Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Après une année 2009 difficile, la quatrième édition du Baromètre de l’Investissement Immobilier publié par IPD France sur les anticipations de marché des investisseurs institutionnels laisse apparaître un optimisme mesuré. Pour l’ensemble de l’année 2010, les panélistes (foncières cotées, gestionnaires de fonds non cotés, assureurs, gestionnaires de SCPI et d’OPCI, fonds ouverts allemands) tablent en moyenne sur une progression de 1,6 % du PIB. Ils sont légèrement moins enthousiastes pour 2011, où la croissance devrait s’afficher à 1,5 % en France. Du côté des investissements, la reprise des engagements en immobilier d’entreprise sur les années 2010 et 2011 restera mesurée. Les membres du panel anticipent un volume total d’investissement en France de l’ordre de 10 milliards d’euros en 2010, et de 12 milliards d’euros en 2011. De leur côté, les investisseurs du panel prévoient d’investir au total 9 milliards d’euros en 2011. Selon le barème, leurs choix se porteront principalement sur les bureaux franciliens, particulièrement en première couronne. Les investisseurs les plus actifs seront selon les sondés les compagnies d’assurance.Le rendement global de l’immobilier devrait se situer à 10 % en 2010, indiquent les panélistes. En 2011, le rendement en capital devrait être inférieur à celui de 2010, en lien avec la stabilisation des taux de rendement prime. Ce rendement en capital restera néanmoins positif en 2011, la moyenne des estimations atteignant 3,0 %, note IPD.Ont participé à la quatrième session du panel : Pierre Beckerich – Président d’Euragone, Cécile Blanchard – Responsable Etudes et Recherche d’Amundi Immobilier, Jean-Christophe Bourreille – European Director / directeur des Acquisitions France de Lasalle Investment Management, Christophe Clamageran – Directeur Général de Gecina, Jean-Marc Coly – Directeur Général d’UFG REM, Antoine de Broglie – Président de STAM Europe, Frédéric de Klopstein – Directeur des Investissements de Klépierre, Philippe Depoux – Président de Generali France Immobilier, Silvio Estienne – Directeur Général d’ING REIM France, Jacqueline Faisant – Présidente du Directoire de BNP Paribas REIM, Yvan Gril – DirecteurGénéral de GE Real Estate France, Thomas Guyot – Responsable du Pôle Foncière Tertiaire d’Icade, Alexia Jaeger – Directrice des Acquisitions France de KanAm Grund, Paul Joubert – Directeur des Transactions Europe de Invesco Real Estate, Laurent Lavergne – Directeur des Fonds d’Axa Real Estate, Philippe Le Trung – Directeur de la Communication Financière de Foncière des Régions, Albert Malaquin – Directeur Général d’Altaréa France, Mahdi Mokrane – Directeur Etudes et Stratégie d’AEW Europe, Nathalie Robin – Directrice Immobilier de BNP Paribas Assurances, Sylvain Vene – Directeur Général Adjoint de Silic.
IPD lance aujourd’hui un nouvel indice retraçant la performance des OPCI RFA (Organismes de placement collectif immobilier à règles de fonctionnement allégées), en partenariat avec l’ASPIM (Association Française des Sociétés de Placement Immobilier). Sa périodicité est semestrielle et il doit contribuer à développer la lisibilité de ce nouveau véhicule immobilier, précise un communiqué. L’indice IPD de performance des OPCI RFA est calculé à partir des données relatives à 36 OPCI RFA. Cet échantillon représente au total un actif net réévalué (ANR) de 3 509 millions d’euros et une valeur d’actifs sous-jacents de 5 845 millions d’euros, soit une couverture de cette catégorie de véhicules avoisinant les 75 %. En pratique, les performances de l’indice traduisent l’évolution de l’ANR des OPCI RFA, distribution comprise et nette de dépenses en capital. Au cours des 6 premiers mois de l’année 2010, la performance de l’ensemble des 36 OPCI RFA analysés ressort à 2,5 %. Les OPCI RFA spécialisés - qui allouent plus de 70 % de leurs actifs à un secteur particulier - (31 véhicules) affichent également une performance de 2,5 %, tandis que les OPCI RFA diversifiés - qui allouent cette fois moins de 70 % de leurs actifs à un secteur particulier - (5 véhicules) dégagent une rentabilité légèrement plus faible, s’établissant à 2,2 %. A noter que neuf sociétés de gestion d’OPCI contribuent à cet indice : AEW Europe SGP, Amundi Immobilier, AXA Real Estate SGP, BNP Paribas REIM, Ciloger, Euragone Asset Management, Sofidy, UFG LFP et VIVERIS REIM.
L’association Chartered Alternative Investment Analyst (CAIA), regroupant les professionnels certifiés de la gestion alternative (capital investissement, immobilier non coté, matières premières, hedge funds, etc.), lance CAIA France. «Nous avons décidé de lancer ce nouveau chapitre pour répondre à la forte croissance du nombre de membres en France et à la demande d’une formation en pointe sur l’investissement alternatif, d’opportunités de networking et d’amélioration de la connaissance de l’industrie et de ses développements», a déclaré E. Craig Asche, directeur général de l’association CAIA.Ayant activement contribué à la création de cette branche française, Philippe Maupas, CAIA, associé de Quantalys, et Grégory Molinaro, CAIA, gérant de portefeuille chez CPR Asset Management, en seront les deux co-responsables. Trois autres volontaires, membres de l’association CAIA, font également partie de l’équipe en charge de l’animation du chapitre français : Charles Vernudachi, CAIA, responsable des ventes - France, Key Asset Management; Olivier Bourgi, CAIA, Méthodologie, Procédés et Systèmes d’Information (RSI), Nexar Capital Group – AAAM; et Olivier Jéséquel, CAIA, Consultant, bfinance.
L’Agefi rapporte que selon la deuxième enquête de la Fédération des associations d’actionnaires salariés et anciens salariés (FAS) publiée ce 1er décembre, l’actionnariat salarié a augmenté dans 52% des entreprises au cours des cinq dernières années, tandis qu’il est resté stable dans 17% d’entre elles. A l’automne 2009, les proportions étaient respectivement de 46% et 31%, soit un niveau légèrement supérieur en données agrégées. Mais les effets de la crise commencent à se faire sentir. Si 80% des entreprises ont mis en place une politique de développement de l’actionnariat salarié, elles ne sont plus que 36% à proposer une opération dédiée à ces investisseurs au moins une fois par an contre 59% à l’automne 2009. A noter également, et c’est surprenant, note le quotidien, que la proportion d’entreprises proposant une formule avec protection du capital dans le cadre d’un plan d'épargne entreprise (PEE) ou d’un plan d'épargne groupe (PEG) est passée de 45% à 38%.
Selon une étude de Deutsche Bank qui reprend des données de la Banque des règlements internationaux (BRI), la Grèce pèse 0,27% des actifs des établissements français, en raison notamment de la présence de filiales locales, l’Irlande 0,09% et le Portugal 0,2%, rapporte l’Agefi. En valeur, le classement diffère cependant. Selon Deutsche Bank, les banques allemandes totalisaient 213 milliards d’euros de créances à l'égard de ces trois pays, suivies par les britanniques (166 milliards) et les françaises (142 milliards).
La commission des Finances a adopté mardi trois amendements « d’appel », destinés à ouvrir le débat lors de l’examen de la deuxième partie du projet de loi de finances 2011, rapporte La Tribune. Les deux premiers concernent les contrats d’assurance-vie qui seront ouverts à compter du 1er janvier 2011. Ils visent à inciter les épargnants à privilégier les unités de compte (investies en actions) plutôt que les fonds en euros, en baissant le taux d’imposition (appliqué au-delà des abattements) de 7,5 à 5,5 % pour ceux qui investissent sur les actions. Pour les autres, le taux passerait à 8,5 %. Le dernier amendement voté par le Sénat consiste à rendre imposable les intérêts tirés de l'épargne réglementée (livret A, livret bleu, LEP, LDD, livret jeune) pour les sommes dépassant le plafond réglementaire, ajoute le quotidien.
La société de gestion canadienne AGF Management a conclu le rachat d’Acuity Funds pour 325 millions de dollars canadiens, rapporte l’Agefi. La nouvelle entité affichera environ 51 milliards de dollars canadiens d’actifs sous gestion.
UBS et Axa IM ont commencé le placement privé de tranches de Cadenza I, une titrisation adossée à des contrats dérivés de crédit, appelée «CDO synthétique» (CSO), rapporte l’Agefi. La banque suisse en est le distributeur, la société de gestion, le gérant.Ce type de financement structuré est construit autour des contrats de protection contre le risque de défaut (CDS) dont les actifs sous-jacents sont de la dette corporate notée «investissement» de sociétés de nationalité - notamment européenne - et de secteurs différents,note le quotidien.D’après une source de marché, les tranches de Cadenza I, dont la maturité varie de 3 à 5 ans, sont placées auprès des investisseurs au fur et à mesure de leurs ordres. Le gros des ordres aurait déjà été passé et le CSO n’a pas de date de clôture.
Selon une étude publiée ce 30 novembre par l’Insee, les ménages recentrent leur épargne vers l'épargne-retraite ou l’assurance-vie, au détriment des plans d'épargne-logement (PEL) et des valeurs mobilières. Cette tendance se confirme également par la légère augmentation de la part de ménages propriétaires de leur résidence principale, à 58% de l’ensemble de la population. Concernant les valeurs mobilières, précise le quotidien, un cinquième des ménages détiennent des valeurs mobilières en 2010, contre un quart en 2004. Et le repli concerne à la fois le compte-titres ordinaire et le Plan d'Épargne en Actions (PEA), qui recule pour la première fois depuis sa création en 1992.
Huseyin Erkan, directeur général de la Bourse d’Istanbul et coordonnateur de l’Organization of the Islamic Conference (OIC), a annoncé que les 57 pays membres de l’organisation ont demandé à Standard & Poor’s de développer un indice d’actions conforme à la charia, rapporte la Frankfurter Allgemeine Zeitung. Cet indice comprendra 50 valeurs très liquides et pourra servir de sous-jacent à des ETF. Le nouvel indice sera disponible au premier trimestre 2011 et il exclura les sociétés liées à l’alcool, aux jeux de hasard ou au tabac.
Avec le Global Financial Stress Index (GFSI), Bank of America Merrill Lynch a lancé le 29 novembre un instrument de mesure du risque exhaustif, transmarchés, qui intègre les flux de demandes et d’investissements. Cet indice doit permettre aux investisseurs d’identifier les risques de marché plus tôt et avec davantage de précision que les indicateurs de risque communément utilisés comme le VIX.La rétropolation du GFSI jusqu'à 2000 montre que de fortes hausses de l’indie sur de courtes périodes auraient permis de prévoir avoir un degré elevé de précision les périodes de bradage des actifs, notamment les actions internationales, les matières premières et les obligations américaines à haut rendement. Les composantes du GFSI illustrent les différences de risques de marché, de solvabilité, de liquidité et de perte extrême qui sont valorisées chaque jour dans les prix de marché.Actuellement, le GFSI se situe à 0,26, ce qui indique un stress de marché marginalement élevé.
La société de services en immobilier durable Aliuta a annoncé, jeudi 25 novembre, la nomination de Corinne Bourbon au poste de directeur général délégué.Aux côtés d’Emmanuel Sauvage, l’intéressée doit participer à la mise en place de l’offre de la société et à sa gestion, notamment en ayant la charge des relations avec les clients investisseurs et propriétaires, précise un communiqué.Agée de 43 ans, Corinne Bourbon se trouvait de 2006 à 2009 à la direction de la SIIC de Paris.
La Bourse de Malaisie prévoit de lancer un indice ESG (environnement, social et gouvernance) pour attirer les fonds socialement responsables, rapporte le site de Responsible Investor.
La gamme d’indices de stratégies de NYSE Euronext s’est enrichie de six nouvelles références, des indices assis sur le CAC 40, annonce le 24 novembre l’entreprise de marché. Il s’agit des indices CAC 40® X3 Leverage NR, CAC 40® X4 Leverage NR, CAC 40® X5 Leverage NR, CAC 40® X3 Short GR, CAC 40® X4 Short GR et CAC 40® X5 Short GR.Les nouveaux indices Leverage mesurent la performance d’une stratégie qui consiste à amplifier de 3 à 5 fois l’exposition à l’indice CAC 40 par le biais d’un financement à court terme tandis que les nouveaux indices Short mesurent la performance d’une stratégie qui consiste à inverser de 3 à 5 fois l’exposition à l’indice CAC 40, associée à une exposition sur un instrument monétaire sans risque.NYSE Euronext précise que, depuis son lancement en décembre 2007, la famille d’indices de stratégies, comprenant vingt-quatre indices et 12 stratégies, a été utilisée comme sous-jacent de cinq ETF et d’une gamme de certificats émise par Société Générale à compter du 24 novembre.
Le Conseil de Bourse de la Bourse de Francfort a décidé le 24 novembre que la suppression du marché à la criée interviendra le 23 mai. Toutefois le parquet ne sera pas déserté, puisque cette grande salle continuera d'être animée par la présence des représentants des teneurs de marché sur la plate-forme électronique de négociation Xetra.
Dans une enquête portant sur les attentes des professionnels de la finance en termes de bonus pour l’année 2010, réalisée auprès de 627 d’entre eux en France, FinancialCareers.fr relève que 89 % des sondés s’attendent à recevoir un bonus et près de la moitié (48%) pense qu’il sera plus élevé que celui de l’an dernier. C’est très légèrement plus que le nombre de professionnels tablant sur une augmentation de bonus cette année en Allemagne (47%) mais moins qu’aux Etats-Unis (50%) et surtout au Royaume-Uni (57%). A contrario, 29% des personnes interrogées n’envisagent aucun changement par rapport à l’an passé tandis que 12% redoutent une baisse.Plus en détail, 14% des répondants s’attendent à une augmentation de bonus de plus de 50% par rapport à l’an dernier. Là encore, cette proportion est légèrement supérieure aux résultats obtenus en Allemagne (11%) et inférieure à ceux obtenus en Grande-Bretagne (17%). Pour justifier leur optimisme, les sondés évoquent principalement leurs performances personnelles (32%) et celles de l’entreprise (22%). Par ailleurs, au cours des 12 derniers mois, plus de la moitié (56%) des professionnels de la finance interrogés ont vu leur salaire fixe évoluer, 55% d’entre eux ayant bénéficié d’une hausse inférieure ou égale à 10%, précise l’enquête. Enfin, à propos du durcissement en Europe des règles liées au versement des bonus, un peu plus d’un tiers (34%) des sondés en France pensent que ce renforcement peut conduire à la délocalisation de certaines activités bancaires vers des pays où la réglementation est plus clémente (Suisse, Dubaï aux Emirats Arabes Unis ou les Etats-Unis, par exemple). En cas de renforcement de ces règles, près de la moitié (48%) des personnes interrogées serait disposée à partir travailler à l’étranger. A New York (26%), Genève (24%) et Hong Kong (17%) pour l’essentiel. A noter que 22% des répondants seraient prêts à postuler auprès de sociétés financières non réglementées (les hedge funds, par exemple).
La fragmentation a augmenté au mois d’octobre, avec des volumes plus élevés sur les MTF, atteignant 26,7% des flux européens, selon les «Market Indicators October 2010" de Crédit Agricole Cheuvreux.La part de marché de Chi-X s’est accrue sur tous les marchés durant le mois sous revue. Sur le FTSE 100, les gagnants du mois d’octobre ont été BATS avec une part de marché de 11,6% (+2,1%), devant Chi-X avec une part de 26,6% (+1,3%).
D’après les indicateurs de marché d’octobre, établis par Crédit Agricole Cheuvreux conjointement avec TAG, la fragmentation a gagné du terrain en octobre. Les volumes ont baissé de 5% par rapport à septembre. Malgré une légère amélioration des indices, les marchés primaires ont enregistré une baisse inattendue de la transaction moyenne sur titre, alors que les MTF ont progressé, précise un communiqué publié mardi 23 novembre. En chiffres, la fragmentation a augmenté, avec des volumes plus élevés sur les MTF, atteignant 26.7% des flux européens ce mois-ci. En outre, les volumes des dark pools ont atteint 18.2 milliards sur le mois. A noter, toujours selon Crédit Agricole Cheuvreux, que les deux problèmes techniques observés en octobre ont «remis en question la qualité du service fourni par les marchés primaires, qui devrait être en théorie supérieure à celle des autres pools, ceux-ci étant en grande partie responsables du processus de formation des prix.»
Le 23 novembre, Stoxx Ltd a annoncé que l’actualisation trimestrielle de la composition de huit de ses indices principaux se répercutera sur ces produits à compter de l’ouverture des marchés le 20 décembre. Les indices concernés par les modifications sont les indices STOXX Global 1800 Index, STOXX Europe Total Market Index, STOXX Europe 600 Index, STOXX Americas 600 Index, STOXX Asia/Pacific 600 Index, STOXX EU Enlarged Total Market Index, STOXX Eastern Europe Total Market Index, STOXX Eastern Europe 300 Index ainsi que leurs sous-indices et indices sectoriels. L’actualisation a aussi concerné le STOXX Europe Football Index et le STOXX Europe Private Equity 20 Index, mais la composition de ces derniers ne sera pas modifiée.En ce qui concerne l’indice STOXX Europe 600, il accueillera le suédois JM, le néerlandais Eurocommercial Properties et le britannique Great Portland Estates. En revanche, les valeurs suivantes en seront radiées : Soco International (R-U), Petroplus (Suisse) et De La Rue (R-U).La capitalisation sur la base du flottant au 29 octobre demeure inchangée pour le Stoxx Europe 600 et le Stoxx Europe Total Market à respectivement 5.260 milliards et 5.590 milliards d’euros. Le communiqué complet se trouve à l’adresse : http://www.stoxx.com/download/news/2010/stoxxnews_20101123.pdf
Le 23 novembre, la Deutsche Börse a annoncé qu'à compter de début 2011, les obligations seront aussi admises à la négociation sur son segment Entry Standard, ce qui devrait principalement faciliter l’accès au financement pour les PME.L’avantage de cette formule, souligne Frank Gerstenschläger, membre du directoire de la Deutsche Börse et responsable de la plate-forme électronique de négociation Xetra, tient au fait que les exigences en matière de transparence seront satisfaites grâce à un prospectus bénéficiant de l’agrément d’une autorité de régulation nationale et que les entreprises jouiront d’une notation attribuée par une agence reconnue.Les transactions sur ces obligations utiliseront l’infrastructure éprouvée de la Bourse de Francfort.