Lundi 15 avril, la société de gestion Columbia Threadneedle Investments a annoncé la promotion de deux collaborateurs en tant que gérantspour sesstratégies Global and European Small Cap.Mine Tezgul va devenir gérante adjointe de Columbia ThreadneedleEurope (ex UK Small Cap, en attente de l’aval des régulateurs).Elle secondera Philip Dicken, responsable des actions européennes qui dirigera la gestion de Columbia ThreadneedleEurope.Scott Woods deviendra lui, gérant principal du fonds Threadneedle (Lux) Global Smaller Companies Fund, dont il était jusqu’ici gérant adjoint. Cette annonce fait suite au prochain départ de Mark Heslop, qui vient d'être recruté par Jupiter AM. Mine Tezgul, a rejoint les équipes deColumbia Threadneedle l’an dernier en tant qu’analyste sur les small caps européennes. Elle a précédemment travaillé pendant 10 ans en tant qu’analyste long-short actions au sein de sociétés commeLansdowne Partners etHighbridge Capital. Elle secondera Philip Dicken, responsable des actions européennes qui dirigera la gestion de Columbia ThreadneedleEurope ex. UK Small Cap. De son côté, Scott Woods travaille chezColumbia Threadneedledepuis2015 en tant qu’analyste de portefeuille au sein de l'équipe Global Equities. Il s’occupait notamment des small caps américaines, qui représentent la moitiédu fondsGlobal Smaller Companies. «Suite aux changements au sein de l'équipe, nous avons mis l’accent sur la planification de la succession de Mark Heslop et en avons profité pour développer et faire progresser nos talents ",explique dans un communiquéMark Burgess, deputy global CIO etCIOEMEA chezColumbia Threadneedle. Actuellement, Columbia Threadneedle emploie plus de 2000 personnes, dont 450 professionnels de l’investissementbasés en Amérique du Nord,Europe etAsie. La société gère 338 milliards de livres dont 53 % en actions.
Une étude de Morningstar citée par le Wall Street Journal montre que les fonds « diversité » et ESG ne votent pas toujours de manière cohérente avec les valeurs qu’ils affichent. Ainsi, l’ETF sur la diversité hommes/femmes de State Street (SHE), lancé il y a trois ans, a soutenu seulement 2 des 10 résolutions d’actionnaires demandant que les entreprises augmentent la diversité du conseil ou dévoilent davantage d’informations sur les salariés ou l’égalité des rémunérations. « C’est une chose d’acheter des titres respectant certains critères, mais c’en est une autre de voter pour soutenir ces sujets », commente Madison Sargis, directrice associée de la recherche quantitative de Morningstar, insistant sur l’accompagnement à la transformation.
La société de gestion norvégienne DNB Asset Management a fait enregistrer en France son fonds haut rendement DNB Fund High Yield. Domicilié au Luxembourg, ce produit affiche un encours de 287 millions d’euros. L’ensemble de la stratégie haut rendement, qui comprend également un fonds de droit norvégien et des mandats, représente un total de 1,6 milliard d’euros. DNB AM, filiale de la principale banque en Norvège, organisait mardi soir sa première conférence à Paris. La société, qui gère 60 milliards d’euros, s’est lancée en France à la fin de l’année dernière. Pour piloter son développement sur le marché français, elle a recruté Marta Oudot comme responsable de la distribution en charge du marché français.
La société compte sur ces labellisations pour porter les encours des fonds BNPP L1 USA et BNPP L1 Equity Europe DEFI à 2 milliards d’euros d’ici la fin de l’année.
Azimut a enregistré en mars une collecte nette de 521 millions d’euros, ce qui lui permet de cumuler 1,3 milliard d’euros depuis le début de l’année. La société italienne a bénéficié de l’intégration de Spencer Fuller & Associates, la dernière société de conseil financier en Australie à avoir été rachetée. Sans l’opération, Azimut a enregistré des entrées nettes de 380 millions d’euros en mars. Le total des encours sous administration s’élève à fin mars à 54,3 milliards d’euros, dont 42,2 milliards relatifs à des encours sous gestion.
Le britannique Rothschild & Co Wealth Management lance une nouvelle société d’intermédiation de valeurs mobilières en Italie, rapporte Bluerating. Elle a été constituée par Ilaria Romagnoli. Le conseil d’administration se compose de Gary Powell, François Pérol, Andrea Battilani et Luigi Garavaglia. Andrea Battilani est COO du wealth management en Italie de Rothschild & Co dirigé par Ilaria Romagnoli.
Following a meeting of the supervisory board at Edmond de Rothschild (France) on 12 March 2019, Renzo Evangelista has been appointed as chairman of the board, replacing Vincent Taupin, the group announced on Tuesday 9 April in a statement. Evangelista will work to continue the development of Edmond de Rothschild in France for all professional units. Meanwhile, the family group has announced the appointment of Philippe Cieutat as CEO of Edmond de Rothschild France. The announcements come on the heels of a reshuffle in March, which saw the French entity absorbed into Edmond de Rothschild (Suisse), the removal of the group from public trading, and the appointment of Vincent Taupin as CEO of the group. Evangelista, 48, who has been director of private banking at Edmond de Rothschild (France) since 1 January 2017, holds a DESS degree in business and tax law from the Université Paris Panthéon-Sorbonne. He began his career in 1996 as a wealth manager at BGPI, where he participated in the development of a product range for entrepreneurs. In 2000, he joined Edmond de Rothschild as a private banker, and then formed the family office in 2006, where he is director. From 2012, he becomes director of a new team. Cieutat, 42,began his career in 2002 as an auditor for the financial sector at Mazars, and then in 2005 joined the general inspection unit at HSBC France as an inspector, and later as director of missions. He joined HSBC Global Asset Management (France) in 2009 as CFO and a member of the executive board for the asset management profession. In 2013, he was appointed as director of strategy and organisation at HSBC France and as a member of the executive board. He joined Edmond de Rothschild (France) in September 2014 as administrative and financial director and a member of the executive board. He had been a member of the board at Edmond de Rothschild (France) since 2014.
Le réassureur slovène Sava Re a annoncé avoir sélectionné le module IBOR (Investment Book of Record) de SimCorp Dimension pour l’optimisation de son outil d’investissement front-to-back office. La solution lui permettra de gérer l’ensemble de ses actifs, y compris les investissements alternatifs. En plus defonctionnalités pour lefront office, le logiciel permettra l’automatisationde la comptabilité des investissements. Cela inclut notamment la prise en charge d’IFRS 9 et des normes comptables locales dans divers pays. SimCorp Dimension couvre également la génération des données nécessaires pour se conformer à SolvabilitéII, ainsi qu'àla réglementation locale. «L’expertise de SimCorp dans le secteur des assurances, la solide couverture fonctionnelle et la capacité de soutenir la croissance future de Sava Re ont été les facteurs clés de notre décision», a justifié dans un communiquéMarko Jazbec, président du conseil d’administration de Sava Re.
Dans une optique d’amélioration de la qualité de l’examen certifié par l’Autorité des marchés financiers (AMF), le régulateur souhaite recueillir les avis de l’ensemble des parties intéressées sur un projet de base commune d’examen visant à mutualiser les corpus de questions utilisés par les organismes certifiés et enrichir le programme de l’examen.Le dispositif de vérification du niveau de connaissances minimales a été mis en place en juillet 2010. Concernant des collaborateurs ou futurs professionnels des prestataires en services d’investissement (PSI) exerçant certaines fonctions clés, il est étendu depuis le 1er janvier 2017 aux conseillers en investissements financiers (CIF). Largement plébiscité, l’examen certifié par l’AMF constitue une reconnaissance affichée d’un socle de connaissances professionnelles et conforte la qualité et l’homogénéité du conseil donné à la clientèle en France. A fin décembre 2018, près de 70000 professionnels l’ont passé avec succès.Ce dispositif s’appuie sur les services de l’AMF et sur le Haut conseil certificateur de place (HCCP). Ce dernier a engagé fin 2017 une réflexion pour la création d’une base commune d’examen. Après un an d’étude en concertation avec les organismes dont l’examen est certifié, ce projet de base commune est soumis à consultation à travers des modifications du règlement général et une instruction.Les évolutions proposées portent notamment sur:Une mutualisation des questions, les organismes disposant aujourd’hui chacun d’une base de 600 questions différentes;Un enrichissement du programme à l’aune des évolutions réglementaires et de l’émergence de nouveaux thèmes (renforcement des exigences en matière de protection de la clientèle, ajout du thème de la finance durable, etc.);La prise en compte des spécificités du cadre propre aux CIF.Dans la pratique, deux bases communes d’examens (en français et en anglais) pourraient entrer en vigueur au 1er janvier 2020.Laconsultation est ouverte jusqu’au 5 mai inclus.
La vague des réductions de frais qui balaie le secteur américain de la gestion d’actifs pousse davantage d’investisseurs dans les ETF respectant des critères ESG, constate le Wall Street Journal. DWS a lancé en mars un ETF actions américaines ESG facturant 10 dollars pour 10.000 dollars investis. Le Xtrackers MSCI USA ESG Leaders Equity ETF battait ainsi l’ETF de Vanguard, qui était jusqu’ici le moins cher de ce segment. La sensibilité en matière de prix parmi les investisseurs ESG est devenue évidente ces dernières années, les frais moyens chutant à 35 dollars pour 10.000 dollars investis en mars contre 58 dollars en 2014. A titre de comparaison, l’ensemble du secteur des ETF aux Etats-Unis représente une moyenne de 19 dollars, selon ETFGI.
Le célèbre gérant britannique Nick Train a doublé sa participation dans Schroders, pour atteindre 8 %, rapporte le Financial Times fund management. Il a profité de la chute du cours de l’action Schroders l’an dernier pour acheter des titres. Ses fonds, qui incluent un fonds actions britanniques de 5,8 milliards de livres, sont devenus le principal investisseur indépendant de Schroders derrière la famille Schroder. Nick Train estime que la société de gestion a bâti une marque et une réputation solides en Europe et en Asie mais aura du mal à rejoindre l’élite mondiale si elle n’investit pas massivement dans son activité en Amérique du Nord. Sur les 407 milliards de livres gérés par Schroders, seulement 15 % sont gérés pour le compte d’investisseurs américains.
La banque Credit Suisse a annoncé vendredi l’arrivée prochaine de Daniel Wild au poste nouvellement créé de responsable mondial de la stratégie ESG (environnement, social, gouvernance). Agé de 51 ans, Daniel Wild occupait auparavant le poste de co-directeur général de RobecoSAM AG, l’entité de Robeco dédiée à l’investissement ESG. «Il rejoindra Credit Suisse plus tard dans l’année et sera basé à Zurich», précise le communiqué du groupe. La stratégie ESG de Credit Suisse fera partie du département Impact Advisory & Finance (IAF) que la banque a créé en octobre 2017 et qui est dirigé par Marisa Drew.
La banque Credit Suisse a annoncé vendredi l’arrivée prochaine de Daniel Wild au poste nouvellement créé de responsable mondial de la stratégie ESG (environnement, social, gouvernance). Agé de 51 ans, Daniel Wild occupait auparavant le poste de co-directeur général de RobecoSAM AG, l’entité de Robeco dédiée à l’investissement ESG. «Il rejoindra Credit Suisse plus tard dans l’année et sera basé à Zurich», précise le communiqué du groupe.
Si la mesure du risque physique est souvent bien établie par les assureurs, ces derniers éprouvent toutefois toujours des difficultés à évaluer leur exposition aux risques de transition.
Banque Syz is scaling up its presence in German-speaking Switzerland, with the arrival of Thomas Bachmann and Michael Kiefer, heads of development for private clients in the Zurich, Zug and Lucerne regions, an important area for private management in Switzerland. Bachmann and Kiefer will be based in Zurich, and will report directly to Lorenzo Romano, head for Switzerland and Europe, based in Geneva. The arrival of the two senior private bankers is a core part of the growth strategy of the bank in Switzerland, “to meet the very specific needs of UNHWI and family office” clients. Bachmann has spent his entire career in private banking. For the past 20 years, he served in various client representative and management positions at several banking institutions (UBS, Crédit Suisse, Luzerner Kantonal Bank, Baloise Bank), and more rencently, as head of the Notenstein La Roche Privat Bank branch in Lucerne. Kiefer also has over 20 years of experience in private and institutional management, and has worked for the big names in Swiss finance (UBS and Crédit Suisse), where he developed a base of sophisticated and UNHWI clients, and then went on to work as an independent investment consultant. Since last year, in addition to its multi-disciplinary and bespoke wealth management services, the bank has deployed its capacities in the field of personal financial planning, and now offers mortgage and lending services and professional retirement planning products (LPP2). Syz has also founded Syz Capital, a business unit specialised in investments and advising on private markets, a statement says.
The management at UBS is studying various options concerning the future of its asset management arm, UBS Asset Management, Bloomberg reports, citing sources familiar with the matter. The US news agency reports that the Swiss bank may be considering a partial sale, or a potential merger with DWS, the publicly-traded asset management affiliate of Deutsche Bank, which would be followed by a spinoff. The asset management unit, which had about $781bn in assets under management (€695bn) in the US market as of the end of December. The management at UBS has reportedly been sounding out the market for at least one year. Opinions about the strategy to be selected are reportedly nearly evenly distributed.
La direction d’UBS étudierait plusieurs options concernant l’avenir de sa branche de gestion d’actifs, UBS Asset Management, a révélé Bloomberg, citant des sources proches du dossier. Selon l’agence de presse américaine, la banque suisse envisagerait notamment une cession partielle, ou une possible fusion avec DWS,la filiale cotée de gestion d’actifs de Deutsche Bank, qui se poursuivrait par un spin-off. La branche, qui gérait environ 781 milliards de dollars d’encours (695 milliards d’euros) fin décembre, reste ouverte à d’autres opportunités d’acquisitions, selon ces mêmes sources, afin de rester compétitif sur le marché américain. La direction d’UBS sonderait le marché depuis au moins un an. Les avis sur la stratégie à suivre demeureraient néanmoins partagés.