Essling Capital a annoncé jeudi avoir bouclé le deuxième millésime de son fonds de co-investissements minoritaires, baptisé Essling Co-invest 2. Ce fonds dépasse les 115 millions d’euros. Près de 40% des engagements ont déjà été appelés pour financer trois investissements, dont la société Crouzet aux côtés de LBO France. «Tout comme son aîné, ce nouveau fonds se distingue de ses concurrents par une période d’investissement très courte de 12 mois, permettant de réduire la durée de vie des fonds à cinq ou six ans», explique un communiqué. Issu en 2017 de Massena Partners, Essling déploie des tickets de 10 à 30 millions d’euros.
Turenne Capital a présenté jeudi le bilan de son année 2017, marquée par une collecte nette de 80 millions d’euros qui porte les actifs sous gestion du spécialiste du capital-investissement à plus de 930 millions. Turenne Capital a par ailleurs indiqué avoir réalisé sur l’exercice 107 millions d’euros d’investissements, contre 60 millions en 2016. Au niveau des sorties, le groupe a réalisé 96 millions d’euros de cessions, contre 72 millions en 2016.
Essling Capital a annoncé ce jeudi avoir bouclé le deuxième millésime de son programme de co-investissements, baptisé Essling Co-invest 2. Un an après le closing du premier véhicule, dont le processus d’investissement a été finalisé en septembre, ce nouveau fonds dépasse finalement les 115 millions d’euros. Près de 40% des engagements ont déjà été appelés pour financer trois opérations, dont un investissement dans la société Crouzet aux côtés de LBO France.
Ardian a annoncé jeudi l’ouverture d’un bureau à Tokyo, qui permettra de consolider la croissance de la société d’investissement sur l’ensemble de la région Asie-Pacifique. Le bureau japonais sera dirigé par Kanji Takenaka, qui rejoint Ardian en tant que managing director et responsable d’Ardian Japan. Ce dernier a occupé divers postes à responsabilité au cours de sa carrière, au sein de Simplex Real Estate, Fortress Investment Group, Norinchukin Bank et, plus récemment, chez HarbourVest Partners.
BlackRock envisage de lever un fonds de ce montant pour investir en capital-investissement, d’après Bloomberg. Le numéro un mondial de la gestion d’actifs viserait des investissements de long terme pour des montants de 500 millions à 2 milliards de dollars, sous forme de participations minoritaires dans des groupes familiaux. La levée de fonds est prévue d’ici à fin juin prochain.
Le ministère des Finances a soumis à consultation l’entrée en vigueur l'an prochain de la directive ATAD, qui limite à 30% de l’Ebitda la déductibilité des intérêts d’emprunt.
Le ministre de l’économie et des finances a présenté hier un projet de loi ratifiant l’ordonnance du 27 novembre 2017 relative à la création d’un régime de résolution pour le secteur de l’assurance. « Ce dispositif permettra au collège de résolution de l’autorité de contrôle prudentiel et de résolution de disposer de pouvoirs rapides et accrus auprès des assureurs en difficulté, de manière à limiter les conséquences négatives pour les assurés d’une défaillance de ces organismes, tout en sauvegardant la stabilité financière, les fonctions critiques à l’économie et les finances publiques », explique Bercy dans son communiqué.
Le Comité du risque systémique recommande un rôle de supervision renforcé pour l’Esma et une généralisation des outils alternatifs de gestion de la liquidité.
Chequers va prochainement céder la société d’aménagement d’espaces verts ID Verde (ex-ISS Espaces Verts) au belge Core Equity, révèle Capital Finance. «Le mandat sell-side confié à Lazard a été court-circuité par une préemptive du gérant belge – formé en 2015 par quatre anciens de Bain Capital, écrit le site internet. Pour faire mouche, Core Equity aurait accepté de valoriser le leader tricolore de l’aménagement et de l’entretien paysager près de 300 millions d’euros». En 2014, Chequers avait valorisé l’ex-ISS Espace Verts 130 millions d’euros lors de son entrée au capital. ID Verde emploie actuellement 4 500 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de 430 millions d’euros.
ICMI, la holding de Jean-Michel Aulas actionnaire de l’OL et de Cegid, se rebaptise Holnest. Ce «changement de nom répond à notre volonté forte d’accélérer notre activité d’investissement et d’accompagnement auprès des start-up», a expliqué dans un entretien au Progrès le fils du fondateur, Alexandre Aulas, adoubé à la direction générale. Holnest possède déjà des parts dans des sociétés comme ABM Pharma ou Wyz Group. Elle prépare «une opération très innovante en liaison avec d’autres familles d’entrepreneurs autour d’infrastructures pour l’aviation» aux Etats-Unis.
ICMI, la holding de Jean-Michel Aulas, actionnaire de l’OL et de 3% de Cegid, se rebaptise Holnest. Ce «changement de nom répond à notre volonté forte d’accélérer notre activité d’investissement et d’accompagnement auprès des start-up», a expliqué dans un entretien au Progrès le fils du fondateur, Alexandre Aulas, adoubé par son père à la direction générale.
A l’occasion de la transmission majoritaire du cabinet de conseil informatique Apside, Siparex dirige un tour de table majoritaire proche de 50 millions d’euros via son fonds ETI 4, annonce la société de private equity. Siparex apporte environ 30 milions d’euros, accompagné d’investisseurs minoritaires du Crédit Agricole fédérés par Socadif (IDIA Capital Investissement, Nord Capital Investissement, Unexo, GSO Capital, Sofipaca et Sofilaro), qui investissent 18 millions d’euros. Ce LMBO implique aussi une centaine de cadres d’Apside. Apside affiche 170 millions d’euros de chiffre d’affaires consolidé, avec plus de 2.400 collaborateurs dont près de 2.000 consultants.
NiXEN Partners a confirmé l’arrêt de la levée de son fonds NiXEN 3 faute d’engagement suffisants. La société de private equity s'était fixé un objectif de 250 millions d’euros en 2015, puis l’avait réduit à 175 millions. Le soutien d’Axa et du Fonds européen d’investissement n’a pas suffi. L'équipe, sortie du giron de Natixis PE en 2010, a donc décidé d’investir au cas par cas de 10 à 20 millions par opération. NiXEN «n’exclut pas une collaboration, voire un rapprochement capitalistique avec une autre équipe – ou une plate-forme multi-métier dont elle aurait vocation à piloter une stratégie de LBO majoritaire», indique Capital Finance.
A l’occasion de la transmission majoritaire du cabinet de conseil informatique Apside, Siparex dirige un tour de table majoritaire proche de 50 millions d’euros via son fonds ETI 4, annonce la société de private equity dans un communiqué. Siparex apporte environ 30 milions d’euros, accompagné d’investisseurs minoritaires du Crédit Agricole fédérés par Socadif (IDIA Capital Investissement, Nord Capital Investissement, Unexo, GSO Capital, Sofipaca et Sofilaro) qui investissent 18 millions d’euros. Ce LMBO implique aussi une centaine de cadres d’Apside. Il «s’inscrit dans la continuité de la transmission opérationnelle opérée depuis plusieurs années par son fondateur Michel Klar qui reste présent au capital, à ses managers emmenés par Pierre Gauthier, futur président du directoire du groupe».
NiXEN Partners a confirmé l’arrêt de la levée de son fonds NiXEN 3 faute d’engagement suffisants, indiquait vendredi soir Capital Finance, reprenant une information initialement révélée par CfNews. La société de private equity s'était fixé un objectif de 250 millions d’euros en 2015, puis l’avait abaissé à 175 millions d’euros. Parmi les investisseurs prêts à accompagner NiXEN dans sa nouvelle levée de fonds figuraient Axa et le Fonds européen d’investissement, mais les engagements n'étaient pas suffisants pour procéder à un closing. L'équipe sortie du giron de de Natixis Private Equity en 2010 a donc décidé de se convertir au « deal-by-deal », en continuant à investir de 10 à 20 millions d’euros par prise de participation. «La structure n’exclut pas une collaboration voire un rapprochement capitalistique avec une autre équipe – ou une plateforme multi-métier dont elle aurait vocation à piloter une stratégie de LBO majoritaire», indique aussi Capital Finance.
Le Premier ministre Edouard Philippe poursuivra ce week-end, lors d’une visite de deux jours aux Emirats arabes unis, l’offensive diplomatique «France is back» dans cet Etat fédéral du Golfe perçu comme un tremplin économique et une source d’investissements par Paris.
Winch Capital 3, fonds géré par Edmond de Rothschild Investment Partners («EdRIP»), a annoncé hier la cession partielle de sa participation dans le courtier d’assurances affinitaires SFAM, à l’occasion de l’arrivée au capital de cette entreprise du groupe de private equity Ardian dévoilée mardi. Winch Capital 3, entré au capital de SFAM en janvier 2016, conservera une participation minoritaire aux côtés d’Ardian et du président fondateur de SFAM, Sadri Fegaier.