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Le luxembourgeois Alceda Fund Management, spécialiste de l’administration de fonds (5,4 milliards d’euros) a annoncé le 24 juillet avoir conclu avec l’américain Afina Holdings de Philadelphie un partenariat stratégique visant à la fois à commercialiser les stratégies d’investissement de gestionnaires de fonds d’autres régions du monde sur le marché latino-américain sous forme de produits coordonnées et à accueillir des gestionnaires d’actifs latino-américains intéressants sur la plate-forme Alceda UCITS Platform (AUP).Dans ce processus, Afina fournira son assistance pour la choix et la construction du véhicule d’investissement idoine ainsi que pour l’entrée sur tous les marchés latino-américains importants.Alceda souligne que plusieurs fonds de pension latino-américains sont potentiellement intéressés par un accès au marché des fonds coordonnés. Le fonds de pension public chilien a déjà investi 80 % de ses 150 milliards de dollars en produits conformes à la directive OPCVM. D’autres fonds de pension disposent de ressources importantes dans la région, notamment au Pérou, en Colombie, au Mexique et au Brésil, où la part des investissements locaux est encore prédominante.
Pour 128,5 millions d’euros, le fonds Magic Real Estate de Blackstone a remporté les enchères sur un portefeuille de 1.860 logements locatifs mis en vente par la société immobilière municipale de Madrid, EMVS. Les contrats des locataires sont «protégés» pour dix ans, rapporte Expansión.
Cotizalia indique que BlackRock, qui vient de franchir le seuil des 3 % chez Ferrovial, a porté sa participation dans l’espagnol Cie Automotive à 4,48 % en achetant le 12 juillet la participation détenue par Portobello pour 29 millions de dollars. Au cours de lundi (6 euros par action Cie Automotive), la participation de BlackRock se monte à plus de 30 millions d’euros.
Durant la semaine du 17 juillet, les fonds d’actions suivis par EPFR Global ont drainé en net 19,7 milliards de dollars, ce qui porte à 38 milliards de dollars leur collecte depuis le début du mois, tandis que les fonds obligataires n’ont remboursé que 670 millions de dollars, selon les statistiques d’EPFR global .Les rumeurs de «grande rotation» commencent à refaire surface, parce que les fonds obligataires ont subi des sorties supérieures à 100 milliards de dollars depuis le début juin.Pour expliquer ces mouvements, EPFR Global avance l’hypothèse que les investisseurs ont de nouveau osé rêver d’une reprise cyclique tirée par les Etats-Unis, avec des banquiers centraux américains qui continuent d’insister sur le fait que la fin de l’assouplissement quantitatif sera décidée sur le vu de données concrète et non d’un calendrier pré-établi.Durant la semaine sous revue, les fonds d’actions européennes ont enregistré leurs plus fortes souscriptions nettes depuis cinq ans tandis que les montants alloués aux fonds d’obligations à haut rendement américaines retrouvaient un niveau qu’ils n’avaient plus connu depuis octobre 2011.Au demeurant, les espoirs d’une reprise soutenue par l’assouplissement quantitatif ne sont pas demeurés confinés à aux fonds de valeurs américaines. Les investisseurs, notamment institutionnels, continuent d’acheter des valeurs liées au plan de relance massif lancé par le Japon. De plus, ils ont l’impression que le pire pourrait maintenant être passé pour l’Europe.
Un sondage réalisé par Cerulli Associates auprès de gestionnaires d’actifs américains montre que 42 % de ces derniers estime que la clientèle institutionnelle est la plus importante pour eux tandis que pour 24 % elle est plus importante que les autres.Malgré ce que les gestionnaires reconnaissent être un basculement séculaire en faveur des stratégies de beta, ces professionnels se rendent compte que les investisseurs institutionnels ont aussi besoin d’alpha. Et ces stratégies davantage margées peuvent aider les gestionnaires à contrer la pression sur les commissions éananant des stratégies passives.Cindy Zarker, directeur chez Cerulli Associates, souligne que les gestionnaires d’actifs pensent que la demande en provenance des investisseurs institutionnels comme du retail pour des produits alternatifs liquides continueront d’alimenter la hausse de l’encours des mutual funds. Ils estiment que, dans dix ans, la part des mutual funds alternatifs à l’encours total des mutual funds atteindra 13,6 % contre 2,2 % à la fin de 2012.Cerulli constate par ailleurs que la concurrence incite les gestionnaires à adopter une approche plus souple pour satisfaire les besoins de chaque client institutionnel, afin d’obtenir de nouveaux mandats. Et aussi que lorsqu’ils mettent au point de nouveaux produits pour s’adapter à l'évolution de la demande des investisseurs institutionnels, les développeurs de produits ont recours à une gamme plus vaste de structures.
Suite à la récente nomination de son nouveau CEO Choi Kwang, la fonds de pension sud-coréen NPS va lancer une série d’appels d’offres pour renouveler un certain nombre de contrats avec des conservateurs, pour différentes classes d’actifs, indique Asian Investor.
Citant le cas de Foundation Capital Partners, un capital-investisseur qui a réuni 2 milliards de dollars, dont un milliard provenant d’un fonds souverain, The Wall Street Journal rapporte que de gros investisseurs s’intéressent à nouveau aux hedge funds, non pas en tant que clients, mais en tant qu’acquéreurs.C’est aussi le cas d’Affiliated Managers Group, d’AMG, de Blackstone Group, de Neuberger Berman Group et de KKR, par exemple.L’objectif n’est pas seulement de profiter de la bonne performance de gérants confirmés, mais de percevoir une partie des commissions élevées que facturent ces hedge funds.
Le Handelsblatt rapporte que l’introduction en Bourse de la société allemande d’immobilier résidentiel Gagfah a été un succès pour l’actionnaire majoritaire, Fortress, qui a réussi à réduire sa participation à 48,2 % contre 60,8 % mais pas pour la Deutsche Bank et Goldman Sachs, membres du consortium de placement, qui sont restées avec respectivement 6,4 % et 6,3 % du capital de Gagfah sur les bras.Ce genre de mésaventure n’est pas rare, lorsque les banques du consortium ont mal évalué la demande ou fixé un prix trop élevé. Mais rester avec plus d’un tiers de titres invendus est vraiment un échec. La Deutsche Bank s’est attirée des critiques parce qu’elle a lancé le placement d’actions Gagfah le jour même où elle menait la seconde tentative pour introduire Deutsche Annington, un concurrent de Gagfah.
Selon Les Echos, les fonds souverains restent prudents. En 2012, ils ont réalisé 270 opérations d’acquisition d’actions cotées, soit un montant de 58,4 milliards de dollars, selon les données du Sovereign Investment Lab de la Università commerciale Luigi Bocconi. Si le nombre de transactions a augmenté de 14 % sur un an, elles ont diminué de 30 % en valeur.Les Echos soulignent qu’un peu plus de 1 dollar sur 2 a été dépensé dans les pays développés, soit 33 milliards de dollars. «La réorientation progressive des fonds des pays développés vers les pays émergents, amorcée depuis trois ans, s’est poursuivie : le poids des émergents a grimpé de 8,5 % à 13 % du total de leurs investissements entre 2011 et 2012. Le poids des BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) a légèrement reculé de 29,2 % à 26 %», souligne le quotidien.
La dernière enquête de Bolsas y Mercados Españoles sur la détention des actions espagnoles fait ressortir que la part des ménages a augmenté en 2012 de 4 points de pourcentage à 25,1 %, mais surtout que les fonds étrangers détiennent beaucoup plus de titres que les fonds espagnols.Au total, les investisseurs non résidents détenaient au 31 décembre 2012 quelque 39,2 % des actions des sociétés espagnoles cotées. Les 9.000 fonds d’investissement et de pension espagnols et étrangers contrôlaient pour 71,9 milliards d’euros d’actions espagnoles dont 20,7 milliards pour les fonds américains et 12,15 milliards pour les fonds français. En d’autres termes, les fonds américains possédaient en fin d’année dernière quatre fois plus d’actions espagnoles que leurs homologues espagnols. Dans le cas des français, cela représente plus du double des 5,05 milliards des fonds espagnols.Les principaux gestionnaires étrangers détenteurs d’actions espagnoles* sont Norges Bank investment Management (6,73 milliards d’euros), BlackRock UK (4,46 milliards), Lyxor (3,43 milliards), BlackRock US (2,86 milliards), Vanguard (2,75 milliards) et Natixis AM (2,13 milliards). Amundi se classe dixième, avec 1,51 milliard.* http://www.bolsasymercados.es/asp/doc.asp?id=esp&doc=/aspx/BME/Prensa/NotaPrensa.aspx?id=esp&fecha=20130716&tipo=notas&fich=nota_20130716_1
Le Canada Pension Plan Investment Board (Office d’investissement du régime de pensions du Canada, 183 milliards de dollars canadiens) va investir 179 millions de livres dans une participation de 50 % d’un portefeuille de huit immeubles de bureaux dans le centre de Londres qui appartiennent au BT Pension Scheme (38,7 milliards de livres) et qui sont gérés par Hermes Real Estate Investment Management, rapporte Funds Europe.
Dans le cadre de sa gamme MSCI hedging & currency indices, MSCI a annoncé le 16 juillet le lancement de nouveaux produits, les MSCI Daily Hedged qui répliquent la performance d’un indice d’actions MSCI «parent» dont le risque de change serait ramené à celui d’un unique «pays de résidence». En d’autres termes, la méthodologie vise à réduire l’effet sur la performance des fluctuations des taux de change sur l’indice «parent».Les indices MSCI Daily Hedged visent à couvrir le risque de change de l’indice à l'échelon de la monnaie de référence (home currency) en «vendant» à terme chaque jour la devise au taux à temre TN (Tomorrow Next).
«Ce qui a changé ces deux dernières années, c’est que l’allocation a un peu évolué. Dans notre gestion taux, nous avons réalloué une poche au crédit de catégorie investissement, qui représente désormais 20 % de l’encours», a indiqué à Newsmanagers Jean-Luc Vitré, directeur des placements financiers du Régime social des Indépendants (RSI).L’encours au 21 juin ressortait à 13,5 milliards d’euros ; il était de 12,8 milliards fin 2012 et de 11 milliards environ en avril 2011, 70 % de ce montant sont délégués et 30 % gérés en direct, ce qui concerne les obligations souveraines et, pour 11 %, l’immobilier. La majorité des encours délégués se trouve dans des fonds dédiés ; pour les obligations convertibles, «nous avons opté pour des fonds ouverts», indique le manager.Interrogé sur l'évolution de la stratégie d’investissement du RSI, Jean-Luc Vitré explique : «Nous avons cherché à rendre le portefeuille plus convexe, notamment en arbitrant du risque actions avec les obligations convertibles, qui pèsent environ 450 millions d’euros. Par ailleurs, nous avons investi en actions européennes, japonaises (3 %) et américaines (5 %). Nous ne sommes pas autorisés à investir en actions émergentes mais dans les pays de l’OCDE qui ne sont pas «off limits», il y a des pays qui ont un profil «émergent» comme la Corée du Sud, le Chili et le Mexique».Pour l’instant, le RSI n’a pas investi en hedge funds et l'équipe de gestion trouve que le private equity est trop cher, tout en liant les capitaux sur une longue période, alors que le RSI est comptable de l’argent public que représentent les cotisations de ses affiliés."Nous ne sommes pas pour le moment positionnés non plus sur les OPCI, lesquels par ailleurs ne figurent pas dans le décret d’octobre 2002 qui nous régit. Concernant le haut rendement, nous «regardons» très sérieusement, mais je vous rappelle que nous ne faisons que des produits que nous comprenons», conclut Jean-Luc Vitré.
La dernière livraison du Fund manager survey (FMS) de Bank of America Merrill Lynch réalisé du 5 au 11 juillet auprès de 238 gestionnaires institutionnels avec un total de 643 milliards de dollars fait ressortir un optimisme record en faveur du dollar tandis que l’augmentation des balances en numéraire envoie un signal contrarian d’achat sur les actions. En fait, 83 % en net des personnes interrogées s’attendent à une hausse du dollar sur les douze prochains mois. Les investisseurs en actions sont longs sur les paris dollar fort (actions américaines et japonaises) et courts sur les paris dollar faible (matières premières et actions émergentes).La poche de cash s’est accrue en moyenne à 4,6 % contre 4,3 % tandis que l’exposition nette des hedge funds a diminué alors que les allocateurs d’actifs ont augmenté leur poche actions et réduit leur exposition aux obligations à un plus bas de deux ans. De plus, les gestionnaires conservent une nette sous-pondération des matières premières.Aux actions, le secteur préféré est celui des technologiques, alors que celui des utilities est le moins «populaire». Les investisseurs ont réduit leur exposition aux banques et aux biens de consommation courante, qui supportent la plus forte sous-pondération de ces deux dernières années.
L’allemand Commerzbank (Coba) annonce avoir cédé avec une décote de seulement 3,5 % son portefeuille de crédits immobiliers professionnels de 5 milliards d’euros à un consortium constitué par Wells Fargo et Lone Star. Cette transaction couvre l’ensemble des activités de financement immobilier d’Hypothekenbank Frankfurt au Royaume-Uni et les salariés rejoignent Wells Fargo.
Le comité du Natur-Aktien-Index (NAI) allemand a décidé d’exclure la chaîne Starbucks de la composition de l’indice, parce que la société recourt à des artifices lui permettant de se soustraire à l’impôt, ce qui va à l’encontre des principes d’une gestion conforme au développement durable, a indiqué Horst Hamm, président du comité. Le NAI reconnaît toutefois que Starbucks demeure très engagé dans la promotion du café écologique.Starbucks est remplacé dans le NAI par le grossiste en café Green Mountain Coffee, qui s’implique dans le domaine du café biologique et du commerce équitable. Green Mountain, qui emploie 5.800 personnes, a réalisé en 2012 un chiffre d’affaires de 3,8 milliards de dollars. Sa part du marché équitable du café et du café biologique aux Etats-Unis se situe à environ 10 %.Le comité du NAI a parallèlement annoncé que le britannique Kingfisher va faire son entrée dans l’indice parce que ce groupe de bricolage se distingue par les solutions économes en ressources et faiblement consommatrices d’énergie. Kingfisher remplace le distributeur d’eau autrichien BWT, qui vient d’être acheté par une autre société.
“Largement en raison de l’abaissement de la note souveraine de la France” en fin de semaine dernière, l’agence Fitch Ratings a dégradé lundi à AA+ contre AAA précédemment celle de la Facilité européenne de stabilité financière (European Financial Stability Facility).
Le 12 juillet, Fitch Ratings a abaissé à la note long terme de la dette souveraine française en monnaie locale et en devises à AA+ contre AAA, tout en maintenant la perspective à stable. Le pays avait déjà perdu son AAA chez S&P et Moody’s l’an dernier.Parmi les motifs de cette dégradation, l’agence de notation mentionne le fait que le ratio dette/PIB de la France devrait à présent toucher un plus haut de 96 % en 2014, au lieu des 94 % projetés en décembre. De même, Fitch prévoit que le ratio ne tomberait pour 2017 qu’à 92 % au lieu des 90 % anticipés précédemment.L’aléa de la projection budgétaire est principalement négatif compte tenu des perspectives de croissance incertaines et de la persistance de la crise de la zone euro, même en supposant qu’il n’y ait pas de flottement dans la mise en œuvre du redressement budgétaire.D’autre part, l’activité économique et les prévisions sont substantiellement plus faibles que lorsque Fitch a révisé la perspective à négative en décembre 2011.
«Actuellement, nous avons atteint à Paris les 2,7 milliards d’euros d’encours (dont environ 50 % en fonds de convertibles), grâce notamment à 800 millions de souscriptions nettes depuis le début de cette année, les souscriptions brutes ayant porté sur environ 900 millions d’euros. A titre de rappel, les actifs gérés se situaient fin mai 2012 à 1,5 milliard d’euros», a indiqué à Newsmanagers Frédéric Cruzel, directeur de la clientèle française de Lombard Odier Investment Managers (LOIM).La collecte s’est effectuée à 80 % sur des fonds ouverts , et à 80 % sur les convertibles internationales . Le fait d’avoir remporté l’appel d’offres de l’ERAFP dans cette classe d’actifs «a bien sûr été un des catalyseurs des succès futurs, mais notre atout numéro un est la notoriété de notre équipe et sa constance en terme de philosophie d’investissement», insiste le manager.LOIM a également bien vendu certains produits obligataires comme la dette émergente en monnaies locales qui, grâce à son approche fondamentale, a atténué le choc qui a affecté cette catégorie d’actifs , ainsi que la stratégie «crossover» ou «5B» .Côté actions, le gestionnaire helvétique a connu du succès principalement avec LOF Golden Age. Les prochaines priorités dans ce domaine sont d’une part le LOF Europe High Conviction, un fonds concentré de 38 lignes hors financières et matières premières dont les résultats ont déjà permis à l’actif de passer de 150 à 450 millions d’euros en deux ans et demi depuis son lancement. Et, d’autre part, le LOF Emerging Consumer qui est géré par Didier Rabattu. Lancé fin 2010, ce fonds dont l’encours est de 640 millions a vocation à être fermé lorsqu’un milliard de dollars sera atteint.Plus généralement, l’accent sera mis dans les mois à venir sur la gestion par le risque (avec la gamme risk parity) et la performance absolue de type global macro. LOIM a d’ailleurs recruté trois personnes pour renforcer la gestion du fonds LOF Tactical Alpha, un fonds coordonné global macro (275 millions de dollars), dont l’idée est de scinder en trois horizons de temps les budgets de risques, la poche moyen terme devenant prépondérante dans la nouvelle version.
Le taux de chômage aux Etats-Unis demeurant 60 points de base au-dessus du niveau perçu comme étant le déclencheur du ralentissement des achats d’obligations par la Réserve fédérale américaine, les investisseurs on tourné en partie leurs regard sur la saison des résultats des entreprises pour le deuxième trimestre, qui a commencé début juillet, constate, EPFR Global. L’optimisme quant aux perspectives pour les sociétés américaines et japonais ainsi que pour certain groupes européens ont permis aux fonds d’actions américaines et européennes d’afficher leurs plus fortes souscriptions nettes depuis respectivement le troisième trimestre 2011 et le deuxième trimestre 2012, cependant que les fonds d’actions japonaises ont poursuivi le mouvement de collecte entamé à la mi-janvier.Au total, les fonds d’actions suivis par EPFR Global ont enregistré durant la semaine du 10 juillet des rentrées nettes de 13,6 milliards de dollars, la demande du retail se situant à son niveau le plus élevé depuis 21 semaines. Les fonds obligataires ont accusé pour leur part des sorties nettes de 2,69 milliards de dollars. Quant aux fonds monétaires, ils ont drainé 34 milliards de dollars, le montant le plus élevé depuis 27 semaines, les produits américains contribuant pour plus des deux tiers à cette collecte.EPFR Global remarque également que les fonds d’actions et d’obligations émergentes ont subi des remboursements nets supérieurs à 3 milliards de dollars au total pour la cinquième fois sur les six dernières semaines.