L’actualité (lancement, levée de fonds, nouveaux produits) des start-up qui utilisent les nouvelles technologies pour proposer des services innovants dans le domaine de la finance.
La révision de la DSP2 doit régler les frictions entre banques et fintechs lors de l’accès aux comptes de paiement, mais elle ne suffira pas à encadrer l’accès aux autres comptes.
Longtemps considéré comme un service de base, le paiement a retrouvé la lumière grâce à l’innovation apportée par les fintechs. Décidées à conserver la maîtrise de cette activité, les banques ont dû s’adapter et investir.
Le projet européen devrait se concrétiser dès cette année sous la forme d’un portefeuille électronique proposant le paiement instantané de personne à personne. Un premier pas vers une offre bien plus ambitieuse.
L’accès aux comptes bancaires des emprunteurs permet d’évaluer leur solvabilité en temps réel et d’octroyer immédiatement les trois quarts des prêts, y compris en magasin.
Le spécialiste des avantages pour les salariés profite de la bonne exécution de son plan stratégique. Il affiche un chiffre d’affaires en hausse de 20% au premier trimestre et poursuit ses acquisitions.
Partenaires de longue date, ces deux géants du paiement en France comptent créer une entreprise commune pour reprendre la main sur les services aux commerçants, marché sur lequel des fintechs se sont largement imposées depuis dix ans.
Les fintechs rivalisent d’initiatives pour proposer aux entreprises des leviers de productivité. Leur terrain de conquête aujourd’hui le plus en vue ? Les notes de frais. Alliances, partenariats et levées de fonds s’y multiplient. Et la concurrence est féroce.
Spécialiste de la gestion des frais d’entreprises, cette fintech française a remporté de très grands comptes et accélère sa croissance avec cette nouvelle levée de fonds.
En pleine croissance, le spécialiste français du paiement fractionné poursuit son développement avec des commerçants de toutes tailles, en ligne et en magasins. Les matelas Emma tombent dans son escarcelle.
La fintech réduit les coûts et la complexité de la gestion des titres spéciaux de paiement grâce à l’open banking et évite d’immobiliser l’argent des salariés et des employeurs.
La filiale du groupe Stellantis propose d’immobiliser son argent durant 10 mois pour financer exclusivement des véhicules électriques et booste le taux de son livret.