Nos articles d’actualité et d’analyse sur les projets d’investissement d’un point de vue macro comme micro, au niveau des entreprises comme des acteurs financiers.
Selon certains investisseurs cités par The Wall Street Journal, la vague de vente sur les obligations émergentes pourrait ne pas être terminée. Elle résulte à la fois de la perspective d’un ralentissement des achats d’obligations par la Fed et d’un ralentissement de la croissance des pays émergents. Cela devrait inciter les investisseurs à se montrer plus sélectifs à l’avenir.Sergio Trigo Paz, qui gère environ 4 milliards de dollars de dette émergente chez BlackRock, préfère le Brésil à l’Inde, dont les rendements sont équivalents, parce que les fondamentaux brésiliens sont meilleurs et le marché brésilien plus liquide.Colm McDonagh, qui gère 755 millions de dollars de dette émergente chez Insight, privilégie la dette souveraine émise par le Mexique et les Philippines, des pays budgétairement solides, qui commence à devenir attrayante. En revanche, l’Afrique du Sud devrait rester sous pression, faute de progrès d’assainissement budgétaire.Quant à Tim Dingemans, qui gère 80 millions de dollars de dette émergente chez Adelante Asset Management, il s’attend que le Chili et l’Indonésie, exportateurs de matières premières, restent sous pression, de même que la Turquie, à cause de l’instabilité politique.
La volonté réaffirmée de la Réserve fédérale de mettre progressivement un terme à son programme d’assouplissement quantitatif a encore pesé sur le comportement des investisseurs. Les fonds obligataires ont ainsi subi une décollecte record de 23,3 milliards de dollars durant la semaine au 26 juin, selon les statistiques communiquées par EPFR Global. Parmi les différentes catégories de fonds obligataires, les fonds américains, globaux, émergents, municipaux, high yield et total return ont tous affiché des décollectes hebdomadaires exceptionnelles. Les fonds obligataires italiens, espagnols, canadiens, mexicains et suédois ont en revanche terminé la semaine sur une collecte supérieure à 1 milliard de dollars.Les fonds d’actions ont parallèlement enregistré une décollecte nette de 13,1 milliards de dollars, avec des rachats importants sur les fonds d’actions à dividende. Les fonds d’actions chinoises ont continué d’afficher des rachats si bien que depuis la dernière semaine de février, ils enregistrent une décollecte supérieure à 7 milliards de dollars. Les fonds d’actions japonaises ont terminé la semaine dans le vert, mais avec une collecte nette modeste.EPFR Global relève, sans citer de chiffres, que les fonds d’actions françaises enregistrent des souscriptions nettes pour la troisième semaine consécutive, les fonds d’actions allemandes pour la quatrième semaine consécutive. Du jamais vu depuis le troisième trimestre 2011.
Depuis des hedge funds comme ceux de Bridgewater Associates et AQR Capital Management jusqu’aux mutual funds en passant par les fonds de pension, les produits appliquant une stratégie de parité de risque sont sérieusement affectés par les turbulences actuelles sur les marchés, constate The Wall Street Journal. En effet, les gérants «risk parity» utilisent l’effet de levier pour augmenter le rendement des investissements obligataires afin qu’il ressemble davantage à un rendement d’actions.De plus, les actions ont chuté en même temps que les obligations après que la Fed ait laissé entendre qu’elle allait freiner l’assouplissement quantitatif. Et, pour aggraver la situation, les matières premières et les valeurs indexées sur l’inflation, qui sont largement utilisées par les gérants «risk parity», ont aussi subi de fortes pertes à cause de la baisse des attentes inflationnistes.Selon Morningstar, les mutual funds à parité de risque ont accusé en moyenne une perte de 6,75 % alors qu’un indice composite 60 % S&P 500 et 40 % Barclays US Aggregate Bond Index gagnait 6,76 %. Or les fonds à parité de risque visent souvent à battre un indice 60/40…
Suite aux bouleversements intervenus dans l'équipe dette émergente d’ING Investment Managers (ING IM), dont une vingtaine de membres ont rejoint Neuberger Berman, Danske Bank a décidé de réallouer un mandat de 1,6 milliard de dollars en dette émergente à une équipe dirigée à Londres par Samuel Finkelstein chez Goldman Sachs Asset Management (GSAM), rapporte Citywire.
Dans une interview à The Wall Street Journal, Boon Sim, head of markets group et president for the Americas du fonds souverain singapourien Temasek Holdings (155 milliards de dollars), indique qu’il compte renforcer les investissements aux Etats-Unis et en Europe, des régions qui offrent des «opportunités» malgré les incertitudes persistantes quant à la santé de leurs économies. Le manager, qui se veut plus haussier que la moyenne sur ces deux régions, discerne notamment des possibilités dans les domaines de l’énergie, la santé, et les technologies. De plus, Temasek» a le luxe d’être un investisseur de long terme, il n’a pas à se préoccuper de remboursement, ce qui lui permet d’effectuer des investissements dans le pays qu’il veut au moment où il le veut».
Le premier accord Diversité de BNP Paribas SA a été signé à l’unanimité à Paris le 29 avril pour une durée de trois ans par les quatre organisations syndicales représentatives des salariés. «Cet accord marque une étape importante de la politique Diversité de BNP Paribas désormais résolument orientée sur la promotion de l’égalité des chances et de l’inclusion», selon un communiqué publié le 26 juin.Tout en s’inscrivant dans la continuité des accords précédemment signés et qui s’appliquent encore, il a comme originalité d’appréhender la Diversité dans son sens le plus large en couvrant plusieurs sujets.Le nouveau texte regroupe toutes les dispositions négociées chez BNP Paribas en matière d’égalité professionnelle. Conformément au nouveau décret de décembre 2012, il privilégie quatre domaines d’actions parmi les 8 prévus par la réglementation : rémunération effective, promotion professionnelle, formation et articulation entre activité professionnelle et exercice de responsabilités familiales. Cet accord intègre également d’autres champs d’action, tels que l’embauche et les conditions de travail.Il couvre également le sujet de la diversité des origines et de l’orientation / l’identité sexuelle, traduisant le souhait de promouvoir l’inclusion de toutes les diversités.
Les intermédiaires restent confiants dans l'économie britanniqueLes intermédiaires outre-Manche se montrent moins inquiets sur les risques d’inflation et plus confiants sur les perspectives de l'économie britannique dans les prochains mois, selon la dernière enquête trimestrielle réalisée dans le cadre du Baring Asset Management Investment Barometer. Ils affichent un optimisme renouvelé sur les actions britanniques avec 87% d’opinions favorables ou très favorables sur la classe d’actifs contre 86% un trimestre plus tôt. Selon les intermédiaires, le plus grand risque macro-économique des six prochains mois est le ralentissement de la croissance en Chine, pour 47% d’entre eux contre 21% un trimestre plus tôt. Corollaire de ces inquiétudes croissantes, le taux d’opinions favorables aux actions asiatiques tombe à 84% contre 97% précédemment.
Le pôle fonds de hedge funds de Man Group, FRM, a annoncé avoir conclu un partenariat stratégique avec CommEq Asset Management. FRM fournira une allocation d’amorçage à CommEq, aidant ce dernier à lancer une activité de gestion d’actifs institutionnelle.CommEq, qui a été fondée par Christofer Solheim, un entrepreneur norvégien du secteur des technologies, recherche des sources et des flux de données sous-exploités et insuffisamment structurés qui pourraient influencer de manière significative la perception du marché sur les entreprises concernées, et donc la formation des prix de leurs valeurs mobilières. CommEq a développé dans ce sens un moteur de prévision en intelligence artificielle dont l’objectif est de générer de la surperformance à partir de ces sources au travers d’une stratégie d’investissement systématique et reproductible.Dans le cadre du partenariat stratégique, FRM fournira à CommEq l’infrastructure et le soutien opérationnel ainsi que la gestion du risque au travers de sa plate-forme de comptes gérés.
Le Fonds de réserve pour les retraites (FRR) vient de lancer un appel d’offres visant à sélectionner un à trois prestataires pour la gestion financière de mandats de gestion active investis en actions japonaises.Pour ce marché, la procédure de marchés publics retenue est celle d’un appel d’offres restreint.Cet appel d’offres concerne la gestion active d’un à trois mandats qui devront mettre en œuvre une exposition aux actions japonaises toutes capitalisations. A titre purement indicatif, le FRR estime que le montant global des fonds donnés en gestion pourrait être fixé à 400 millions d’euros.Chacun des mandats du présent marché est conclu pour une durée de quatre ans à compter de sa notification avec possible reconduction d’un an.Les sociétés de gestion intéressées ont jusqu’au 24 juillet 2013, 12h00 (heure de Paris), pour répondre au FRR dans les conditions spécifiées par le règlement de la consultation.
Paul Hawtin, le fondateur du hedge fund «Twitter» qui utilisait des algorithmes pour déceler les humeurs des investisseurs sur les réseaux sociaux et investir en conséquence, lance une nouvelle société d’investissement qui semble vouloir exploiter le même filon, rapporte COOConnect.Le hedge fund «Twitter», à savoir le Derwen Absolute Return Fund, lancé en 2011, a été fermé en février 2013 en raison du manque d’intérêt des investisseurs.La nouvelle stratégie, Cayman Atlantic, lancée l’an dernier, tente de détecter les opportunités d’investissement à partir des données recueillies sur les réseaux sociaux en temps réel. Elle affiche un gain de 13,76% depuis son lancement en juillet 2012
Plus de 60% des fonds gérés activement au sein du système de pension suédois à contributions définies sont «plus chers que les hedge funds», avec des commissions qui dépassent les rendements sur une période de trois ans, selon une étude par un analyste du fonds de pension suédois AP7, rapporte le site IPE.L’analyste d’AP7, Hakan Tobiasson, a comparé les coûts et performances de quelque 500 fonds gérés activement avec les coûts d’un hedge moyen affichant une performance équivalente, sur la base de frais de gestion de 1% et d’une commission de performance de15%. Un tiers des fonds passés en revue affichent un alpha supérieur aux frais de gestion sur la période, mais sont malgré tout plus chers qu’un hedge fund. Sur l’ensemble des fonds analysés, seulement 5% d’entre eux ont pu être classés dans la catégorie «bonne performance assortie d’une commission raisonnable», avec toutes les caractéristiques d’un alpha positif sur les 36 derniers mois.
Six experts du secteur des ETF veulent populariser ce véhicule d’investissement sur le marché suisse par le biais d’une organisation, «ETF Ambassadors», qui se propose de familiariser les investisseurs avec l’univers des ETF et d’améliorer leurs connaissance sur le sujet au travers d’un site internet (etfambassadors.ch.) et de séminaires mensuels.Parmi les experts à l’origine de cette unitiative figurent notamment Christian Gast, patron d’iShares pour la Suisse, Frank Mohr, responsable ETF-Sales Trading à la Commerzbank, Alain Picard, responsable Product Management chez SIX Swiss Exchange et Marcel Wagner, responsable Index Selection au Credit Suisse.Seulement 3,7% des encours des fonds européens sont investis dans des produits d’investissement passifs.
Caceis et PwC Luxembourg ont présenté le 25 juin une nouvelle étude intitulée « SocialMediaStudies - Asset Management in the Social Era », à l’occasion du Fund Forum International qui se tient à Monaco. CACEIS et PwC ont effectué des analyses quantitatives et qualitatives afin de mieux comprendre l’utilisation des médias sociaux par plus de 100 sociétés de gestion, leaders du secteur, dans le monde entier. L’étude d’une cinquantaine de pages analyse comment les plus grands gestionnaires d’actifs interagissent avec les investisseurs finaux et liste les principaux éléments pris en compte lors de la mise en oeuvre d’une stratégie médias sociaux. Elle identifie les moyens dont ils disposent pour répondre de manière proactive aux changements inévitables qui affecteront l’industrie des fonds. François Marion, directeur général de Caceis, a déclaré : «La décision d’axer notre étude annuelle commune sur l’industrie de la gestion d’actifs et les médias sociaux a été dictée tant par le besoin de mieux cerner les opportunités offertes que par la nécessité de prendre conscience des risques inhérents à la mise en oeuvre d’une stratégie médias sociaux. L’étude soulève des questions essentielles dans des domaines tels que la conformité et la réglementation». L’analyse et l'évaluation ont révélé des différences significatives entre les principales sociétés de gestion, une grande partie de l’industrie adoptant toujours une approche attentiste. Seules 60 % des sociétés étudiées sont actives sur les médias sociaux. Les raisons de leur frilosité incluent notamment l’incertitude liée à l’absence de réglementations strictes. Cela étant, les sociétés de gestion de grande taille sont beaucoup plus enclines à utiliser les médias sociaux. Seules 46 % des sociétés qui gèrent moins de 150 milliards d’euros ont un compte actif dédié à la gestion d’actifs, contre 77 % pour celles qui assurent la gestion de plus de 500 milliards d’euros. Si certaines grandes sociétés de gestion sont déjà adeptes des médias sociaux, il est évident que leur utilisation au sein de l’industrie dans son ensemble n’en est qu'à ses débuts. De même, les médias sociaux généreront incontestablement à l’avenir des modifications fondamentales dans les relations entre les groupes et leurs clients. De nombreux investisseurs leur accordent déjà de l’importance. Demain, avec l'émergence de la génération internet comme investisseurs principaux, la stratégie médias sociaux constituera l’un des éléments clés du succès des sociétés de gestion. «L’exploitation de toutes les possibilités offertes par les médias sociaux peut accroître l’efficacité organisationnelle, augmenter la visibilité sur le marché et améliorer la compréhension des relations gestionnaire-client. Actuellement, les sociétés de gestion perçoivent les médias sociaux essentiellement comme un moyen de communication. A l’avenir, cette opinion va très certainement évoluer avec l’intégration des médias sociaux dans l’ADN d’un nombre croissant d’acteurs du marché», conclut Dariush Yazdani, Partner, Market Research Institute PwC.
Le cinquième sondage annuel de Morningstar sur la perception et l’utilisation des investissements alternatifs par les institutionnels et les conseillers financiers montre que les investisseurs institutionnels commencent à juger que les mutual funds alternatifs sont de bons ersatz de hedge funds et que les conseillers financiers sont plus nombreux à intégrer ces investissements liquides et transparents dans les portefeuilles de leurs clients.L’enquête a été effectuée en mars 2013 par Morningstar et Barron’s auprès de 235 investisseurs institutionnels et 471 conseillers. Elle a aussi montré que les investisseurs institutionnels comme les conseillers financiers «continuent de voir de la valeur dans les produits alternatifs».D’autre part, les réponses ont montré que les investisseurs institutionnels demeurent intéressés par des strategies long/short equities tandis que les conseillers financiers ont tendance à se focaliser avant tout sur le rendement.Enfin, on note parmi les principales conclusions que si les investissements alternatifs répondent toujours à un besoin de diversification, le niveau élevé des commissions a remplacé la liquidité et la transparence parmi les motifs pouvant inciter les institutionnels et les conseillers financiers à renoncer à investir en alternatif.
L’agence munichoise oekom research a établi lors d’un sondage auprès de 199 entreprises d’une trentaine de pays et de 34 secteurs que 61,3 % des sociétés citent les notations «développement durable» comme un facteur déterminant de prise en compte du développement durable.87,9 % des personnes interrogées estiment important ou très important l’obtention d’une bonne note de développement durable ou l’intégration dans les indices de développement durable tandis que 97 % jugent qu’une bonne notation dans ce domaine peut avoir une incidence positive sur la réputation de l’entreprise.
L’indice mondial de la confiance des investisseurs institutionnel publié par State Street a augmenté de 11,9 points en juin, à 106,8, par rapport au niveau de 94,9 (en données corrigées) enregistré en mai. L’appétit pour le risque des investisseurs en Amérique du Nord est largement à l’origine de cette hausse, l’indice régional ayant bondi de 11,4 points pour s’établir à 114,0 par rapport au niveau de 102,6 (en données corrigées) le mois dernier. La confiance des investisseurs en Europe et en Asie s’inscrit également à la hausse, avec un gain de 4,7 points de l’indice régional européen à 98,4 par rapport à 93,7 (en données corrigées) en mai, tandis que l’indice régional pour l’Asie est passé de 86,0 (en données corrigées) à 89,1 en juin, en hausse de 3,1 points.« Nous avons observé des ventes d’actions américaines, des achats d’actions européennes, et des achats importants d’actions des marchés émergents. Ces réallocations s’inscrivent à l’opposé des mouvements des cours pendant la période ; il convient de noter cependant que l’échantillon des données couvre la période se terminant le 21 juin et ne reflète donc pas la toute récente chute des cours sur les marchés actions. Dans l’ensemble, nos données indiquent que les investisseurs institutionnels sont satisfaits de ‘prendre le contrepied’ de ces mouvements de prix », commentent les auteurs de l'étude.
La Société Générale envisage de lancer en juillet prochain un nouveau produit dédié au risque de longévité offrant une corrélation proche de zéro avec les classes d’actifs traditionnelles, rapporte Asian Investor. Ce produit s’adresse aux fonds souverains ainsi qu’aux assureurs et réassureurs.Le concept de ce nouveau véhicule, qui syndique le risque de longévité pour un montant de quelque 200 millions d’euros, est similaire à celui qui a présidé au lancement des obligations catastrophe. Société Générale espère créer un marché similaire pour le risque de longévité et travaille avec Risk Management Solutions, un fournisseur californien de modèles de risques catastrophe, afin de développer des modèles liés à l’espérance de vie.Un investisseur institutionnel asiatique de premier plan aurait déjà souscrit à ce nouveau véhicule, a indiqué Jeff Mulholland, managing director et responsable des solutions d’assurance et de pension à New York chez Société Générale, il y a quelques jours à l’occasion d’une conférence organisée par Société Générale et le magazine Asia Risk.
L’indice du sentiment «développement durable» des investisseurs institutionnels allemands développé par Union Investment avec le professeur Henry Schäfer (Université de Stuttgart) s’est situé lors de l’enquête effectuée de février à avril 2013 à + 5,41, contre + 4 l’an dernier, sur une échelle allant de - 100 à + 100.Le gestionnaire central des banques populaires allemandes a interrogé 201 investisseurs institutionnels dont l’encours total dépasse les 1.000 milliards d’euros, et 48 % des membres du panel ont indiqué tenir compte des critères de développement durable dans la prise de décision d’investissement, une proportion qui atteint 74 % parmi les 16 % responsables de fondations et d'églises.Globalement, les investisseurs institutionnels se laissent guider par les valeurs de leur entreprise (86 %), mais 56 % des personnes interrogées indiquent vouloir optimiser leur gestion du risque grâce au développement durable. Parmi les actifs «durables», les obligations représentent 45 %, devant l’immobilier (20 %) et les actions (14 %).
Axa Rosenberg vient de lancer en Asie une stratégie globale smart beta, marquant ainsi la volonté de la société de ranimer l’intérêt des investisseurs asiatiques pour la gestion quantitative, rapporte Asian Investor.L’approche d’Axa Rosenberg se distingue de celle de ses pairs dans la mesure où la société fonde ses choix sur une analyse particulièrement détaillée des fondamentaux des entreprises, avec la prise en compte de 200 items.A ce jour, seul le groupe Axa, avec un ticket de 2,5 milliards de dollars, a investi dans cette stratégie, précise le site.
Le groupe de gestion de fortune St James’s Place lance un service de philanthropie en collaboration avec la Charities Aid Foundation (CAF) afin d’accompagner sa clientèle pour faire des donations.Selon St James’s, de nombreux clients souhaiteraient s’engager dans une telle démarche mais renoncent pour de multiples raisons.