindre son objectif de baisse de coûts.
Les mouvements d’associés en restructuration sont plus nombreux que jamais, que ce soit pour prendre leur indépendance ou rejoindre de grandes structures.
Le groupe franco-américain de services pétroliers a l’intention de supprimer 700 emplois sur ses sites de Norvège en raison des difficultés du marché. «TechnipFMC confirme qu’en raison de la situation sans précédent du marché, le conseil d’administration du groupe en Norvège a approuvé une réduction des effectifs pouvant représenter 700 postes sur tous les sites», a déclaré un porte-parole, ajoutant que l’objectif était de finaliser la procédure d’ici à fin août. Le groupe emploie 3.100 personnes en Norvège.
Le groupe franco-américain de services pétroliers a l’intention de supprimer 700 emplois sur ses sites de Norvège en raison des difficultés du marché. «TechnipFMC confirme qu’en raison de la situation sans précédent du marché, le conseil d’administration du groupe en Norvège a approuvé une réduction des effectifs pouvant représenter 700 postes sur tous les sites», a déclaré un porte-parole, ajoutant que l’objectif était de finaliser la procédure d’ici à fin août. Le groupe emploie 3.100 personnes en Norvège.
Le conglomérat General Electric a annoncé hier que les réductions de personnel de sa branche aéronautique, GE Aviation, seraient permanentes et concerneraient désormais 25% de ses effectifs, soit près de 13.000 personnes, en raison du repli des commandes provoquées par la pandémie de coronavirus. GE Aviation, qui fournit des moteurs d’avions aux grands constructeurs aéronautiques comme Boeing et Airbus, a souligné que ce plan de restructuration intervient alors que le trafic aérien mondial a chuté de près de 80% au deuxième trimestre par rapport à ses niveaux de février, à la suite des mesures de confinement dans le monde.
La crise du Covid-19 a eu raison de J. Crew. Le groupe américain de prêt-à-porter s’est placé sous Chapter 11 afin de restructurer sa dette, une procédure qui permettra aux créanciers de prendre le contrôle de l’entreprise. Les 1,65 milliard de dollars (1,51 milliard d’euros) de dette du groupe sont principalement détenus par les fonds Anchorage Capital Group, Blackstone via sa structure GSO Capital Partners, et Davidson Kempner Capital Management.
Le conglomérat General Electric a annoncé aujourd’hui que les réductions de personnel de sa branche aéronautique, GE Aviation, seraient permanentes et concerneraient désormais 25% de ses effectifs, soit près de 13.000 personnes, en raison du repli des commandes provoquées par la pandémie de coronavirus.
La crise du Covid-19 a eu raison de J. Crew. Le groupe américain de prêt-à-porter s’est placé sous Chapter 11 afin de restructurer sa dette, une procédure qui permettra aux créanciers de prendre le contrôle. Les 1,65 milliard de dollars de dette du groupe sont principalement détenus par les fonds Anchorage Capital Group, Blackstone via sa structure GSO Capital Partners, et Davidson Kempner Capital Management.
Le groupe d’ingénierie allemand Thyssenkrupp a annoncé hier une restructuration de ses activités de technologie automobile en Allemagne qui affectera environ 490 emplois. Cette restructuration concerne l’activité de ressorts et de stabilisateurs pour la suspension automobile. Le groupe prévoit de fermer son site d’Olpe, qui emploie 330 personnes, d’ici à 2021. L’usine de Hagen sera transformée en centre d’excellence pour le développement et la fabrication de ressorts et stabilisateurs
Le gérant d’actifs américainOaktree Capital Management cherche à lever 15 milliards de dollars pour un fonds de dette Distressed, selon Reuters et Bloomberg. Les bouleversements provoqués par la pandémie de coronavirus ont fait plonger les valorisations des entreprises, permettant aux gros fonds de dette en difficulté de potentiellement acquérir des actifs à meilleur prix.
L'enseigne du groupe Vivarte a demandé une mise sous sauvegarde. Entre le 15 mars et le 11 mai, elle craint une perte de 106 millions d’euros de chiffre d’affaires.
Malgré la mise en place de mesures d’urgence telles que le chômage partiel et la suspension des loyers, La Halle peine à se maintenir à flot. La direction de la principale enseigne du groupe Vivarte a donc demandé devant le tribunal de commerce de Paris l’ouverture d’une procédure de sauvegarde. Une manœuvre devant lui permettre de poursuivre ses activités une fois les mesures de confinement liées au Covid-19 levées.
Louis Margueritte, le secrétaire général du Comité interministériel de restructuration industrielle, dresse pour L'Agefi un premier état des lieux des conséquences de la crise.
Les défaillances d’entreprise devraient bondir de 25% cette année à travers le monde à cause de la récession économique liée à la pandémie de Covid-19, selon le baromètre publié lundi par Coface. «Le risque de crédit des entreprises sera en très forte hausse et ce, même si l’on se place dans un scénario où l’activité économique redémarrerait graduellement dès le troisième trimestre» et ne connaîtrait pas de deuxième vague épidémique, souligne l’assureur crédit. Les défaillances devraient exploser aux Etats-Unis (+39%) et au Royaume-Uni (+33%) mais aussi en France (+15%), en Italie (+18%), en Espagne (+22%) et, de façon un peu moins marquée, en Allemagne (+11%). L’assureur crédit table sur une contraction du produit intérieur brut (PIB) mondial de 1,3% cette année.
Les défaillances d’entreprise devraient bondir de 25% cette année à travers le monde à cause de la récession économique liée à la pandémie de Covid-19, selon le baromètre publié lundi par Coface. « Le risque de crédit des entreprises sera en très forte hausse et ce, même si l’on se place dans un scénario où l’activité économique redémarrerait graduellement dès le troisième trimestre » et ne connaîtrait pas de deuxième vague épidémique, souligne l’assureur crédit.
NatixisInvestment Managers, Credit Suisse Asset Management, Clearstream, la Bourse de Luxembourg ont apporté un financement de série A pour pouvoir lancer la plateforme FundsDLT basée sur la blockchain et dédiée au secteur des fonds d’investissement. Le montant apporté est resté confidentiel. L’objectifest de développer une plateforme dédiée au secteur des fonds d’investissement qui utilise la «technologie de registre distribué» (distributed ledger technology, DLT). Cette décision marque un tournant dans l’évolution de la plateforme, créée et incubée à l’origine par la Bourse de Luxembourg et sa filiale Fundsquare. FundsDLT s’appuie sur une technologie blockchain, basée sur Ethereum, qui garantit la confidentialité des données et de hautes performances d’exécution. «Elle permet de repenser la chaîne de valeur de la distribution des fonds, du début à la fin du processus, sur l’ensemble du cycle de vie des fonds. Grâce à la plateforme, les gestionnaires d’actifs, les distributeurs, les prestataires d’asset servicing et l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement peuvent optimiser les activités redondantes pour réduire les coûts, tout en bénéficiant du degré de transparence nécessaire sur les souscripteurs. FundsDLT pose ainsi le premier jalon de la distribution de fonds numérique», détaille un communiqué. Le financement aidera FundsDLT à renforcer sa plateforme et accélérer son développement commercial. Les autres acteurs de la gestion sont invités à rejoindre l’initiative.
Patrons hyperpuissants, gouvernance, climat, harcèlement sexuel, utilisation des données… Le fonds norvégien met les GAFA devant leurs responsabilités.