Nos articles d’actualité et d’analyse sur les évolutions des différents marchés de matières premières (blé, maïs, gaz, charbon, cuivre, fer, terres rares etc.) et sur les principaux acteurs internationaux du secteur.
La demande mondiale de charbon augmentera marginalement durant les cinq prochaines années, prévoit l’Agence internationale de l'énergie (AIE). La consommation de charbon a diminué de 1,9% à 5,357 milliards de tonnes en 2016, la baisse des prix du gaz, l’essor des énergies renouvelables et les programmes d’amélioration de l’exploitation ayant grevé la demande, explique l’AIE dans son rapport annuel sur ce marché. La demande de charbon augmenterait en moyenne de 0,5% l’an pour atteindre 5,534 milliards de tonnes en 2022, «à peine plus haut que les niveaux actuels, ce qui signifie que l’emploi du charbon ne fait que stagner depuis une dizaine d’années», note l’agence.
La demande mondiale de charbon augmentera marginalement durant les cinq prochaines années en raison d’une baisse de la consommation de la Chine, prévoit lundi l’Agence internationale de l'énergie (AIE). La consommation de charbon a diminué de 1,9% à 5,357 milliards de tonnes en 2016, la baisse des prix du gaz, l’essor des énergies renouvelables et les programmes d’amélioration de l’exploitation ayant grevé la demande, explique l’AIE dans son rapport annuel sur ce marché. La demande de charbon augmenterait en moyenne de 0,5% l’an pour atteindre 5,534 milliards de tonnes en 2022, «à peine plus haut que les niveaux actuels, ce qui signifie que l’emploi du charbon ne fait que stagner depuis une dizaine d’années», note l’agence.
Le CME Group a annoncé hier le prochain lancement de nouveaux contrats à terme sur le blé et le maïs produits dans la région de la mer Noire, incluant la Russie. Les futures seront indexées sur l’indice de prix développé par S&P Global Platts. Leur lancement est prévu le 18 décembre, sous réserve des autorisations réglementaires. Ils seront tous deux libellés en dollars, d’une taille de 50 tonnes, et échangeables par blocs de 5 lots minimums. Ils seront disponibles sur la plate-forme de CME Globex, et les échanges de gré-à-gré seront éligibles à un traitement par la chambre de compensation de CME Clearport.
Le CME Group a annoncé lundi le lancement le mois prochain de nouveaux contrats à terme sur le blé et le maïs produits dans la région de la mer Noire, qui inclus notamment la Russie. Les futures seront indexées sur l’indice de prix développé par S&P Global Platts. Leur lancement est prévu le 18 décembre, sous réserve des autorisations réglementaires.
Anglo American figure parmi plusieurs entreprises intéressées par le pôle métaux du groupe de négoce de matières premières Louis Dreyfus, rapportait hier Reuters citant trois sources du négoce et de la banque. Louis Dreyfus a lancé cette année la procédure de cession d’une participation, peut-être majoritaire, dans ce segment en engageant Citi et ING. Le pôle métaux avait une valeur comptable de 314 millions de dollars (271 millions d’euros) au titre de 2016, selon des documents boursiers. Le conglomérat chinois HNA Holding Group est également intéressé, selon l’une des sources, tandis qu’une autre évoque le nom de Duferco, un négociant suisse dans l’acier.
L’Arabie saoudite se prépare à extraire son propre uranium dans le cadre de son programme de production d'électricité nucléaire, a annoncé hier Hachim ben Abdallah Yamani, le directeur de l’agence saoudienne du nucléaire. Riyad envisage de se doter au total de capacités de production d’origine nucléaire de 17,6 gigawatts d’ici à 2032, soit l'équivalent de 17 réacteurs standard. Le dirigeant, qui s’exprimait lors d’une conférence internationale sur l'énergie nucléaire organisée aux Emirats arabes unis, n’a pas précisé si l’Arabie envisageait aussi d’enrichir l’uranium et de retraiter elle-même les combustibles usés. Ces procédés sont particulièrement sensibles, puisqu’ils peuvent permettre de passer à un uranium de qualité militaire.
L’Arabie saoudite se prépare à extraire son propre uranium dans le cadre de son programme de production d'électricité nucléaire, a annoncé aujourd’hui Hachim ben Abdallah Yamani, le directeur de l’agence saoudienne du nucléaire. Riyad envisage de se doter au total de capacités de production d'électricité d’origine nucléaire de 17,6 gigawatts d’ici à 2032, soit l'équivalent de la production de 17 réacteurs standard.
L’introduction en bourse d’Aramco aura bien lieu dans la seconde moitié de 2018, a confimé lundi le PDG du groupe de pétrolier saoudien, démentant des informations sur un possible report de l’opération financière. «Nous avons toujours dit que nous allions procéder à cette introduction en 2018, et plus précisément dans la seconde moitié de 2018», a déclaré Amin Nasser dans une interview à la chaîne de télévision CNBC. «L’offre publique de vente est sur la bonne voie. Le lieu de l’introduction sera discuté et annoncé en temps voulu», a ajouté Amin Nasser. Il a assuré que les autorités saoudiennes n'étaient pas en pourparlers avec des investisseurs chinois ou d’autres pour vendre directement des parts d’Aramco, dont la valeur est évaluée à entre 1.000 et 2.000 milliards de dollars.
La demande mondiale d’acier devrait ralentir avec une croissance de seulement 1,6% en 2018, après une forte accélération cette année tirée par la Chine, dont la demande devrait stagner l’an prochain, a annoncé hier l’organisation professionnelle World Steel Association. La demande mondiale d’acier atteindra 1,648 milliard de tonnes l’an prochain, contre 1,622 milliard de tonnes anticipés cette année, précise World Steel. Les données de 2017 correspondent à une croissance nominale de 7% et une croissance nette de 2,8%.
Rio Tinto réfléchit à vendre Aluminium Dunkerque, selon Bloomberg. L’ancien site de Pechiney, dont le groupe minier anglo-australien a hérité lors de l’acquisition d’Alcan en 2007, est la plus importante usine d’aluminium d’Europe. Des fonds d’investissement auraient fait part de leur intérêt. Rio Tinto n’a pas souhaiter faire de commentaire. Le groupe minier avait récemment indiqué envisager de céder son usine d’aluminium islandaise.
Rio Tinto réfléchit à vendre Aluminium Dunkerque, selon Bloomberg. L’ancien site de Pechiney, dont le groupe minier anglo-australien a hérité lors de l’acquisition d’Alcan en 2007, est la plus importante usine d’aluminium d’Europe. Des fonds d’investissement auraient fait part de leur intérêt. Rio Tinto n’a pas souhaiter faire de commentaire. Le groupe minier avait récemment indiqué envisager de céder son usine d’aluminium islandaise.
Un groupe de traders européens en céréales, qui a quitté Louis Dreyfus fin août, prévoit de lancer en Suisse une nouvelle société ciblant le marché ukrainien, selon Reuters qui citait hier soir trois sources proches du dossier. La nouvelle société, dénommée Sierentz Global Merchants, a été enregistrée le 13 septembre à Paudex, près de Lausanne. Une société du même nom est déjà présente aux Etats-Unis et contrôlée par des membres de la famille Louis-Dreyfus, mais elle est distincte du groupe historique Louis Dreyfus Company (LDC).
Le groupe veut réduire, d'ici à 2020, à 4 dollars la livre de nickel le coût de revient de l'usine calédonienne de la SLN, contre 4,5 dollars visés fin 2017.
Eramet a annoncé vendredi le renforcement du plan de performance de la Société Le Nickel (SLN), sa filiale de Nouvelle Calédonie. «Dans un contexte d’industrie mondiale du nickel en pleine évolution, et considérant que l’atteinte de l’objectif de 4,5 dollars américains par livre fixé pour fin 2017 est indispensable mais pas suffisant pour assurer la pérennité de l’entreprise dans les périodes de bas de cycle, un nouvel objectif de cash-cost (coût de production «cash») est fixé à 4,0 dollars par livre à fin 2020», a déclaré le groupe minier et métallurgique dans un communiqué. Les nouvelles actions visent à augmenter la productivité à travers des mesures d’augmentation du temps de travail et de refonte des organisations, et à réduire la facture énergétique de la SLN.