Retrouvez les articles d’actualité et d’analyse portant sur les résultats financiers (comptes trimestriels, semestriels, annuels, journées investisseurs, avertissements sur résultats) publiés par les grandes entreprises françaises et internationales.
Eurofins a relevé ce matin l’ensemble de ses objectifs pour l’exercice 2020 à la suite de bonnes performances commerciales en octobre et novembre. Le groupe d’analyse de produits pharmaceutiques, alimentaires et de l’environnement a expliqué qu’au cours de ces deux derniers mois, ses activités de coeur de métier - hors tests liés au Covid-19 - ont affiché une croissance organique proche de son objectif de 5% par an.
Le leader mondial de la publicité WPP a annoncé ce mardi qu’il allait retraiter ses états financiers de 2017 à 2019, mais que son bénéfice d’exploitation, sa dette et son flux de trésorerie ne seraient pas affectés par ces modifications. Le groupe britannique a déclaré que la présentation de ses états financiers dans le cadre d’une gestion centralisée de la trésorerie («cash pooling notionnel») ne répondait pas aux normes comptables, et que la couverture des investissements nets était appliquée indûment à certains risques de change.
TUI a dévoilé une perte nette de 3,14 milliards d’euros au titre de son exercice clos le 30 septembre 2020, à comparer à un bénéfice de 532 millions réalisé un an plus tôt. Son chiffre d’affaires a chuté de 58% à 7,9 milliards d’euros. Le voyagiste allemand ambitionne désormais de réduire ses coûts à hauteur de 400 millions d’euros par an, contre 300 millions précédemment, afin de rembourser la dette contractée pour survivre à la crise du coronavirus. La semaine dernière, TUI a conclu un accord avec des investisseurs privés, des banques et le gouvernement allemand pour un troisième plan de sauvetage de 1,8 milliard d’euros, venu s’ajouter aux 3 milliards d’euros de prêts d'État déjà accordés.
TUI a dévoilé ce matin une perte nette de 3,14 milliards d’euros au titre de son exercice clos le 30 septembre 2020, à comparer à un bénéfice de 532 millions réalisé un an plus tôt. Son chiffre d’affaires a chuté de 58% à 7,9 milliards d’euros. Le voyagiste allemand ambitionne désormais de réduire ses coûts à hauteur de 400 millions d’euros par an, contre 300 millions précédemment, afin de rembourser la dette contractée pour survivre à la crise du coronavirus. Il précise que les réservations pour l'été prochain sont supérieures de 3% à ce qu’elles étaient à la même époque en 2019 et la moyenne des prix pour l'été 2021 est supérieure de 14% à celle de 2020.
Les PME, qui avaient retrouvé une marge d’exploitation proche de celle de 2008, sont entrées dans la crise en bonne santé. Mais les années qui viennent s'annoncent compliquées.
L’action STMicroelectronics accuse le plus fort repli de l’indice CAC 40 en chutant de 11,2% mercredi, à 30,14 euros, après que le fabricant de semi-conducteurs a abaissé ses objectifs financiers établis pour le moyen terme.
La Société Générale confirme ce matin dans un communiqué la fusion des réseaux bancaires Crédit du Nord et Société Générale pour permettre la constitution «d’un nouvel ensemble au service de près de 10 millions de clients». La banque a également décidé de porter Boursorama à maturité en termes de nombre de clients avec l’ambition d’atteindre 4,5 millions de clients en 2025 et un niveau de rentabilité élevé La fusion du groupe Crédit du Nord et de Société Générale doit conduire à d’importantes synergies de coûts en particulier grâce à l’utilisation d’un système informatique unique d’ici le premier semestre 2023. Elle vise une réduction nette de la base de coûts de plus de 350 millions d’euros en 2024 et d’environ 450 millions d’euros en 2025 par rapport à 2019. Le dispositif des agences passera par ailleurs d’environ 2 100 agences à fin 2020 à environ 1 500 à fin 2025. Société Générale a aussi annoncé récemment la signature de partenariats avec des acteurs majeurs de la gestion d’actifs. Il entend se positionner «comme étant la première des grandes banques françaises à proposer une offre unique de solutions d’épargne et d’investissement en architecture ouverte basée essentiellement sur une large gamme de produits ISR». Le groupe vise pour l’entité combinée: une rentabilité des fonds propres normatifs en environnement Bâle 3 d’environ 11% à 11,5% en 2025 équivalant à un niveau de plus de 10% en régime Bâle 4. Boursorama vise un résultat net d’environ 100 millions d’euros en 2024 et d’environ 200 millions d’euros en 2025, représentant une rentabilité sur fonds propres normatifs supérieure à 25%. «Après avoir conquis plus de 2 millions de clients en 5 ans, Boursorama entend poursuivre au cours des prochaines années ses investissements en termes de conquête et se fixe désormais pour objectif d’atteindre plus de 4 millions de clients en 2023 et 4,5 millions en 2025. Boursorama se positionnera ainsi parmi les grandes banques de détail en France», explique un communiqué.
Le distributeur de matériel électrique Rexel a annoncé jeudi de nouveaux objectifs pour 2020 et le remboursement anticipé d’une obligation de 300 millions d’euros, grâce à une génération de trésorerie « plus élevée qu’anticipé ».
Le groupe de spiritueux Rémy Cointreau a annoncé ce matin qu’il anticipait une «croissance organique positive de son résultat opérationnel courant» (ROC) sur son exercice clos fin mars 2021, même si «cette performance devrait être légèrement modérée par des effets devises et périmètre défavorables», à hauteur de 5 millions et 3 millions d’euros respectivement. Un retour à la normale prendra un ou deux ans.
Bouygues a fait état ce jeudi d’une forte amélioration de ses résultats au troisième trimestre 2020, ce qui lui permet de revoir à la hausse ses perspectives pour le second semestre. Le groupe de BTP, de médias et de télécoms prévoit désormais une marge opérationnelle courante sur cette période légèrement supérieure à celle du second semestre 2019, alors qu’il visait auparavant une «rentabilité significative» mais inférieure au niveau de l’an dernier.
Le distributeur américain a annoncé des résultats trimestriels supérieurs aux attentes. Son bénéfice net s’est établi à 5,14 milliards de dollars (4,32 milliards d’euros), soit 1,80 dollar par action, contre 3,23 milliards de dollars, soit 1,15 dollar par action, un an plus tôt. A 1,34 dollar, le bénéfice par action (BPA) ajusté dépasse le consensus qui tablait sur 1,18 dollar. Son chiffre d’affaires a augmenté de 5,3% à 134,71 milliards de dollars au troisième trimestre 2020, alors que les analystes prévoyaient 132,13 milliards. Les ventes en ligne aux Etats-Unis ont grimpé de 79%.
Le distributeur américain a annoncé aujourd’hui des résultats trimestriels supérieurs aux attentes. Son bénéfice net s’est établi à 5,14 milliards de dollars (4,32 milliards d’euros), soit 1,80 dollar par action, contre 3,23 milliards de dollars, soit 1,15 dollar par action, un an plus tôt. A 1,34 dollar, le bénéfice par action (BPA) ajusté dépasse le consensus qui tablait sur 1,18 dollar. Son chiffre d’affaires a augmenté de 5,3% à 134,71 milliards de dollars au troisième trimestre 2020, alors que les analystes prévoyaient en moyenne 132,13 milliards. Les ventes en ligne aux Etats-Unis ont grimpé de 79% et les ventes à données comparables dans le pays ont progressé de 6,4%.
Dassault Systèmes a actualisé ce mardi, lors d’une journée dédiée aux investisseurs et analystes, ses perspectives pluriannelles en reportant de 2023 à 2024 l’atteinte d’un objectif de bénéfice net par action (BNPA) non-IFRS d’environ 6 euros. Cet objectif avait été initialement présenté en juin 2018. L’éditeur de logiciels industriels table en outre sur une progression de ses flux de trésorerie au cours de la période 2020-2024 à environ 1,5 milliard d’euros en moyenne annuelle. Ces objectifs impliquent une progression du chiffre d’affaires non-IFRS d’environ 10% à taux de change constants.
La compagnie aérienne britannique a annoncé ce matin une perte supérieure aux attentes au titre de l’exercice clos le 30 septembre 2020 et déclaré qu’elle ne verserait pas de dividende pour cet exercice. Sa perte avant impôts s’est élevée à 1,27 milliard de livres (1,41 milliard d’euros), à comparer à un bénéfice de 430 millions de livres pour l’exercice 2018-2019. Le consensus tablait sur une perte de 1,16 milliard de livres. La compagnie à bas coûts estime que ses vols au premier trimestre de l’exercice 2020-2021 ne devraient pas représenter plus de 20% des capacités prévues pour cette période.