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L’équivalent de près de 45 milliards de dollars de yuans a quitté la Chine en septembre alors que la devise est à un plus bas de six ans contre le dollar.
Les banques chinoises ont accordé 1.220 milliards de yuans (165 milliards d’euros) de nouveaux prêts en septembre, un montant nettement supérieur aux attentes des analystes, montrent les statistiques officielles publiées hier. Les économistes prévoyaient en moyenne 1.000 milliards de yuans de nouveaux prêts bancaires pour le mois dernier après 948,7 milliards en août. L’encours de nouveaux prêts s’affiche en progression de 13% en rythme annuel. La dette de la Chine a atteint 250% du produit intérieur brut (PIB) et la Banque des règlements internationaux (BRI) a prévenu en septembre qu’une crise bancaire pourrait survenir dans les trois prochaines années.
Les banques chinoises ont accordé 1.220 milliards de yuans (165 milliards d’euros) de nouveaux prêts en septembre, un montant très nettement supérieur aux attentes des analystes, montrent les statistiques officielles publiées mardi. Les économistes prévoyaient en moyenne 1.000 milliards de yuans de nouveaux prêts bancaires pour le mois dernier après 948,7 milliards en août, plus du double qu’en juillet. L’encours de nouveaux prêts s’affiche en progression de 13% en rythme annuel.
Le programme sera finalement circonscrit aux sociétés saines rencontrant des difficultés temporaires, même si les sociétés d'Etat en bénéficieront aussi.
Les autorités de régulation chinoises envisagent de durcir davantage les règles de contrôle concernant les fonds investis dans le marché immobilier du pays, indique Bloomberg de sources proches. Les investissements de nature spéculative seraient notamment dans le viseur de la commission de régulation bancaire, de la commission de régulation des marchés et de la Banque populaire de Chine (PBOC).
Les autorités de régulation chinoises envisagent de durcir davantage les règles de contrôle concernant les fonds investis dans le marché immobilier du pays, indique Bloomberg de sources proches. Les investissements de nature spéculative seraient notamment dans le viseur de la commission de régulation bancaire, de la commission de régulation des marchés et de la Banque populaire de Chine (PBOC). Cette dernière a récemment tiré la sonnette d’alarme sur la flambée des prix et le rôle des collectivités locales dans la finance de l’ombre associée au secteur.
Le fournisseur d’indices a indiqué dans un communiqué qu’il continue à étudier attentivement la possibilité d’inclure les actions chinoises de classe A cotées sur le marché onshore dans son indice MSCI Marchés Emergents. S’il a constaté des développements positifs avant le lancement officiel de la connexion entre les Bourses de Shenzhen et Hong Kong (« Shenzhen-Hong Kong Connect »), il a néanmoins ajouté avoir besoin de plus de temps « pour juger de l’efficacité des nouvelles mesures » prises par les autorités chinoises.
Les ménages, les entreprises et les banques détenaient un montant record de 26.300 milliards de yuans (3.500 milliards d’euros) de produits de gestion de fortune (WMP) en Chine à la fin du mois de juin dernier, soit une hausse de près de 12% au cours du premier semestre de l’année, selon des chiffres officiels publiés hier soir. Plus de 450 banques chinoises ont distribué quelque 97.636 WMP sur les six premiers mois de l’année, malgré le durcissement des restrictions entourant ces produits qui contribuent très largement à l’essor de la finance de l’ombre dans le pays.