Nos articles d’actualité et d’analyse sur l’évolution des Bourses, sur les dynamiques à l’oeuvre sur les marchés actions et sur les principales opérations (augmentation de capital, émissions d’actions...).
Tant en avril que pour les quatre premiers mois de l’année, les ETF dans le monde ont enregistré des montants records de rentrées nettes, à savoir 25,3 milliards de dollars le mois dernier et 67,2 milliards de dollars (dont 44,2 milliards en Europe) sur la période janvier-avril, d’après les statistiques publiées mercredi par BlackRock. L’augmentation mensuelle des actifs sous gestion ressort pour sa part à 70,4 milliards de dollars, soit une hausse de 5 %.A fin avril, l’encours total des 2.670 ETF qui étaient cotés 6021 fois sur 48 Bourses avec 140 émetteurs se situait à 1.469,8 milliards de dollars contre 1.399,4 milliards le mois précédent (lire notre article du 18 avril) et 1.113,1 milliards fin avril 2010 ; les actifs avaient terminé l’année dernière sur un montant de 1.311,3 milliards de dollars.Le tiercé de tête des émetteurs demeure évidemment inchangé : iShares (BlackRock) affiche 467 ETF et 636,9 milliards de dollars d’encours, pour 43,3 % de part de marché. State Street Global Advisors (SSgA) compte 123 ETF avec un encours de 210,2 milliards de dollars, sa part de marché se situant à 14,3 %. Enfin, Vanguard, avec ses 66 ETF, affiche des actifs de 173,1 milliards et 11,8 % de part de marché.Actuellement, précise BlackRock, il existe des projets de lancement pour 1.055 ETF.
Lancé en octobre 2009 par IDMidCaps et EthiFinance avec le soutien de la SFAF et de MiddleNext, l’indice ISR GAIA affiche pour ses 17 premiers mois d’existence une surperformance de 5 points, avec 26 %, sur l’indice CAC Mid & Small CMS 190 et de de 18 points sur le CAC 40.Cet indice est composé des 70 valeurs qui ont obtenu les meilleures notes en termes de performances ESG (Environnement, Social, Gouvernance) sur un panel de plus de 223 valeurs moyennes de l’industrie, des services et de la distribution, représentant 75% des titres composant le CMS 190.Les résultats de l’édition 2010 ont montré que l’élargissement de la notation sur les aspects sociaux et environnementaux a néanmoins permis aux petites et moyennes valeurs les plus avancées dans leur démarche RSE (Responsabilité sociale des entreprises) de cohabiter dans le haut du classement avec les valeurs plus grandes.
Selon un sondage TNS Infratest réalisé par téléphone auprès d’un échantillon représentatif de 1.000 personnes pour le compte d’Axa Investment Managers Deutschland, le souscripteur typique de fonds en Allemagne se repose sur un promoteur réputé pour choisir un OPCVM. C’est surtout un homme qui vit dans la partie occidentale du pays, qui utilise Internet et qui est titulaire d’un revenu moyen (1.500-3.000 euros). L’enquête a aussi mis en évidence que 95 % des porteurs de parts de fonds d’investissement accordent une grande importance au conseil. Pour ce faire, ils se renseignent auprès de conseillers bancaires, d’assurances ou des conseillers financiers.
A fin avril, l’encours des 1.128 ETF domiciliés en Europe (et cotés 3.952 fois sur 23 Bourses) se montait selon BlackRock à 328,2 milliards de dollars, contre 307,5 milliards fin mars et 284 milliards de dollars fin décembre 2010. Fin avril 2010, il se situait à 234,3 milliards. Autrement dit, les actifs sous gestion ont augmenté en l’espace de douze mois de 93,9 milliards de dollars ou de 40 %. Et depuis le début de l’année, ils se sont accrus de 15,5 % (lire également notre article du 18 avril)Sur les quatre premiers mois de 2011, les souscriptions nettes ont porté sur 12,9 milliards de dollars, dont 4 milliards pour iShares et 3,1 milliards pour UBS Global Asset Management. Les plus fortes sorties nettes ont été accusées par Lyxor Asset Management (Société Générale), avec 1,7 milliard de dollars.L'étude de BlackRock montre que le nombre d’ETF a progressé en janvier-avril de 5,2 %, soit 82 lancements minorés par 7 radiations et 19 fusions. Le nombre de produit avait augmenté de 12,4 % ou de 103 unités durant la période correspondante de 2010.iShares (BlackRock) reste le plus gros émetteur d’ETF en Europe avec 167 produits et un encours de 115,3 milliards de dollars, soit une part de marché de 35,1 % ; le nombre de fonds n’a pas changé, mais l’encours s’est accru par rapport aux 109,6 milliards de dollars de fin mars où la part de marché était de 35,7 %.Le numéro deux reste Lyxor AM avec 157 produits, 56,5 milliards de dollars d’encours et 17,2 % de part de marché (156 fonds, 53,7 milliards de dollars, 17,5 % du marché fin mars), devant db x-trackers (Deutsche Bank), avec 158 fonds pour 53,5 milliards et 16,3 % de part de marché.(156 ETF, 50,6 milliards et 16,4 %).
Les plates-formes européennes de NYSE Euronext ont enregistré, en avril, 19 cotations secondaires (cross-listings) d’ETF Lyxor AM à Bruxelles auxquelles s’ajoutent 8 introductions d’ETF dont 2 de RBS Market Access, un d’EasyETF, 4 de ThinkCapital sur Euronext Amsterdam et un produit Lyxor AM sur Euronext Paris.De la sorte, à fin avril, les Bourses européennes de NYSE Euronext cotaient 642 fois 546 ETF de 17 émetteurs. Depuis le début de l’année, 101 nouvelles cotations ont été enregistrées, dont 75 primaires et 26 secondaires.NYSE Euronext précise aussi que le nombre et le volume journaliers moyens de transactions ont diminué à respectivement 7.937 unités contre 11.224 en mars et à 348,7 millions d’euros contre 509,9 millions (lire notre dépêche du 18 avril). En glissement annuel, avril s’est affiché en baisse de 12,8 % pour le nombre de transactions et de 16 % en volume.En outre, le spread moyen s’est situé à 26,5 points de base contre 28,97 points de base en mars. Il avait été de 28,15 en février et de 28,5 en janvier.L’encours total des ETF cotés sur les places européennes de NYSE Euronext représentait fin avril 142,3 milliards d’euros, ce qui représente un gonflement de 18,6 % par rapport au niveau atteint douze mois plus tôt.
L’inflation a une «bonne chance» d’atteindre 5% dans le courant de l’année 2011 en Grande-Bretagne, selon la Banque d’Angleterre. Selon Le Temps, ce niveau a été qualifié d’«inconfortablement élevé» par le gouverneur de l’institution Mervyn King. Dans son rapport trimestriel publié mercredi, la banque centrale prévoit que la hausse des prix reviendra dans sa cible de 2% en 2013 seulement.
Le 11 mai, DWS Investments a indiqué avoir franchi fin avril la barre du million de contrats d'épargne-retraite subventionnée Riester en unités de comptes. Cette filiale de la Deutsche Bank se targue d'être la société de gestion allemande qui a connu la plus forte croissance du nombre de ses contrats Riester, notamment avec les produits DWS RiesterRente Premium et DWS TopRente Dynamik ainsi que Balance.Cela posé, c’est Union Investment (banques populaires) qui demeure clairement le leader pour les plans Riester en unités de comptes, avec 1,85 million d’unités fin avril et une part de marché estimée à 65 % fin mars.
Pour le premier trimestre 2011, les souscriptions nettes enregistrées par les adhérents de l’association allemande BVI des sociétés de gestion ont porté sur 9,37 milliards d’euros contre 31,6 milliards pour la période correspondante de l’an dernier.Si les fonds institutionnels (Spezialfonds) affichent des rentrées nettes de 14,36 milliards d’euros contre 14,76 milliards pour janvier-mars 2010, les fonds offerts au public ont subi des retraits nets de 4,63 milliards d’euros (dont 300,6 millions de souscriptions nettes pour les fonds immobiliers inclus). Un an plus tôt, des souscriptions nettes de 10,71 milliards avaient été enregistrées. Dans le détail, du côté des fonds de valeurs mobilières offerts au public (4,93 milliards de sorties nettes) et parmi les grands établissements, on note que Deka et Allianz Global Investors ont subi des remboursements nets de respectivement 2,85 milliards et 2,33 milliards d’euros tandis que les rachats nets se situaient à 454,3 millions pour Union Investment et 286,7 millions pour DWS/DB Advisors/DB Gruppe.A l’exception d’ETFlab (Deka), qui a supporté des sorties nettes de 439,5 millions d’euros, les spécialistes des ETF ont continué d’afficher des rentrées nettes, les plus fortes étant celles constatées pour BlackRock (iShares), avec une collecte de près de 1,18 milliard d’euros. Chez db x-trackers (Deutsche Bank), les souscriptions nettes ont représenté 310 millions d’euros tandis que pour ComStage (Commerzbank), elles se situaient à 139,3 millions.
Pour le premier trimestre 2011, les souscriptions nettes enregistrées par les adhérents de l’association allemande BVI des sociétés de gestion ont porté sur 9,37 milliards d’euros contre 31,6 milliards pour la période correspondante de l’an dernier.Si les fonds institutionnels (Spezialfonds) affichent des rentrées nettes de 14,36 milliards d’euros contre 14,76 milliards pour janvier-mars 2010, les fonds offerts au public ont subi des retraits nets de 4,63 milliards d’euros - dont 3,36 milliards pour le seul mois de mars. Un an plus tôt, des souscriptions nettes de 10,71 milliards avaient été enregistrées.
Selon les résultats de l'étude de Duff & Phelps et Mergermarket qui vient d'être publiée, réalisée à partir d’entretiens menés fin 2010 avec une cinquantaine de responsables du capital-investissement, 88% des répondants en Europe et 68% en Amérique du Nord tablent sur une augmentation «modérée ou importante» de leur activité sur leurs marchés respectifs au cours des 12 prochains mois, rapporte L’Agefi. La moitié des personnes interrogées outre-Atlantique estime que les meilleures opportunités se trouveront sur leur marché domestique, tandis que l’autre moitié mise sur l’Asie-Pacifique. Les acteurs européens citent à 58% l’Amérique du Nord, à 25% le Vieux Continent et à seulement 17% l’Asie-Pacifique. La très grande majorité des répondants (96% en Amérique du nord et 83% en Europe) envisage de procéder à de nouveaux investissements en 2011, dans des entreprises de croissance pour les trois quarts d’entre eux.
80 % des 150 investisseurs institutionnels de onze pays interrogés en mars et avril par Allianz Global Investors (AGI) et gérant au total 990 milliards d’euros sont d’avis que l’euro survivra dans le contexte actuel tandis qu’ils sont 4 % à estimer qu’il va connaître l'échec. Cela dit, les 16 % des responsables interrogés sans opinion montrent que la crise de la dette souveraine est considérée comme un important facteur de risque par les investisseurs institutionnels, souligne AGI. Environ 10 % du panel estiment également possible un rééchelonnement de dette pour certains pays périphériques de la zone euro.AGI constate aussi que beaucoup parmi les responsables interrogés s’attendent à un durcissement de la réglementation et à une politique budgétaire plus centralisée, ce qui pourrait aller de pair avec un surcroît de compétences et de responsabilité pour la Banque centrale européenne. Enfin, certains des gestionnaires interrogés pensent par ailleurs que l’influence des pays de cœur de la zone euro, l’Allemagne et la France, va augmenter.
Selon L’Agefi, les banques européennes s’apprêtent à lancer un indice concurrent au Libor : l’Euribor dollar. Un panel de 23 à 25 établissements a accepté de tester, à partir de juin, la mise en place de ce nouvel indicateur interbancaire qui sera basé comme les autres taux Euribor sur les déclarations quotidiennes des banques, fixé à 11 heures, et reflétera le coût de leur financement sur le marché du dollar. Un bilan de l’expérience sera tiré en septembre et rendu public, précise le quotidien.
Malgré la baisse spectaculaire l’an dernier du taux de défaut des entreprises européennes en catégorie spéculative, et la possibilité de nouvelles baisses dans les prochains mois, les perspectives à moyen terme sont plutôt négatives, selon une étude publiée le 3 mai par l’agence Standard & Poor’s.Actuellement fixé à 3,8%, le taux de défaut pourrait ainsi se retrouver en 2012 dans une fourchette comprise entre 5,5% et 7,5%. L’an dernier, 28 entreprises non financières ont fait défaut contre 103 en 2009, représentant un montant de dette cumulée de 18,1 milliards d’euros contre 62,4 milliards précédemment.
The Wall Street Journal rapporte que certains hedge funds spécialistes des arbitrages ont été invités jusqu'à trois fois de suite ces dernières semaines à rencontrer et discuter avec le CEO du Nasdaq, Robert Greifeld. Le Nasdaq, qui a lancé une offre hostile sur le NYSE, veut inciter les hedge funds à acheter des actions NYSE pour qu’ils puissent ensuite voter contre le projet de fusion avec la Deutsche Börse le 7 juillet. Et la date limite pour pouvoir participer à ce vote est fixée à ce 4 mai !
S&P Indices vient de lancer le S&P CIVETS 60, un indice couvrant la deuxième génération de pays émergents que sont la Colombie, l’Indonésie, le Vietnam, l’Egypte, la Turquie et l’Afrique du Sud. Il se compose pour chaque marché de 10 valeurs liquides, soit un total de 60 titres, et pourra servir de base pour des ETF en Europe et en Asie. Au 31 mars, l’Afrique du Sud représentait 31,61 % de l’indice, suivi par l’Indonésie (28,14 %), la Turquie (21,01 %), la Colombie (12,49 %), l’Egypte (5,68 %) et le Vietnam (1,07 %).
Actuellement, constate Die Welt, 28 milliards d’euros se trouvent en Allemagne dans des fonds immobiliers offerts au public dont les remboursements sont gelés. Et en 2010, les fonds immobiliers allemands ont accusé en moyenne une perte de 2,7 %. Quant au meilleur, l’Inter Immoprofil de iii, il n’a gagné que 3,6 %... En comparaison, les fonds immobiliers suisses (24,9 milliards de francs ou 19,3 milliards d’euros d’encours totaux), dont les Allemands peuvent facilement acquérir des parts, ont de quoi faire rêver : ils ont généré en 2010 des performances supérieures à 10 % - avec, naturellement, le risque de change. Cela dit, à la différence des fonds immobiliers allemands, les suisses investissent surtout en Suisse, pas à l'étranger, et ils ont beaucoup d’actifs résidentiels, moins vulnérables que les bureaux aux fluctuations de la conjoncture.De plus, selon la réglementation helvétique, les parts de fonds immobiliers ne peuvent être remboursées qu’une fois par an à date fixe, avec un préavis d’au moins un an. Et les fonds ne peuvent émettre de parts que s’ils ont besoin de capital pour acquérir un actif.
La première édition «Journée nationale de la prévoyance» (Giornata Nazionale della Previdenza) se tiendra les 4 et 5 mai à Milan, Piazza Affari (à la Borsa Italiana). Il s’agit de la première grande rencontre professionnelle des acteurs de la prévoyance retraite qui est organisée conjointement par l’institut de recherche Itinerari Previdenziali, Borsa Italiana et le consultant Prometeia. Les deux parrains principaux sont Intesa Sanpaolo et l’ENI.Cette manifestation réunit quatre institutions publiques, dont la Covip et l’INPS (les autorités de surveillance des fonds de pension et de la prévoyance sociale, respectivement), 18 organismes de retraite privatisés, 18 fonds de pension, quatre fonds liés à la santé et 35 banques, sociétés de gestion et de prévoyance. Parmi les gestionnaires, on note Aberdeen, Arca SGR, Axa IM, BNP Paribas IP, Carmignac Gestion, Eurizon Capital, JP Morgan AM, Lyxor AM, Man Investments et State Street global Advisors (SSgA). Le programme comporte 3 conférences institutionnelles et 23 ateliers et séminaires. Afin d’impliquer la jeune génération dans la problématique de l'épargne-retraite, l'événement sera retransmis en direct dans six universités italiennes (Venise, Turin, Bologne, Rome, Naples et Catane), où les spectateurs pourront aussi poser leurs questions aux orateurs.
Selon la CSSF, l’encours global des organismes de placement collectif et les fonds d’investissement spécialisés s’est élevé, au 31 mars 2011, à 2.190,896 milliards d’euros, soit une baisse de 0,78 % sur un mois, le montant constaté au 28 février 2011, étant de 2.208,198 milliards d’euros. En revanche, sur les douze derniers mois, le volume des actifs nets est en augmentation de 10,62%, indique la CSSF. Exprimés en euros, la baisse du mois de mars représente 17,302 milliards, avec 19,817 milliards dus à un effet marché négatif (-0,90%) que l’effet collecte nette de 2,515 milliards (+0,12%) a partiellement compensé. Enfin, le nombre d’organismes de placement collectif (OPC) et de fonds d’investissement spécialisés (FIS) pris en considération est de 3.724 contre 3.705 le mois précédent. Dans le détail, 2.351 entités ont adopté une structure à compartiments multiples ce qui représente 11.684 compartiments. En y ajoutant les 1.373 entités à structure classique, la CSSF indique que l’on recense 13.057 entités sont actives sur la place financière.
Selon Les Echos, la première introduction en Bourse à Hong Kong libellée dans la devise chinoise n’a pas connu la réussite espérée. Pour leur premier jour de cotation, les actions de Hui Xian, la branche immobilière de Cheung Kong (un holding détenu par le milliardaire Li Ka-shing), ont dévissé. Elles ont perdu 9,35% en clôture. Et ce, alors même que le cours de lancement de l’action avait été fixé dans le bas de fourchette, afin de limiter les risques d’une déconvenue.
A fin mars, l’encours des fonds de pension espagnols se situait à 84,99 milliards d’euros, en hausse de 178 millions ou de 0,2 % sur le niveau de fin décembre, rapporte l’association espagnole Inverco des sociétés de gestion.Les contributions sur les douze derniers mois se sont montées à 5,51 milliards d’euros et les prestations à 4,25 milliards, si bien que les apports nets cumulés ont représenté 1,26 milliard.Le nombre de comptes a pour sa part augmenté de 1 % en un an, à 10.719.811 unités. Comme une même personne peut avoir des parts dans plusieurs fonds, on estime le nombre d’adhérents à environ 8 millions.Inverco précise qu’au 31 mars, l’encours des fonds de pension réservés aux individuels - produits assimilables à des plans retraite en unites de compte - a baissé de 0,5 % au premier trimestre pour revenir à 52,24 milliards d’euros. De leur côté, les fonds d’entreprise ont vu leurs actifs sous gestion progresser de 1,5 % à 31,79 milliards d’euros. Quant aux fonds mixtes, leur encours représentait 964 millions d’euros. Sur un an, la performance moyenne de tous les fonds ressort fin mars à 0,06 %, du fait que les fonds individuels ont accusé une perte de 0,25 % alors que les fonds d’entreprise et mixtes affichaient des performances de 1,56 % et 1,65 % respectivement. A trois et six ans, le bilan n’est guère plus flatteur : les performances annuelles moyennes se situent à 0,72 % et 0,70 %. Enfin, sur dix ans, la moyenne s’inscrit à 1,67 % et sur 15 ans, à 3,76 %.