Schroders a recruté Rob Hall de Russell Investments pour travailler au sein de l’équipe multi classes d’actifs du groupe en tant que responsable de la sélection de gérants, rapporte Citywire.
Schroders vient de renforcer son équipe de sélection de gérants dans son activité FUM Mutli-Asset (31,5 milliards de livres) en nommant Rob Hall en tant que responsable de la sélection de gérants, un poste nouvellement créé. Il vient de Russell Investments et affiche 20 ans d’expérience dans la recherche et la sélection de gérants. Cette nomination fait suite à celle de Nicolaas Marais, qui a rejoint Schroders cette semaine en tant que responsable des investissements multi-assets et des solutions de portefeuilles. L’intéressé vient de la cellule Multi-Asset Client Solutions Group de BlackRock où il était responsable global de la gestion active de portefeuilles.
Le fonds de pension des salariés de la distribution aux Pays-Bas, Stichting Bedrijfstakpensioenfonds voor de Detailhandel, dont le taux de couverture à fin janvier était de 98,3 % (contre 96,6 % fin décembre), a annoncé avoir sélectionné Kas Bank pour la conservation et l’administration de la totalité de ses encours, soit quelque 8-9 milliards d’euros. En outre, Kas Bank prendra en charge la surveillance du risque ainsi que l’information du board et du comité d’investissement du fonds.
Après les deux ans qu’il a passés comme CIO chez Limus Capital Partners, Steen Jakobsen revient le 17 mars chez Saxo Bank comme chef économiste.David Karsbol, qui a été chef économiste durant ces deux ans, rejoint l'équipe bancaire du senior vice president Christian Kofoed Jakobsen. Il sera responsable du développement de produits dans les domaines des retraites et de l’investissement.
Selon Hedgeweek, Pinebridge Investments a annoncé la nomination d’Arthur Lau en qualité de responsable des activités obligataires asiatiques hors Japon. Basé à Hong Kong, Arthur Lau sera membre de l'équipe marchés émergents et obligataire international. Son équipe comprendra huit personnes. Arthur Lau travaillait précédemment chez JP Morgan AM en tant que gérant de portefeuille senior et responsable du pôle «Asian Credits».
La gamme de huit newcits de Threadneedle s’allonge avec le fonds luxembourgeois de petites capitalisations European Smaller Companies Absolute Alpha Fund (lire notre article du 4 mars) géré par Philip Dicken (également gérant du Threadneedle Pan European Small Companies Fund, LU0282719219), et qui reproduit dans un cadre OPCVM III le stratégie du Threadneedle European Smaller Companies Crescendo Fund (ISIN: KYG8848E2346) qui a été fermé au profit du nouveau produitCe produit de performance absolue aura typiquement entre 50 et 100 lignes longues et courtes, l’objectif étant non seulement une performance absolue mais un rendement de 8-10 % annualisés sur un horizon de 18-24 mois.CaractéristiquesDénomination : Threadneedle European Smaller Companies Absolute Alpha Fund Code Isin : LU0570870567Commission de gestion : 1,5 % (parts retail) / 0,75 % (parts institutionnelles)Commission de performance : 20 % de la surperformance par rapport au taux butoir (Libor 3 mois)Disponible en euros, livres sterling couvertes, dollars couverts, francs suisses couverts
L’Autorité de surveillance financière BaFin a donné son agrément de commercialisation en Allemagne de la totalité de la gamme de fonds coordonnés du suisse GAM, ce qui ouvre le marché à trois fonds supplémentaires de droit irlandais GAM Star.Ce sont des fonds d’actions thématiques libellés en dollars et axés sur les technologies (GAM Star Technology, IE00B5THWW23, lancé le 1er février 2011), le développement durable (GAM Star Geo, IE00B5THWW23, lancé le 29 décembre 2010) et l’inflation (GAM Star Global Equity Inflation Focus, IE00B4M7MR78, lancé le 19 janvier 2011). Les gérants sont respectivement Mark Hawtin, Paul Udall et Manning & Napier Advisors.Dans les trois cas, la souscription minimale est fixée à 10.000 dollars ou leur contre-valeur en devises. Le droit d’entrée est de 5 % et la commission de gestion de 1,5 %.
Le conseil de surveillance de la Deutsche Bank a annoncé le 11 mars qu’il proposera à l’assemblée générale du 26 mai l'élection de Katherine Garrett-Cox comme membre de ce conseil, en remplacement de Sir Peter Job, dont le mandat arrive à échéance.L’impétrante est depuis 2008 CEO d’Allianz Trust plc, la plus grande société de gestion cotée au Royaume-Uni, après en avoir été le CIO depuis 2007. Elle avait précédemment été CIO et executive director chez Morley Fund Management (groupe Aviva).
En 2010, Banca Fideuram a enregistré des souscriptions nettes de 1,9 milliard d’euros, contre 2,8 milliards d’euros en 2009. Pour la seule gestion d’actifs, la collecte nette s’est établie à 4,2 milliards contre 2,9 milliards un an plus tôt. Les encours sous gestion ont ainsi augmenté à 71,6 milliards d’euros, en hausse de 5,6 % par rapport au 31 décembre 2009. La banque du groupe Intesa Sanpaolo a dégagé sur 2010 un bénéfice net de 211,6 millions d’euros, en hausse de 27 % sur 2009.
Le fonds de la sécurité sociale chinois (NCSSF ou National Council for Social Security Fund) envisage de revoir à la hausse son exposition à l’international de 7% à 20% de son portefeuille, rapporte Asian Investor. Les actifs sous gestion du fonds devraient s'élever à 1.000 milliards de RMB (soit quelque 152 milliards de dollars) d’ici à la fin de l’année et à 1.500 milliards de RMB d’ici à 2015. Les actifs sous gestion s’inscrivent actuellement à 850 milliards de RMB, dont une poche obligataire de 45%, une poche actions de 30% et une poche de 25% de private equity.Outre ce développement à l’international, le fonds se propose également d’augmenter son exposition à l’immobilier et au private equity chinois. Le fonds travaille également à l’amélioration des rendements des produits obligataires. Le fonds utilise 22 firmes étrangères pour la gestion de ses fonds. La liste comprend notamment Alliance Bernstein, Allianz, Axa Rosenberg, BlackRock, Invesco, Janus Intech, Pimco, State Street Global Advisors, T Rowe Price et UBS/CICC. Barings et Schroders sont en charge des investissements dans les valeurs chinoises cotées à l'étranger; JF Asset Management, Martin Currie et Principal s’occupent des actions asiatiques hors Japon; Batterymarch, Morgan Stanley IM et Schroders ont la responsabilité des actions émergentes tandis que Fidelity, Newton, Prudential et Wellington s’occupent des actions internationales. En décembre 2010, le fonds a par ailleurs fait appel à sept sociétés de gestion et à une maison de titres pour gérer ses investissements locaux : China Universal, Dacheng, Fullgoal, Guangfa, Haitong Fortis, ICBC Credit Suisse, Yinhua et Citic Securities. Dix-huit sociétés gèrent désormais les actifs chinois du fonds qui ne prévoit pas de nouvelle nomination dans ce domaine cette année.
La municipalité de Pékin a passé un accord avec une société européenne de capital investissement, A Capital Asia, pour créer le premier fonds chinois en devises locales qui investira à l’étranger, afin de soutenir les projets d’internationalisation des sociétés chinoises, rapporte le Financial Times. Le fonds espère lever 3 milliards de renminbi et s’associer avec des sociétés chinoises investissant dans les technologies, les canaux de distribution et les marques, notamment en Europe.
Tous les ans depuis 2005, le Forum Gestion Institutionnelle est le grand rendez-vous de la communauté des gérants et investisseurs institutionnels. Cet événement, qui permet aux investisseurs de rencontrer les sociétés de gestion et les associations professionnelles actives en France, se tient cette semaine les 16 et 17 mars au Palais des Congrès à Paris. Cette année, les exposants seront au nombre de 81, soit le même nombre qu’en 2008, qui avait été une année record pour les organisateurs. Cinquante-deux sociétés de gestion seront présentes cette année parmi lesquelles un certain nombre ne figurait pas parmi les exposants de l'édition 2010. Des grandes maisons, comme Generali Investments, Schroders, Aberdeen Asset Management, ou Groupama Asset Management, viendront à nouveau à la rencontre des institutionnels, tandis que des sociétés de gestion comme DNCA Finance, une des boutiques françaises les plus appréciées des conseillers en gestion de patrimoine, y feront leur première apparition. «Sur les 5,3 milliards d’euros gérés par DNCA Finance, seuls 20 % le sont pour le compte d’investisseurs institutionnels», explique Isabelle Renault, la directrice Investisseurs Institutionnels de DNCA. L’intéressée, qui a rejoint la société en 2010 pour développer cette clientèle, compte sur le Forum GI pour mieux se faire connaître des institutionnels et promouvoir le savoir-faire de la maison.A noter que l'établissement de la rue de la Paix ne sera pas le seul à faire de ce Forum GI une première. Banque Degroof ou une petite structure telle que Hugau Gestion par exemple seront également dans ce cas. «Nous nous sommes bien développés auprès des institutionnels français parisiens, précise Eric Le Maire, directeur général de la société de gestion née il y a cinq ans. «Et aujourd’hui, nous aimerions élargir notre clientèle à d’autres institutionnels de France». Être présent au Forum GI permet également d’asseoir une réputation. «Participer à un grand événement de ce type nous permet de montrer une image active auprès de notre clientèle existante et d’expliquer notre gestion, que nous pensons adaptée aux besoins des institutionnels français, et à ceux que nous ne connaissons pas encore», souligne Eric Lemaire.Du côté des institutionnels, l'édition 2010 avait attiré 1.330 visiteurs. Pour l'édition de cette année, Charlotte Rignac, responsable des relations partenaires du forum, note que la tendance des préinscriptions est stable par rapport à l’année dernière, et que l'édition 2011 devrait attirer en priorité les directeurs généraux, les présidents, les actuaires et les multigérants. En pratique, les visiteurs du forum pourront assister à deux conférences plénières, l’une sur le rôle des investisseurs de long terme dans la stabilité des marchés financiers et l’autre sur la dynamique de place et l’innovation au service de l’investissement et de la performance financière. Par ailleurs, 15 différents ateliers abordent des thèmes comme le risque souverain, les règles prudentielles, le marché de la dette souveraine, la gestion diversifiée ou encore l’ISR et le développement durable. Enfin, le Forum GI reconduit cette année une initiative lancée en 2010 : l’Agora Recherche, qui propose des interventions de chercheurs universitaires sur les mécanismes financiers et offre un espace de discussion sur leurs travaux.
Selon l’Agefi, Dahlia Partners, la filiale de Natixis dédiée aux fonds de fonds, voit partir cinq de ses collaborateurs (Mireille Klitting, Jonathan Bayle, Laetitia Beillard, Benoit-Olivier Boureau et Benjamin Breard). L'équipe en question entend «débuter un nouveau projet», a indiqué une source proche du dossier à l’Agefi.
La société de capital investissement A Plus Finance s’apprête à lancer le fonds d’investissement de proximité (FIP) A Plus Mix Capital 11, qui, comme cela a été le cas du fonds A Plus Rendement, est investi majoritairement en obligations convertibles (OC) et en obligations à bon de souscription d’actions (OBSA). «La différence entre les deux produits tient aux contraintes réglementaires imposées par la loi de finances pour 2011", explique Fabrice Imbault, directeur associé en charge du développement. «En clair, le premier était composé jusqu'à 80 % de l’actif en titres obligataires tandis que le nouveau fonds ne pourra y consacrer que 60 %, le solde étant composé d’actions."Pour le responsable de la société de gestion, le choix des obligations convertibles procure plusieurs avantages aux chefs d’entreprise sollicités dans le cadre du FIP. «Une fois passée la phase d’amorçage», confirme Fabrice Imbault, «les entrepreneurs sont moins enclins à ouvrir leur capital. Dès lors que l’entreprise a atteint un stade de développement avancé, une dilution du capital est en effet assimilée à de la perte de valeur.» Autre avantage de l’obligation convertible : le report dans le temps du coût de financement permettant de caler ce dernier en fonction du business plan de l’entreprise. «Que ce soit dans le cadre d’une opération externe, notamment le rachat d’un concurrent, les OC permettent d’obtenir immédiatement des liquidités là où les banques restent toujours très frileuses à financer ce type de développement, ou dans le cadre d’une croissance interne, dont la dynamique est identique», insiste Fabrice Imbault. Concernant le fonds Mix Capital 11, les investissements porteront dans des sociétés implantées dans les régions limitrophes Ile-de-France, Bourgogne, Rhône-Alpes.Parmi les critères retenus, les sociétés sélectionnées seront «des entreprises arrivées à un stade de développement avancé et auront pour caractéristiques un «business model» avec cash flow récurrents, un chiffre d’affaires compris entre 2 et 50 millions d’euros et des résultats bénéficiaires ou en passe de l’être», précise t-on chez A Plus Finance.D’un point de vue sectoriel, Fabrice Imbault avoue ne pas être dogmatique sur le fonds en phase d’investissement... tout en remarquant que l'équipe de gestion s’intéressera particulièrement à des sociétés intervenant dans des secteurs comme les technologies de l’information, l’environnement et le e-business où elle a développé des compétences depuis plusieurs années. Le fonds aura une durée de vie de cinq ans, une période courte mais pas forcément risquée selon Fabrice Imbault, la durée des OC permettant de se caler sur de tels horizons. Concernant les délais d’investissement du fonds, la gestion dispose réglementairement de 16 mois pour atteindre ses ratios (à l’issue de sa période de commercialisation de 8 mois). Bien que cette durée soit jugée courte, elle n’inquiète pas outre mesure l'équipe de gestion qui mise sur un «deal flow» important. «Chaque année, nous recevons environs 700 dossiers pour investir dans une quinzaine d’entre eux», appuie le responsable d’A Plus Finance.A noter enfin qu’A Plus Finance lance actuellement un FCPR composé également de titres obligataires. Trois différences cependant : en n'étant pas soumis aux mêmes contraintes que les FIP, il sera investi à 100 % dans des obligations qui seront également émises par des entreprises dont le chiffre d’affaires pourra excèder 50 millions d’euros. Quant aux montants des investissements par dossiers, ils ne pourront excéder 2,5 millions d’euros par «derby» en moyenne de 2 à 3 millions d’euros pour Mix Capital 11 mais pourront aller jusqu’à 5 millions voire 7 millions d’euros au sein du FCPR. Caractéristiques d’A Plus Mix Capital 11Code ISIN : FR0011006592Droits d’entrée : 5%Frais de gestion annuels : 3.95% Régions : Ile de France, Bourgogne, Rhône-AlpesDurée de vie : 5 ans prorogeable 2 fois un anMinimum de souscription : 1000 eurosRéduction d’ISF : 50% du montant investi
Désormais, avec l’acquisition d’Orsay AM, Oddo Asset Management dispose d’une expertise supplémentaire de performance absolue actions servie par 7 personnes. Concrètement, Oddo AM vient d’entamer le processus d’apprentissage de ses réseaux et de ses clients pour deux produits Orsay venus se greffer sur sa gamme, une stratégie de 200 millions d’euros, dont 120 millions pour le fonds coordonné de droit français Orsay Arbitrages Actions lancé le 16 septembre 2009, 10 millions pour le fonds Orsay Active L/S, et 60 millions d’euros pour un mandat institutionnel.Au final, les fonds, qui ont tous deux Frédéric Staub comme gérant principal, mettent en œuvre la même méthodologie de base, avec un cœur long/short commun (sur le tripode momentum/pair trade/convictions, chaque pôle étant neutre) et un même souci de contrôler le risque. Pour Orsay Arbitrages Actions, le gestionnaire adjoint un volet fusions-acquisitions annoncées dès lors que les opérations en question sont de qualité. Pour le fonds Active L/S, l’exposition nette au marché est de +/- 25 %, tandis que l’autre OPCVM est censé afficher une exposition neutre au marché (+/- 3 %). Il n’y a pas de véritable effet de levier.L’idée commune aux deux fonds consiste à offrir une performance régulière en limitant le «drawdown». Les objectifs de volatilité sont de 5 % pour l’arbitrage de fusions-acquisitions, et de 3-4 % pour le long/short pur, avec des cibles de performance respectives de 4-5 % et de 7-8 %. Le fonds Active L/S serait plutôt destiné à une clientèle privée désireuse de reprendre des risques, mais avec circonspection, tandis que l’Arbitrage Actions, plus défensif, s’adresserait plutôt à des institutionnels souhaitant dynamiser leur trésorerie, mais aussi à Oddo Banque Privée et sa clientèle, ainsi qu’aux CGPI.
Selon les informations de Citywire, Frédéric Motte et Jérôme Archambeaud quittent SPGP et seraient sur le point de créer leur boutique. Les deux gérants pilotent le fonds Focus Europa.
En février, les investisseurs sont revenus sur le monétaire. D’après les statistiques portant sur les fonds de droit français publiées par Europerformance-SIX Telekurs pour le mois de février, l’encours des fonds monétaires euro dans leur ensemble est en hausse de 3,42 milliards d’euros (+1,1 % par rapport au mois de janvier). C’est le monétaire classique qui a attiré le plus de souscriptions nettes (2,96 milliards d’euros), alors que les fonds Trésorerie Dynamique ont perdu 0,49 milliard. Le retour sur le monétaire s’est fait au détriment des autres classes d’actifs, notamment l’obligataire, qui perd dans son ensemble 1,08 milliard d’euros de souscriptions nettes, soit une baisse de 1 % de son encours sur le mois de février. Comme en janvier, les fonds d’obligations haut rendement sont les seuls à avoir enregistré des souscriptions nettes parmi les fonds de la classe d’actifs, en attirant 0,15 milliard d’euros. Ses encours bondissent de 14,5 % sur le mois, profitant il est vrai de l’effet de marché positif (+1,37 %) sur la période. Les fonds investis en actions n’ont pas brillé en termes de souscriptions nettes au mois de février, perdant 0,09 milliard d’euros. Les encours s’affichent néanmoins en hausse de 1,7 % par rapport au mois de janvier, bénéficiant de la performance en hausse de 1,8 %. Les fonds actions Amérique ont enregistré la meilleure performance en février (+2,6 %), faisant grimper les encours de 3,6 % alors qu’ils n’ont attiré que 0,09 % de souscriptions nettes au cours du mois. Même scénario pour les fonds actions françaises, qui ont vu les investisseurs se détourner de ces produits (-0,16 milliard de souscriptions nettes), alors que les performances se sont révélées très bonnes, (+ 2,35 % sur le mois), permettant aux encours de la catégorie de finir le mois de février en hausse de 1,8 %. Les fonds actions européennes ont quant à eux enregistré des souscriptions de 0,16 milliard. Combiné à l’effet de marché du mois de février (+1,93 %), les encours ont pu s’afficher en hausse de 3,4 %.
L'évaluation par Morningstar des pratiques des fonds dans le monde a identifié les Etats-Unis et Singapour comme les meilleurs marchés pour les investisseurs sur la base de critères tels que la protection de l’investisseur, la transparence, les commissions, la fiscalité et la distribution, selon la deuxième étude sur le sujet («Second Global Investor Experience Study»).La Nouvelle-Zélande arrive en queue de peloton mais affiche des signes d’amélioration par rapport à la première étude publiée en mai 2009. La France figure dans le milieu du classement devant l’Allemagne. Ci-dessous les notations accordées aux 22 pays analysés par Morningstar. Singapour: A Allemagne: C+ Etats-Unis: A Japon: C+ Thailande: A- Royaume-Uni: C+ Inde: B Australie: C Pays-Bas: B Belgique: C Suisse: B Hong Kong: C Taiwan: B Italie: C Chine: B- Norvège: C Suède: B- Espagne: C Canada: C+ Afrique du Sud: C- France: C+ Nouvelle-Zélande: D-
A compter de juin, le nouveau CEO de Macquarie Group Ltd pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique sera David Fass, qui exerçait une activité dans la finance d’entreprise depuis qu’il avait quitté en octobre 2009 son poste de head of European global banking chez Deutsche Bank. Il va remplacer Benoît Savoret, qui a quitté ce poste au bout de cinq semaines pour rejoindre Nomura.
Selon Money Fund Report, les actifs sous gestion des fonds monétaires américains ont augmenté de 11 milliards de dollars en une semaine (de 2.715 milliards de dollars à 2.726 milliards), pour un rendement moyen de 0,03 %, indique La Tribune
Filiale luxembourgeoise de banque privée de l’allemand DZ Bank (banques populaires), DZ Privatbank affiche pour 2010 un bénéfice net stable de 70,8 millions d’euros qui correspond à son dividende (contre 71 millions au titre de 2009).L’encours de ses 464 fonds, contre 436 fin 2009, est ressorti à 46 milliards d’euros contre 36 milliards.
En Suisse, BlackRock, DWS, Fidelity, JP Morgan Asset Management et Schroders créent le Fund Experts Forum, qui aura, selon La Tribune, pour objectif d’initier des débats sur la compréhension des grandes évolutions de l’investissement international.
Le gouvernement philippin prévoit de lever quelque 200 milliards de pesos (4,6 milliards de dollars) auprès d’institutions financières publiques locales afin de contribuer au financement de routes, voies ferrées et installations portuaires, a indiqué le secrétaire au plan. «Nous voulons puiser dans le marché domestique et éviter les risques de change», a déclaré Cayetano Paderanga. L’Asian Development Bank conseille le gouvernement sur la création de ce fonds.
Les stocks des entreprises ont augmenté un peu plus que prévu en janvier, pour atteindre 1.453,1 milliards de dollars, selon les chiffres du département du Commerce. Leur hausse a atteint 0,9% contre 0,7% attendu, tandis que les ventes progressaient de 2,0% à 1.177,8 milliards de dollars.
La filiale de Natixis dédiée aux fonds de fonds, voit partir cinq de ses collaborateurs (Mireille Klitting, Jonathan Bayle, Laetitia Beillard, Benoit-Olivier Boureau et Benjamin Breard). Cette équipe entend «débuter un nouveau projet», a indiqué une source proche du dossier à l’Agefi. Outre Dahlia Partners, le groupe BPCE dispose d’une autre activité fonds de fonds avec Masseran Gestion.
Les ventes au détail ont augmenté en février aux Etats-Unis, la hausse des prix du pétrole ayant accentué le chiffre d’affaires des stations-service, selon les données officielles publiées vendredi. Les ventes au détail ont augmenté de 1,0% par rapport à janvier, selon le département du Commerce, conformément aux attentes des économistes interrogés par Reuters. Il s’agit du huitième mois de hausse consécutif.
Selon l’indice Thomson Reuters/Université du Michigan publié vendredi, l’indice de confiance du consommateur américain est ressorti en mars à 68,2 en première estimation contre 77,5 en février, alors que le consensus ne prévoyait qu’un léger recul à 76,5. Il est à son plus bas niveau depuis octobre 2010.