En charge du suivi des technologies appliquées au monde bancaire, Alexandra s’est plongée avec enthousiasme dans le monde des fintechs, ces start-up qui sont en train de transformer profondément les métiers de la finance pour les rendre plus accessibles, plus utiles et plus inclusifs. A commencer par les paiements qui sont en pleine effervescence depuis plus d’une décennie. Auparavant, Alexandra a passé plusieurs années dans quelques titres de presse professionnelle : L’Argus de l’assurance, Banque & Informatique et Le Moniteur des Pharmacies.
Le portefeuille électronique européen est disponible outre-Rhin pour les clients des caisses d’épargne et des banques populaires. Il arrive en Belgique fin juillet et en France à la rentrée.
Fondée par quatre banques luxembourgeoises au moment de la directive sur les services de paiements, la plateforme poursuit le développement de nouvelles offres pour faciliter l'appropriation de l’open finance.
Réélu à la tête du GIE, Philippe Laulanie a profité de la journée co-organisée avec les fédérations de commerçants pour démontrer un regain de dynamisme.
Ryad Boulanouar est de retour avec Mon Ami Poto, une monnaie numérique dédiée à la traçabilité des dons aux associations. Un pas vers un meilleur emploi des 5 milliards d’euros donnés par les Français.
Une juge fédérale a refusé de valider l’accord historique trouvé en mars pour mettre fin à vingt ans de litige, considérant cet arrangement comme déséquilibré au détriment des marchands.
Habituées à vendre une trajectoire de croissance aux investisseurs, les fintechs à la recherche d’argent frais ont dû revoir leurs arguments avec le retournement des taux. Exemples avec Defacto et Greenly.
La start-up belge, qui propose aux PME une plateforme de connectivité pour faciliter l’intégration entre divers logiciels, veut ainsi prendre une envergure européenne.
Le premier semestre 2024 de L’Observatoire de la Fintech montre un point bas pour le financement mais quelques signaux positifs, surtout pour les métiers du B2B.
Incontournable dans la lutte contre la fraude aux paiements, l’ex-ISoft continue de gagner du terrain en France et à l’international en facilitant la mise en production des outils d’intelligence artificielle.
Les avancées de l'ordinateur quantique et la sécurité dans les paiements ne font pas bon ménage. Cependant, des algorithmes permettant de contrer cette technologie sont déjà en cours de développement. L'identité numérique, pour laquelle la France est en retard, constitue un autre point à surveiller car il reste difficile de répondre à tous les standards européens sans dégrader le parcours client.