Les prix à la production se sont contractés en décembre pour la première fois en près d’un an et demi aux Etats-Unis, dans un contexte de baisse des coûts des services. Le département du Travail a annoncé hier que son indice des prix à la production (PPI) avait reculé de 0,1% le mois dernier, une première depuis août 2016 après deux mois consécutifs de progression à 0,4%. Sur un an, l’indice PPI a augmenté de 2,6% en décembre après une accélération à 3,1% le mois précédent. Les économistes s’attendaient à des hausses de 0,2% sur un mois et de 3,0% sur un an en décembre. Cet indice PPI a pris 2,6% sur l’ensemble de 2017 après 1,7% en 2016.
Fitch a de nouveau averti hier les Etats-Unis qu’ils pourraient perdre leur note souveraine «triple A» si le plafond de la dette publique n’est pas de nouveau relevé dans les prochains mois. Selon les dernières prévisions du Congressional Budget Office (CBO), un organe non-partisan du Congrès, le Trésor américain aura atteint ce plafond d’ici fin mars ou début avril, ce qui l’empêchera de souscrire de nouveaux emprunts et le privera de liquidités si la Chambre des représentants et le Sénat n’ont pas voté dans l’intervalle un texte relevant le plafond de la dette fédérale. Les Etats-Unis doivent par ailleurs approuver un budget fédéral d’ici le 19 janvier, faute de quoi les services publics fédéraux devront fermer («shutdown»).
Fitch a de nouveau averti mercredi les Etats-Unis qu’ils pourraient perdre leur note souveraine «triple A» si le plafond de la dette publique n’est pas de nouveau relevé dans les prochains mois. Selon les dernières prévisions du Congressional Budget Office (CBO), un organe non-partisan du Congrès, le Trésor américain aura atteint ce plafond d’ici fin mars ou début avril, ce qui l’empêchera de souscrire de nouveaux emprunts et le privera de liquidités si la Chambre des représentants et le Sénat n’ont pas voté dans l’intervalle un texte relevant le plafond de la dette fédérale.
Le moral des dirigeants de petites entreprises aux Etats-Unis a baissé en décembre par rapport à novembre, d’après l’indice publié hier par la Fédération nationale des petites sociétés indépendantes (NFIB). L’année 2017 n’en demeure pas moins «la plus robuste» jamais vue, pour la NFIB, avec un indice moyen de 104,8. L’indice est ressorti à 104,9 en décembre, contre 107,5 le mois précédent. Les petites entreprises souffrent d’une pénurie de main-d’œuvre. «Nous sommes en butte à un manque urgent de travailleurs qualifiés et cela engendre un véritable coût», a souligné Bill Dunkelberg, économiste en chef de la NFIB.
Le moral des dirigeants de petites entreprises aux Etats-Unis a baissé en décembre par rapport à novembre, d’après l’indice publié mardi par la Fédération nationale des petites sociétés indépendantes (NFIB). L’année 2017 n’en demeure pas moins «la plus robuste» jamais vue, pour la NFIB. L’indice est ressorti à 104,9 en décembre, contre 107,5 le mois précédent. Sur les dix composantes de cet indice, cinq se sont inscrites en baisse, deux ont progressé et trois ont stagné. Celles relatives à l’amélioration des perspectives d’activité et à l'évolution des stocks ont diminué, alors que la composante relative aux ventes a augmenté.
Le crédit à la consommation aux Etats-Unis a connu un bond record depuis 16 ans en novembre, d’après les données publiées hier par la Réserve fédérale (Fed). L’encours a bondi de 28 milliards de dollars en novembre, pour atteindre 3.830 milliards de dollars en rythme annuel, correspondant à un taux de croissance annuelle de 8,8%. Les économistes s’attendaient à une hausse de seulement 18 milliards sur la période.
Les chiffres de l’emploi publiés en début d’après-midi par le département du Travail ont révélé que l'économie américaine avait créé 228.000 postes supplémentaires au cours du mois de novembre, après 244.000 le mois précédent et seulement 200.000 anticipés par le consensus Reuters. Dans le même temps, le taux de chômage est resté à un plus bas de 17 ans à 4,1%, ce qui n’a pas empêché les Etats-Unis d’enregistrer 174.000 créations d’emplois par mois en moyenne cette année, après 187.000 en 2016.
Le dollar et le taux à 10 ans ont à peine récupéré des pertes subies vendredi après le «Flynn effect», malgré le vote du texte de loi au Sénat ce week-end.
Les dépenses de consommation ont ralenti en octobre aux Etats-Unis, le coup de fouet donné aux achats de remplacement par les ouragans, en particulier dans l’automobile, tendant à s’effacer, tandis que les pressions exercées par les prix se sont accrues pour le deuxième mois d’affilée, augurant peut-être de la fin d’une récente tendance désinflationniste. Le département du Commerce a annoncé jeudi que ces dépenses ont augmenté de 0,3% le mois dernier après une avancée de 0,9% en septembre (+1,0% en première estimation), la plus marquée depuis août 2009. L’indice PCE des prix de détail hors alimentation et énergie, mesure de l’inflation privilégiée par la Réserve fédérale, a augmenté de 0,2% en octobre comme en septembre, et de 1,4% sur 12 mois à fin octobre comme à fin septembre.
Les dépenses de consommation ont ralenti en octobre aux Etats-Unis, le coup de fouet donné aux achats de remplacement par les ouragans, en particulier dans l’automobile, tendant à s’effacer, tandis que les pressions exercées par les prix se sont accrues pour le deuxième mois d’affilée, augurant peut-être de la fin d’une récente tendance désinflationniste. Le département du Commerce a annoncé jeudi que ces dépenses ont augmenté de 0,3% le mois dernier après une avancée de 0,9% en septembre (+1,0% en première estimation), la plus marquée depuis août 2009.
Le produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis a progressé de 3,3% en rythme annualisé sur la période juillet-septembre, a annoncé hier le département du Commerce dans sa deuxième estimation. Il s’agit du rythme le plus fort depuis le troisième trimestre 2014 et d’une accélération par rapport au taux de 3,1% enregistré sur les trois mois précédents. La première estimation de la croissance au troisième trimestre avait donné un rythme annualisé de 3,0%.
Le produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis a progressé de 3,3% en rythme annualisé sur la période juillet-septembre, a annoncé mercredi le département du Commerce dans sa deuxième estimation. Il s’agit du rythme le plus fort depuis le troisième trimestre 2014 et d’une accélération par rapport au taux de 3,1% enregistré sur les trois mois précédents. La première estimation de la croissance au troisième trimestre avait donné un rythme annualisé de 3,0%.
La réforme fiscale américaine doperait momentanément la croissance des Etats-Unis. La faiblesse de l'investissement pèsera ensuite sur la croissance des deux côtés de l'Atlantique.
Les ventes de logements neufs aux Etats-Unis ont augmenté de manière inattendue en octobre pour atteindre un plus haut de 10 ans en raison d’une demande robuste dans l’ensemble du pays. Le département du Commerce a annoncé hier une progression de 6,2% des ventes de logements neufs le mois dernier au rythme annualisé de 685.000 unités. La statistique de septembre a été révisée en baisse à 645.000 unités, contre 667.000 en première estimation. Les économistes s’attendaient pour le mois dernier à une contraction de 6% à 625.000 unités.
Les ventes de logements neufs aux Etats-Unis ont augmenté de manière inattendue en octobre pour atteindre un plus haut de 10 ans en raison d’une demande robuste dans l’ensemble du pays. Le département du Commerce a annoncé lundi que les ventes de logements neufs avaient progressé de 6,2% le mois dernier au rythme annualisé de 685.000 unités. Il s’agit d’un pic depuis octobre 2007. La statistique de septembre a été révisée en légère baisse à 645.000 unités, contre 667.000 en première estimation.