Nos articles d’actualité et d’analyse sur les projets d’investissement d’un point de vue macro comme micro, au niveau des entreprises comme des acteurs financiers.
Selon la Bourse de Bucarest, Aberdeen Asset Management est récemment devenu le second actionnaire par importance de la banque BRD, grâce à l’acquisition récente de l’américain Artio, qui détenait 2,6 % du capital. Le gestionnaire écossais contrôle à présent 5,43 % de l’établissement roumain, ce qui représente environ 70 millions d’euros au cours de Bourse actuel. Le plus gros actionnaire de BRD est le français Société Générale, avec 60 %.Le cours de l’action BRD a plongé de 70 % depuis son plus haut de 2008 et la banque a accusé en 2012 sa première perte (de 74 millions d’euros) depuis la privatisation, mais Romania Insider rapporte que William Scholes, assistant investment manager chez Aberdeen, considère toujours BRD comme une banque bien gérée disposant d’un réseau de qualité et dont la valorisation est attrayante.
Caceis et EDHEC-Risk Institute ont annoncé le 28 mai le lancement d’une nouvelle chaire de recherche intitulée «Nouvelles frontières dans l’évaluation des risques et le reporting de performance». Ce partenariat de trois ans fait suite à la précédente chaire de recherche «Risque et régulation dans l’industrie européenne de la gestion collective», déjà menée avec le soutien de Caceis.Dirigée par le Professeur Noël Amenc, Directeur d’EDHEC-Risk Institute et par le Professeur Lionel Martellini, Directeur Scientifique d’EDHEC-Risk Institute, l’équipe de recherche explorera les nouvelles avancées dans la mesure des risques et le reporting. L’objectif est d’identifier, pour le compte des investisseurs institutionnels et des gestionnaires d’actifs, à la fois de nouveaux concepts et des applications innovantes des concepts couramment utilisés dans le monde de l’investissement.La chaire se concentrera sur deux thèmes majeurs:· les conséquences pour le reporting du changement du paradigme conceptuel de l’allocation d’actifs vers l’allocation des risques, de plus en plus présent dans la gestion institutionnelle et la gestion d’actifs. Ce changement conduit à une focalisation non plus sur les catégories d’actifs mais sur les catégories de risques;· une amélioration dans la mesure des risques extrêmes et dans le reporting de gestion des fonds et des portefeuilles institutionnels.
Au total, 87 % des 1.000 Allemands ayant investi au minimum plus de 10.000 euros et participé au sondage Schroders Global Investment Trends 2013, ont l’intention d’effectuer cette année des placements d’un montant égal ou supérieur à celui de 2012 et 66 % pensent qu’Angela Merkel sera reconduite comme chancelière à l’issue des législatives de fin septembre. Parmi ces derniers, 66 % considèrent que cette réélection sera positive pour le Dax et l’Euro Stoxx 50.Seuls 17 % des Allemands interrogés pensent que le candidat du SPD, Peer Steinbrück, sera élu chancelier et seuls 7 % pensent que si ce dernier est élu, cela aura une incidence positive sur le Dax et l’Euro Stoxx 50.Le sondage montre aussi que 76 % des investisseurs allemands ont l’intention de se positionner cette année sur les actions, -une proportion qui peut étonner, puisque les Allemands sont réputés rétifs à l’encontre des actions-, et qu’ils sont plus nombreux que la moyenne mondiale (68 %) à privilégier cette classe d’actifs.Cela posé, la confiance n’exclut pas la prudence : 52 % des Allemands misent sur des investissements peu risqués, même s’ils sont moins rentables, tandis que 33 % préfèrent un risque moyen et que moins de 16 % sont prêt à courir un risque plus élevé pour obtenir un rendement plus élevé également.
L’indice de confiance des investisseurs de State Street pour le mois de mai 2013 s’est établi à 94,8 par rapport au niveau de 93,0 (en données corrigées) enregistré en avril, soit une hausse de 1,8 point."Un changement dans l’appétit pour le risque des institutions en Europe est à l’origine de ce gain, l’indice régional s’inscrivant à 93,3, en hausse de 5,6 points par rapport au résultat de 87,7 obtenu en avril», note State Street. La confiance des institutions en Asie a également augmenté légèrement, passant de 85,2 (en données corrigées) à 86,0. En revanche, après le bond considérable enregistré en avril, la confiance des investisseurs en Amérique du Nord s’est rétractée, l’indice régional terminant le mois à 102,5, en repli de 2,2 points."Les investisseurs institutionnels continuent d’accroître leurs allocations en actifs à haut risque, quoiqu’à un rythme moins rapide qu’observé au premier trimestre, ou dans les dernières semaines d’avril», analyse State Street, qui observe depuis la mi-avril des allocations plus importantes de la part des investisseurs institutionnels vers les marchés émergents.
Le fonds souverain norvégien est désormais le deuxième plus gros investisseur de la banque russe VTB derrière l’Etat, après la privatisation d’une participation de 14 % soit 3,3 milliards de dollars, rapporte le Financial Times.Norges Bank Investment Management a investi environ 700 millions de dollars, selon des personnes proches du dossier, ce qui lui donne une participation de 3,74 %.Deux autres fonds souverains ont participé à l’opération: le Qatar Investment Authority et le State Oil Fund d’Azerbaidjan ont investi environ 500 millions de dollars, soit une participation de 2,9 % chacun.
La zone Europe reste une terre d’investissement bon marché. «Dans les douze à dix-huit prochains mois, l’Europe offrira de meilleures opportunités et de meilleurs rendements que toutes les autres régions de la planète», a estimé le 27 mai Edwin Lugo, senior vice president et gérant de portefeuille chez Franklin Equity Group, de passage à Paris.Au sein de la région, «les meilleures opportunités se trouvent du côté des périphériques», selon Edwin Lugo qui gère des stratégies de petites et moyennes capitalisations. Il évoque notamment la Grèce, l’Irlande et l’Italie, dont beaucoup de sociétés proposent des bilans solides assortis de valorisations très «attractives» et précise être sorti de l’Allemagne, de la Suède ou encore de la Suisse. Du point de vue sectoriel, Edwin Lugo privilégie notamment l’immobilier, la construction ou encore les financières, mais plutôt les compagnies d’assurances, les banques européennes étant encore «très risquées».
Le fonds souverain d’Abou Dhabi, Abu Dhabi Investment Authority, a réduit son allocation d’actifs minimum à l’Europe de 25 % à 20 % afin d’investir davantage dans les pays émergents, rapporte le Financial Times. Il s’agit de la première diminution depuis qu’il a commencé à publier son rapport annuel il y a quatre ans.
Le portugais Caix Geral et le fonds Anchorage ont rejeté vendredi le refinancement d’un crédit de 230 millions d’euros contracté par l’espagnol La Seda, rapporte El Confidencial, ajoutant que ces deux protagonistes se comportent comme des vautours. Il aurait fallu 75 % des voix pour que La Seda puisse convertir sa dette en capital, mais Anchorage détient une part de 37 % dans le crédit et Caixa Geral en a apporté 25 %.L'établissement public portugais s’est de plus allié à la banque portugaise BCP, dont la participation au crédit est de 10 %, et avec BA Vidrio, qui est à l’origine de 20 % du crédit. Caixa Geral est par ailleurs actionnaire à 15 % de La Seda.Selon El Confidencial, Caixa Geral pourrait avoir voulu faire pression en faveur d’une cessation de paiement pour obtenir à prix sacrifié les 41 % que détient La Seda dans l’usine Artlant Pta à Sines (Portugal).Anchorage, pour sa part, s’engage à augmenter le capital de La Seda de 40 millions d’euros au moyen d’un crédit «supersenior bullett» sur huit ans et trois mois, nanti sur des actions La Seda.
Selon El Confidencial, le fonds vautour Lone Star tente de négocier auprès de Sacyr l’acquisition de la société immobilière Vallehermoso pour un euro symbolique, plus la dette.Vallehermoso intéresserait aussi Fortress, Cerberus, Centerbridge et Baupost.
L’investissement dans les classes d’actifs alternatives, tel que le private equity ou les hedge funds, a la cote auprès des institutionnels. Dans sa dernière édition (*) Preqin note que ce sont les family offices qui ont l’allocation la plus exposée avec en moyenne 24,5 % de leur portefeuille investi en private equity. Cette exposition a significativement augmenté au cours des dernières années, note Preqin. En 2010, elle n'était encore que de 18,1 %. Elle demeure toutefois légèrement plus faible que l’exposition moyenne de 2011 (24,9 %) et 2012 (24,7 %). A titre de comparaison, les fonds de dotations, comme celui de l’Université de Yale par exemple, sont exposés en moyenne à 12,9 % à cette classe d’actifs en 2013, contre 12,2 % l’an dernier ou 11 % en 2011. En 2009, l’allocation moyenne a private equity se situait à 8,3 % pour ce type d’investisseurs institutionnels. Concernant les hedge funds, ce sont encore les family offices qui demeurent les investisseurs les plus attirés vers cette classe d’actifs, avec en moyenne 19,1 % de leur allocation qui y est dédiée en 2013. Les family offices ont fortement revu à la hausse leur exposition aux fonds alternatifs en un an, l’exposition moyenne en 2012 se situant à 16,6 %. Les fondations ont également poussé leur exposition aux hedge funds, la passant de 16,6 % en 2012 à 17,3 % en 2013. Les encours des hedge funds ont également bénéficié selon Preqin d’un intérêt de plus en plus fort de la part des fonds de retraite du secteur privé, qui l’ont fait passer de 7,2 % en 2009 ou 9,3 % en 2012 à 9,6 % cette année. Les encours gérés au sein des hedge funds se montent à 2.300 milliards de dollars. A l’avenir, les institutionnels souhaitent donner encore plus de place à l’alternatif dans leurs portefeuilles. 80 % des sondés par Preqin indiquent ainsi vouloir maintenir ou renforcer leur allocation au private equity au cours des douze prochains mois. La même proportion souhaite maintenir au renforcer son exposition aux hedge funds. (*) Edition 2013 Preqin Investor Network Global Alternatives Report.
Axa Private Equity et le conglomérat chinois Fosun ont annoncé le 27 mai leur intention de déposer un projet d’offre amicale d’achat sur Club Méditerranée, dont ils sont les deux principaux actionnaires.L’opération, à laquelle sont associés les dirigeants du groupe, se fera au prix de 17 euros par action, ce qui représente une prime de 28,4% par rapport au cours moyen du titre pondéré sur un mois, précisent-ils dans un communiqué. Cette offre valorise le groupe de tourisme à 540,6 millions d’euros, à comparer à sa valorisation au cours actuel de 435,6 millions d’euros.Le conseil d’administration de Club Med, prenant note dans un communiqué distinct du caractère amical de l’opération, a repoussé son avis motivé à plus tard.Le projet d’offre «permettrait d’offrir à l’ensemble des actionnaires de la société une liquidité immédiate, qui valorise la montée en gamme du groupe», précisent les initiateurs de l’offre, soulignant que Club Med doit passer à une nouvelle phase de développement dans un contexte difficile pour le tourisme en Europe.En cas de succès de l’offre, les participations détenues par Axa Private Equity, Fosun, et Henri Giscard d’Estaing, représentant environ 19,33% du capital et 24,87% des droits de vote, ainsi que 7,5% des OCEANEs en circulation, seraient ainsi apportées en nature ou cédées à l’initiateur.L’initiateur de l’offre précise qu’il envisage de retirer l’action Club Med de la cote s’il obtient 95% du capital. Fosun est actuellement le premier actionnaire de Club Med avec 9,96%, tandis qu’AXA PE détient 9,4%.
L’association de consommateurs foodwatch se félicite dans un communiqué que la DZ Bank lui ait annoncé par un courrier du 13 mai 2013 qu’avec sa filiale de gestion Union Investment elle se retire complètement de la spéculation sur les matières premières agricoles.Foodwatch indique que Lars Hille, membre du directoire de la DZ Bank, se prononce par ailleurs en faveur d’une régulation sévère des marchés de matières premières agricoles, en particulier grâce à l’introduction de limites de positions efficace sur les Bourses ou sur les plates-formes de compensation. Cela devrait permettre de réduire le nombre de contrats négociés sur les marchés à terme pour éviter des excès de spéculation. Le banquier milite aussi en faveur de mesures de transparence pour faire appliquer ces limites également aux marchés hors cote (OTC).
L’Eglise anglicane attend des gérants des fonds dans lesquels sont investis ses 5,2 milliards de livres une performance de 500 points de base supérieure à celle de l’inflation, pour pouvoir élargir sa base financière, payer les retraites de ses salariés et soutenir les paroisses qui en ont besoin, indique la Frankfurter Allgemeine Zeitung. En 2012, la performance du portefeuille actions mondiales a été de 15,1 %, celle du portefeuille d’actions britanniques de 16 %. Au total, les placements ont généré un gain de 9,7 %, soit davantage que les 8,1 % visés.Pour parvenir à ce résultat, la «Church of England» a doublé à 10 % l’allocation aux hedge funds. Elle compte confier davantage de capitaux tant aux hedge funds qu’au private equity, mais dans le respect des règles éthiques de son comité d’investissement EIAG. Elle condamne ainsi les ventes à découvert, milite pour l’exclusion (pornographie, armes, tabac, jeux de hasard, alcool, usure) et pratique l’engagement pour exercer une pression éthique sur une quarantaine de groupes dans lesquelles est investie, notamment dans les matières premières, les banques et l’énergie. Elle s’efforce de faire accepter de meilleurs accords sur les bonus et un meilleur respect de l’environnement.
Selon Funds People, les cessions des plates-formes immobilières des caisses d’épargne, de Bankia, Novagalicia et Catalunya Banc se précise; les établissements concernés ont déjà prix contact avec des banques d’investissement et des capital-investisseurs comme les fonds de Morgan Stanley, Cerberus, NorthLink, Fortress ou Apollo sont disposés à soumissionner pour ces actifs des établissements nationalisés.Par ailleurs la «bad bank» Sareb est en train de négocier la première grande vente d’un portefeuille de logements à un groupe de fonds d’investissement. Les actifs, qui pourraient être vendus pour 200 millions d’euros, sont principalement situés en Andalousie et à Valence. Les acquéreurs sont notamment Apollo Global Management, Colony Capital et le milliardaire américain Wilbur Ross.
La banque suisse UBS va rencontrer la semaine prochaine des représentants de Knight Vinke Asset Management, la société d’investissements britannique qui réclame sa scission, rapporte vendredi le Wall Street Journal.Un investisseur activiste qui prône en faveur d’un démembrement d’UBS Ag va rencontrer des dirigeants de haut niveau de la banque suisse la semaine prochaine, affirme le quotidien financier américain, qui cite une source proche du dossier.Selon le Wall Street Journal, les représentants de la société britannique Knight Vinke doivent rencontrer Tom Naratil, le directeur financier de l'établissement suisse.La rencontre de la semaine prochaine est préliminaire et n’est pas nécessairement un signe que l'équipe dirigeante d’UBS est disposée à l'égard des propositions de Knight Vinke, précise cependant le Wall Street Journal.Le 2 mai, Eric Vinke, le fondateur et directeur général du fonds activiste, avait publié une lettre ouverte aux actionnaires dans laquelle il a appelé la banque à se séparer ses activités de gestion de fortune et de banque d’investissement, estimant que cette dernière avait affaibli la réputation de l'établissement.La société Knight Vinke détient, selon ses données, une participation de 1% dans UBS, la plus grande banque de Suisse.
La perspective d’une normalisation de la politique monétaire américaine commence à préoccuper les investisseurs. Compte tenu du redressement progressif de l'économie américaine, la Réserve fédérale américaine pourrait prochainement décider de mettre fin à sa politique d’assouplissement quantitatif qui a contribué au premier trimestre à la vigueur des marchés actions.Malgré ces inquiétudes, les fonds actions ont enregistré une collecte nette de 7,49 milliards de dollars durant la semaine au 22 mai, selon les statistiques communiquées par EPFR Global qui relève toutefois un essoufflement de l’intérêt pour les fonds d’actions japonaises, même si les souscriptions libellées en euros dans ces fonds ont atteint leur plus haut niveau depuis 75 semaines.Les fonds obligataires ont terminé la semaine au 22 mai sur une collecte nette de 4,49 milliards de dollars tandis que les fonds monétaires collectaient un peu plus de 16 milliards de dollars.
L’Employees Provident Fund (EPF), le fonds de pension public de la Malaisie, l’un des plus importants de la région Asie-Pacifique avec des actifs sous gestion de quelque 177 milliards de dollars, a augmenté son exposition à l’international à 17,55% contre 14% un an plus tôt, rapporte Asian Investor.Le fonds souverain a notamment investi 1,3 milliard de dollars dans l’immobilier, l’obligataire et les actions internationales.
Le gérant de fortune zougois Partners Group a annoncé le 22 mai avoir émis un financement «mezzanine» pour un projet immobilier au Royaume-Uni. Le prêt est destiné à la rénovation et au développement du site résidentiel et commercial Heyford Park à Oxfordshire.Le site, où résident 800 personnes et qui compte 1000 employés, comprend 1,4 million de m2 de surface commerciale et 312 logements, précise un communiqué. Dorchester Group a acquis le site en 2009 et va continuer à l’administrer. L’objectif est de rénover les logements existants et de créer 750 nouveaux logements, ainsi que de louer les surfaces commerciales.
Le fournisseur d’ETF Lyxor Asset Management développe sa gamme d’ETF à réplication physique en adoptant ce mode de réplication pour sept Ucits ETF qui répliquent les indices EuroMTS Investment Grade. Lyxor va ainsi se renforcer sur deux de ses priorités stratégiques : le développement de la gamme d’ETF physiques et le développement de l’offre obligataire."Pour chaque indice sous-jacent, Lyxor définit la structure de fonds qui optimise la performance de l’investissement par rapport à l’indice», souligne un communiqué de Lyxor. Chaque fonds sera investi directement dans des obligations souveraines de qualité investment grade d'échéances diverses émises dans la zone euro qui constituent les indices EuroMTS Investment Grade Government respectifs, sans l’utilisation de techniques d’échantillonnage, afin d’obtenir la corrélation la plus élevée possible avec la performance de l’indice. Le processus de gestion exclura toute opération de prêt de titres, ce dernier n’apportant pas dans ce cas suffisamment d’amélioration de performance pour l’investisseur pour justifier un risque de contrepartie. Lyxor souhaite en effet proposer à ses clients la solution qui présente le meilleur profil risque/rendement. Lire la liste des ETF concernés ci-joint.
Le Fonds stratégique d’investissement (FSI) a annoncé le 23 mai s'être renforcé au capital du groupe néerlandais Constellium à l’occasion de l’introduction à la Bourse de New York de l’entreprise issue de l’ancien fleuron industriel français Pechiney et spécialisée dans les produits en aluminium.Le FSI précise avoir ainsi porté sa participation dans l’entreprise à 12,5% contre 9,4% précédemment. Constellium s’est introduit hier sur le New York Stock Exchange au prix de 15 dollars (11,62 euros environ) par action. Ses actions sont aussi cotées sur Euronext Paris mais disponibles uniquement sur le segment professionnel de la Bourse de Paris.