Nos articles d’actualité et d’analyse portant sur les sujets de gouvernance (bonnes pratiques, réglementation, changements à la direction des grandes entreprises etc.).
Iliad a annoncé ce matin le lancement d’Up2Share, sa première opération d’actionnaire salarié. Elle sera proposée à environ 8.100 salariés du groupe de télécoms en France et en Italie.
L'action de la banque a baissé de 1,56% vendredi, après la publication d'un rapport sur son éventuelle implication dans le scandale de blanchiment de Danske.
Wendel se rapproche de la sortie définitive chez Saint-Gobain. Dans un avis publié jeudi soir sur le site de l’Autorité des marchés financiers (AMF), la société d’investissement indique être descendue sous le seuil des 5% des droits de vote à la suite d’une vente d’actions sur le marché. Ces titres étaient détenus par Eufor, une société contrôlée par Wendel. Après cette vente, Wendel détient encore directement et indirectement 3,50% du capital et 4,71% des droits de vote de Saint-Gobain. Wendel avait fait irruption au capital du groupe de matériaux de construction en 2007, montant jusqu’à 21%. La société d’investissement avait signé quelques mois plus tard un pacte de gouvernance avec Saint-Gobain, avant d’engager progressivement sa descente au capital.
Atos a annoncé vendredi la décision de son conseil d’administration de proposer à ses actionnaires un dividende annuel ordinaire de 1,70 euro par action ainsi qu’une distribution exceptionnelle sous la forme d’actions de sa filiale Worldline à concurrence de 2 actions Worldline pour 5 actions Atos détenues. Cette proposition sera faite lors de l’assemblée générale annuelle convoquée pour le 30 avril 2019. A l’issue de cette opération, Atos conserverait environ 27,3% du capital social et 35% des droits de vote, précise la société.
Wendel se rapproche de la sortie définitive chez Saint-Gobain. Dans un avis publié hier soir sur le site de l’Autorité des marchés financiers (AMF), la société d’investissement indique être descendue sous le seuil des 5% des droits de vote à la suite d’une vente d’actions sur le marché. Ces titres étaient détenus par Eufor, une société contrôlée par Wendel.
L’Afep «n’approuve pas les conditions de départ du dirigeant de TechnipFMC telles que présentées publiquement», indique dans un communiqué publié vendredi matin l’Association française des entreprises privées.
Entre indemnités et actions accumulées, le président exécutif du groupe parapétrolier partirait avec près de 14 millions d'euros. Bruno Le Maire a bondi.
Berenberg propose, en partenariat avec Universal-Investment,un nouveau fonds durable, le Berenberg Sustainable World Equities qui, outre les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), doit prendre en compte l’impact positif des entreprises sur les défis climatiques de l’heure. Le portefeuille, qui va piocher dans l’indice MSCI World, devrait compter entre 50 et 80 lignes. La part active devrait dépasser les 80%, avec une tracking error élevée. Le fonds sera géré par Bernd Deeken qui, à côté des notations ESG, utilisera sa propre recherche maison pour les entreprises de plus petite taille.
Le cours de EssilorLuxottica a perdu plus de 5% dans la matinée en réaction à la crise de gouvernance qui touche le leader mondial de l’optique ophtalmique et de la lunetterie.
Les actionnaires de la chaîne espagnole de supermarchés Dia ont approuvé mercredi le projet d’augmentation de capital de 500 millions d’euros soumis par le fonds LetterOne (L1), ouvrant ainsi la voie à une prise de contrôle du groupe par le véhicule d’investissement de l’homme d’affaires russe Mikhaïl Fridman. L1, qui se propose de racheter les 70% du «hard discounter» qu’il ne possède pas encore, avait subordonné son offre à l’approbation de cette augmentation de capital. Son offre valorise Dia à un peu plus de 410 millions d’euros. En assemblée générale, les actionnaires ont rejeté le projet, concurrent, du conseil d’administration de Dia.
Le PDG, Leonardo Del Vecchio, accuse son vice-PDG, Hubert Sagnières, d'avoir rompu l'égalité des pouvoirs. Et menace de prendre des mesures de défense.
Les actionnaires de la chaîne espagnole de supermarchés Dia ont approuvé aujourd’hui le projet d’augmentation de capital de 500 millions d’euros soumis par le fonds LetterOne (L1), ouvrant ainsi la voie à une prise de contrôle du groupe par le véhicule d’investissement de l’homme d’affaires russe Mikhaïl Fridman. L1, qui se propose de racheter les 70% du «hard discounter» qu’il ne possède pas encore, avait subordonné son offre à l’approbation de cette augmentation de capital. Son offre valorise Dia à un peu plus de 410 millions d’euros.
Ce système, reposant sur un mécanisme de prêt-emprunt de titres rémunéré, sera proposé en priorité aux biotechs qui peinent régulièrement à atteindre leur quorum.
Norsk Hydro, l’un des plus gros producteurs d’aluminium au monde, a annoncé aujourd’hui un changement de directeur général à compter du mois de mai, le groupe norvégien cherchant à relancer sa production au Brésil et à accroître son bénéfice. Svein Richard Brandtzaeg, en poste depuis dix ans, sera remplacé par Hilde Merete Aasheim, qui dirige la division métal primaire du groupe depuis 2008. C’est la première fois en 114 ans d’existence qu’une femme va prendre la tête du groupe norvégien.
Le groupe hôtelier américain Marriott International a annoncé lundi un plan sur trois ans prévoyant l’ouverture de plus de 1.700 hôtels à travers le monde. Cela inclut aussi le versement à ses actionnaires de près de 11 milliards de dollars (9,7 milliards d’euros) et un bénéfice par action compris entre 7,65 et 8,50 dollars à l’horizon 2021. La société ajoutera entre 275.000 et 295.000 chambres à ses actuelles capacités, ce qui augmenterait ses recettes de 400 millions de dollars en 2021. Marriott compte verser entre 1,9 et 2 milliards de dollars à ses actionnaires sous forme de dividendes sur cette période, et procéder à des rachats d’actions compris entre 7,6 et 9 milliards.
Le groupe hôtelier américain Marriott International a annoncé aujourd’hui un plan sur trois ans prévoyant l’ouverture de plus de 1.700 hôtels à travers le monde, le versement à ses actionnaires de près de 11 milliards de dollars (9,7 milliards d’euros) et un bénéfice par action compris entre 7,65 et 8,50 dollars à l’horizon 2021. La société, qui exploite les enseignes de luxe Ritz-Carlton et St.Regis, a dit qu’elle ajouterait entre 275.000 et 295.000 chambres à ses actuelles capacités, ce qui augmenterait ces recettes de 400 millions de dollars en 2021.