Nos articles d’actualité et d’analyse sur les grands évènements et décisions politiques susceptibles d’influer les marchés financiers et les principales économies (élections, guerre, remaniements, réformes etc.)
La Chine a annoncé vendredi l’imposition de lourdes mesures antidumping contre les vins australiens importés, accentuant sa pression sur l’Australie. Le communiqué du ministère chinois du Commerce indique que l’enquête préliminaire lancée en août montre un «préjudice important» pour l’industrie viticole chinoise. A compter de samedi, les importations de vin australien seront donc soumises à des surtaxes compensatoires comprises entre 107,1% et 212,1%, précise le document.
Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a exclu aujourd’hui tout compromis sur le budget et le fonds de relance de l’Union européenne, qu’il refuse de voir conditionnés au respect de l’Etat de droit. «Notre position est solide comme un roc, la leur n’est qu’une question de volonté politique», a déclaré Viktor Orban à la radio publique, en visant un petit groupe d’eurodéputés. Varsovie et Budapest font l’objet de procédures d’infraction pour des atteintes à l’indépendance de la justice ou des médias et au droit d’asile. Le budget et le plan de relance ne peuvent être débloqués sans l’accord unanime des Etats membres et du Parlement européen.
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a choisi jeudi Dan Rosenfield, un consultant en affaires et ancien responsable du Trésor, comme nouveau chef de cabinet. Il prendra officiellement ses fonctions le 1er janvier. Cette nomination fait suite au départ du principal conseiller de Boris Johnson, Dominic Cummings, considéré parfois comme le «cerveau» du Premier ministre et le principal artisan du Brexit. Dan Rosenfield a travaillé chez Hakluyt, une société de conseil en stratégie pour les entreprises et les investisseurs. Il a également été directeur de la banque d’investissement de Bank of America. Il a aussi occupé pendant dix ans des fonctions au ministère des Finances.
Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a choisi jeudi Dan Rosenfield, un consultant en affaires et ancien responsable du Trésor, comme nouveau chef de cabinet. Il prendra officiellement ses fonctions le 1er janvier. Cette nomination fait suite au départ du principal conseiller de Boris Johnson, Dominic Cummings, considéré parfois comme le «cerveau» du Premier ministre et le principal artisan du Brexit.
Lundi soir, Donald Trump a indiqué avoir autorisé l’administration américaine à entamer le processus de transition pour le président élu Joe Biden, lui donnant accès à des fonds et à des compte-rendus. Alors même que le président sortant continue à contester les résultats de l’élection présidentielle du 3 novembre via différents recours juridiques dans des Etats. Sans attendre, Joe Biden avait déjà commencé à composer son équipe gouvernementale lundi. En parallèle, le président élu et son équipe ont désormais accès à des ressources jusque-là bloquées.
Deux enquêtes ont été ouvertes par les parquets de Lille et Paris. La première fait suite à un signalement de Tracfin, la cellule anti-blanchiment de Bercy, la seconde à l’initiative de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), qui soupçonne des faits «susceptibles de revêtir la qualification d’abus de confiance». Le ministre des PME Alain Griset se défend d’enrichissement personnel. Plusieurs montages financiers sont mis en cause par la HATVP, qui juge « ni exactes, ni sincères » les déclarations patrimoniales et d’intérêt de l’ancien dirigeant de l’U2P.
Lundi soir, Donald Trump a indiqué avoir autorisé l’administration américaine à entamer le processus de transition pour le président élu Joe Biden, lui donnant accès à des fonds et à des compte-rendus. Alors même que le président sortant continue à contester les résultats de l’élection présidentielle du 3 novembre via différents recours juridiques dans des Etats, cette annonce constitue un virage dans sa communication et lève un peu plus le risque politique d’une longue contestation aux Etats-Unis.
L’administration de Donald Trump est sur le point de déclarer que 89 entreprises chinoises ont des liens avec l’armée de la République populaire et va leur interdire d’acheter des technologies et produits américains, selon un projet de liste cité par Reuters. La liste figure dans un projet de règlementation identifiant des entreprises chinoises et russes que les Etats-Unis considèrent comme «à usage final militaire». En avril dernier, le département américain du Commerce avait élaboré une règlementation plus stricte afin d’empêcher la Chine d’obtenir à des fins commerciales des technologies américaines avancées pour les détourner ensuite à un usage militaire.
Jusqu’au bout. L’administration de Donald Trump est sur le point de déclarer que 89 entreprises chinoises ont des liens avec l’armée de la République populaire et va leur interdire d’acheter un éventail de technologies et produits américains, selon un projet de liste que Reuters a pu consulter. La liste figure dans un projet de règlementation identifiant des entreprises chinoises et russes que les Etats-Unis considèrent comme "à usage final militaire», une désignation signifiant que les fournisseurs américains doivent obtenir des licences pour vendre à ces entreprises un large éventail de produits disponibles dans le commerce.
Emmanuel Macron s’adressera aux Français mardi à 20H00 pour annoncer une adaptation des règles du confinement face à l'épidémie de Covid-19, a annoncé vendredi l’Elysée. Cette allocution télévisée interviendra une semaine avant l'échéance du 1er décembre, fixée par le chef de l’Etat lorsqu’il avait annoncé le reconfinement national le 28 octobre.
Le Trésor américain a imposé mercredi de nouvelles sanctions contre des dizaines d’individus ou d’entités iraniens. Ces nouvelles mesures, dernière initiative en date prise par l’administration Trump dans le cadre de sa stratégie de «pression maximale» visent notamment la Fondation Mostazafan de la révolution islamique, que contrôle l’ayatollah Ali Khamenei. Ces annonces interviennent alors que l’Iran avait déclaré mercredi matin par la voix de son ministre des Affaires étrangères qu’il appliquera «automatiquement» ses engagements en matière nucléaire si le gouvernement Biden lève les sanctions américaines prises contre Téhéran depuis 2018. Joe Biden a dit vouloir changer de cap par rapport à la politique de «pression maximale».
Boris Johnson a qualifié de «catastrophe» le transfert de pouvoirs à l’Ecosse et a exclu de poursuivre cette décentralisation, alors qu’une partie des nationalistes écossais plaident pour un nouveau référendum d’autodétermination. «Il faudra bien se souvenir de ces déclarations du Premier ministre la prochaine fois que les Tories disent qu’ils ne sont pas une menace pour les prérogatives du Parlement écossais ou, encore plus incroyable, qu’ils sont favorables au transfert de davantage de compétences», a réagi sur Twitter la Première ministre écossaise, Nicola Sturgeon, pour un référendum. La seule manière de protéger et de renforcer le Parlement écossais est l’indépendance, a-t-elle ajouté.
Boris Johnson a qualifié de «catastrophe» le transfert de pouvoirs à l’Ecosse et a exclu de poursuivre cette décentralisation, alors qu’une partie des nationalistes écossais plaident pour l’organisation d’un nouveau référendum d’autodétermination. «Il faudra bien se souvenir de ces déclarations du Premier ministre la prochaine fois que les Tories disent qu’ils ne sont pas une menace pour les prérogatives du Parlement écossais ou, encore plus incroyable, qu’ils sont favorables au transfert de davantage de compétences», a réagi sur Twitter la Première ministre écossaise, Nicola Sturgeon, favorable à un référendum. La seule manière de protéger et de renforcer le Parlement écossais est l’indépendance, a-t-elle ajouté.
Comme pressenti, la Hongrie et la Pologne ont opposé lundi leur veto à la mise en œuvre de l’ensemble du paquet décidé le 21 juillet par le Conseil lors d’une réunion des représentants permanents des Vingt-Sept à Bruxelles. Les deux Etats bloquent ainsi le lancement du processus de ratification de fait du plan de relance de 750 milliards d’euros par les parlements nationaux ainsi que l’adoption finale du cadre budgétaire 2021-2027 de 1074 milliards, agréé avec le Parlement européen (PE) la semaine passée, qui nécessitent tous deux un vote à l’unanimité. Opposés au nouveau mécanisme liant le versement de fonds du budget de l’UE au respect de l’État de droit, Varsovie et Budapest n’ont en revanche rien pu faire contre son adoption par une majorité qualifiée d’Etats membres.
Comme pressenti, la Hongrie et la Pologne viennent d’opposer leur veto à la mise en œuvre de l’ensemble du paquet décidé le 21 juillet par le Conseil lors d’une réunion des représentants permanents des Vingt-Sept à Bruxelles. Les deux Etats bloquent ainsi le lancement du processus de ratification de fait du plan de relance de 750 milliards d’euros par les parlements nationaux ainsi que l’adoption finale du cadre budgétaire 2021-2027 de 1074 milliards, agréé avec le Parlement européen (PE) la semaine passée, qui nécessitent tous deux un vote à l’unanimité.
La Hongrie opposera son veto au projet de budget de l’Union européenne (UE) pour 2021-2027 et au fonds de relance post-coronavirus si la clause liant le versement de l’argent au respect de l’Etat de droit n’est pas révisée, a déclaré lundi un porte-parole du gouvernement hongrois. Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, est accusé par l’UE et certains pays européens d’atteinte aux principes démocratiques, notamment en matière d’indépendance de la justice et de liberté de la presse. La Pologne est elle aussi visée par des critiques similaires.
Donald Trump a semblé reconnaître pour la première fois dimanche que son rival démocrate Joe Biden avait remporté l'élection présidentielle aux Etats-Unis, avant de rapidement préciser qu’il refusait de reconnaître sa défaite en raison des fraudes qui ont, selon lui, entaché le scrutin. «Il a gagné parce que l'élection était truquée», a écrit sur son compte Twitter le président républicain, en partageant une vidéo de Fox News et en réitérant ses accusations de fraudes. Donald Trump réaffirme que le parti républicain n’a pas pu déployer de scrutateurs dans certains bureaux de vote et d’observateurs au moment du dépouillement, notamment en Pennsylvanie, une accusation restée sans preuve jusqu'à présent.