Le groupe, promu au SBF 120, a connu une croissance fulgurante. Gianbeppi Fortis, son président du directoire, dévoile pour l'Agefi-Dow Jones ses perspectives.
Dans le cadre de son plan stratégique « Succeed Together 2024 » dévoilé ce matin, MND, spécialiste de la mobilité par câble, des systèmes d’enneigement et de la sécurité en montagne, se réorganise autour d’une seule marque – MND – et d’interlocuteurs commerciaux redéployés de manière transverse dans chaque pays où le groupe opère.
General Electric a annoncé aujourd’hui son intention de restructurer deux divisions en Europe, celle des équipements pour barrages (Hydro) et pour réseaux électriques (Grids), qui « génèrent des pertes financières importantes ». «Afin de permettre à ces divisions de retrouver une situation financière viable, elles ont chacune présenté un projet de transformation au comité d’entreprise européen», a expliqué le groupe américain dans un communiqué, sans précisions à ce stade sur des suppressions de postes, chiffrées à 764 en France par le quotidien Libération.
Veolia s’apprête à reprendre Pražská Teplárenská - PT, filiale du groupe tchèque Energetický a Průmyslový Holding a.s, en charge du réseau de chauffage urbain de Prague Rive Droite. Veolia exploite déjà le réseau de Prague Rive Gauche. Cette reprise d’actifs représentera à terme pour Veolia un chiffre d’affaires annuel estimé à 230 millions d’euros. L’impact global sur la dette nette du groupe devrait être neutre
Les commandes à l’industrie allemande ont ralenti en ne progressant que de 2,8% en juillet, après le bond de 28,8% (révisé) en juin, selon l’Office fédéral des statistiques. Un ralentissement supérieur à ce qui était prévu, et qui atténue l’espoir d’une très forte reprise de l’Allemagne au troisième trimestre. D’autant que les indicateurs de sentiment (PMI manufacturier et climat des affaires ifo) se sont moins améliorés que dans les services à cause d’une reprise mondiale inégale et ralentie, rappelle Stefan Schilbe, chef économiste Allemagne de HSBC. En attendant, les commandes extérieures ont progressé de 14,4% en juillet, alors que celles sur le marché national ont reculé de 10,2%.
La chancelière allemande Angela Merkel a fait face dimanche à une pression croissance pour reconsidérer le projet de gazoduc Nord Stream 2 avec la Russie suite à l’empoisonnement de l’opposant russe Alexeï Navalny. La ministre allemande de la Défense, Annegret Kramp-Karrenbauer, a indiqué que les répercussions sur le projet de gazoduc, qui doit permettre d’acheminer du gaz de la Russie vers l’Allemagne, dépendraient de l’attitude de Moscou sur le dossier Navalny. Alexeï Navalny a été transporté par avion en Allemagne pour y être hospitalisé. Le gouvernement allemand a dit détenir la preuve qu’il a été empoisonné. Moscou assure n’en n’avoir vu aucune preuve. Cette affaire a amené plusieurs responsables conservateurs à demander la suspension du projet, projet colossal et presque achevé. Angela Merkel, qui soutient le projet, a dit que le chantier Nord Stream 2 devait être dissocié de l’affaire Navalny.
Les commandes à l’industrie allemande ont ralenti en ne progressant que de 2,8% en juillet, après le bond de 28,8% (révisé) en juin, selon les données publiées vendredi par l’Office fédéral des statistiques. Un ralentissement supérieur à ce qui était prévu, notamment par les consensus qui anticipaient une augmentation de 5%, et qui atténue l’espoir d’une très forte reprise de la première économie européenne au troisième trimestre. D’autant que les indicateurs de sentiment (PMI manufacturier et climat des affaires ifo) se sont moins améliorés que dans les services à cause d’une reprise mondiale inégale et ralentie, rappelle Stefan Schilbe, chef économiste Allemagne de HSBC.
Sur les 100 milliards d'euros du plan dévoilé hier par Jean Castex, les deux tiers iront à l'amélioration de la compétitivité et aux secteurs «d'avenir».
Le cimentier Lafarge rejetterait délibérément des particules de ciment à Paris, d’une part directement dans la Seine, via une de ses centrales de béton, dans le quartier de Bercy, d’autre part au pied du Pont Mirabeau, pointait mercredi Europe 1. Selon Europe 1, l’Office français de la biodiversité (OFB) a porté plainte, et l’affaire a été transmise à la justice pour d'éventuelles poursuites. Contactée mardi par Le Figaro, l’entreprise Lafarge explique y voir «un accident exceptionnel provoqué par un acte malveillant, pour lequel nous déposons plainte aujourd’hui» et «il est donc faux d’accuser notre entreprise de rejets qui pourraient être volontaires». La mairie de Paris a indiqué vouloir saisir le procureur de la République pour «ces faits graves qui portent atteinte à notre environnement», ajoute-t-elle.
Unilever a l’intention d’investir un milliard d’euros pour abandonner complètement les produits chimiques dérivés de combustibles fossiles pour ses produits d’entretien et de nettoyage d’ici 2030. Il compte remplacer ce carbone issu de combustibles d’origine fossile par du carbone renouvelable ou recyclé. Il a fixé un objectif de zéro émission pour ses produits d’ici 2039. Les produits chimiques utilisés dans les produits d’entretien et de nettoyage du groupe représentent 46% des émissions de carbone de la division Home Care durant leur cycle de vie, ce changement devrait permettre de réduire d’un cinquième l’empreinte carbone desdits produits.
Le spécialiste des gaz industriels Air Liquide a annoncé mercredi la signature d’un accord de long terme avec Eastman Chemical portant sur la fourniture de volumes supplémentaires d’oxygène, d’azote et de gaz de synthèse sur le site de produits chimiques de Longview, au Texas. Air Liquide investira plus de 160 millions de dollars (135 millions d’euros) pour moderniser ses actifs existants sur le site et y construire une nouvelle unité de séparation des gaz de l’air ainsi qu’une unité d’oxydation partielle, a précisé le groupe dans un communiqué. Ces deux unités devraient être opérationnelles à la fin 2021.
Unilever a l’intention d’investir un milliard d’euros pour abandonner complètement les produits chimiques dérivés de combustibles fossiles pour ses produits d’entretien et de nettoyage d’ici 2030. Il compte remplacer ce carbone issu de combustibles d’origine fossile par du carbone renouvelable ou recyclé. Il s’agit d’une étape cruciale vers son objectif de zéro émission pour ses produits d’ici 2039.
Suez a conclu un accord avec AMP Capital, UniSuper et Macquarie Prism pour la cession de 4,8 % du capital d’AquaSure, le partenariat public-privé assurant l’exploitation de l’usine de dessalement de l’État de Victoria en Australie, pour un montant de 76 millions de dollars australiens (47 millions d’euros). La cession devrait être finalisée au troisième trimestre 2020. A l’issue de cette opération, Suez ne détiendra plus que 6,9% d’AquaSure. Le groupe continuera de se concentrer sur la fourniture de services de traitement et d’approvisionnement en eau auprès de la population et de l’industrie australiennes.
Le fabricant de tubes sans soudure pour l’industrie pétrolière Vallourec a annoncé mardi son intention d'étendre le dialogue sur son refinancement «à l’ensemble de ses créanciers bancaires et obligataires, et des autres parties prenantes». L’objectif est de «parvenir à une restructuration financière» et qui permette au groupe «de traiter ses échéances à venir et de rééquilibrer sa structure financière», a indiqué le groupe dans un communiqué. La société souhaite aussi se donner la possibilité de demander la nomination d’un mandataire ad hoc, ce qui nécessite l’accord des porteurs d’obligations soumises au droit américain venant à maturité en octobre 2022 et en octobre 2023. La consultation des différents porteurs de ces obligations sera lancée ce mercredi 2 septembre et prendra fin le 11 septembre à 17h00, heure de Londres. Au 30 juin 2020, Vallourec disposait de lignes de crédits bancaires confirmées d’un montant de 1,93 milliard d’euros, dont 123 millions d’euros non-utilisées, et sa trésorerie s'élevait à 1,42 milliard d’euros.
L’activité du secteur manufacturier s’est reprise en août en zone euro mais pas de manière uniforme, selon les indices PMI définitifs calculés par IHS Markit. Pour l’ensemble de la région, il ressort à 51,7 en août, après 51,8 juillet. Le sous-indice mesurant l'évolution de la production, qui rentre dans le calcul de l’indice PMI composite attendu jeudi, est monté à 55,6, après 55,3 en juillet, soit un plus haut depuis avril 2018. Le sous-indice de l’emploi, à 44,2 en août après 42,9, reste toutefois inférieur à 50, ce qui traduit une diminution des effectifs.
Siemens a remporté un contrat de plus de 330 millions d’euros pour fournir une technologie de turbine à gaz et des services à long terme à une centrale électrique au Canada, a annoncé le groupe allemand lundi. La commande provient de Kineticor, une société qui développe et gère des projets d'énergie non polluante dans l’ensemble du Canada. La centrale, qui devrait entrer en service en 2023, fait partie du plan de décarbonisation de l’approvisionnement en électricité dans la province canadienne de l’Alberta.
Siemens a remporté un contrat de plus de 330 millions d’euros pour fournir une technologie de turbine à gaz et des services à long terme à une centrale électrique au Canada, a annoncé le groupe allemand lundi.
Le troisième groupe français de BTP Eiffage a annoncé mardi avoir remporté en groupement avec BESIX et In Advance la construction en entreprise générale du nouveau siège de la RTBF, média de service public de la Fédération Wallonie-Bruxelles à Schaerbeek (nord-est de Bruxelles) pour un montant de près de 100 millions d’euros. La part Eiffage s’inscrit à 40%. Eiffage a remporté ce contrat au travers de Valens, la filiale d’Eiffage Construction en Belgique. Baptisé Media Square, le futur bâtiment d’une superficie de près de 40.000 m² accueillera les collaborateurs de la RTBF. Les travaux viennent de débuter pour une livraison prévue en 2024, a indiqué Eiffage dans un communiqué.