CVC Capital Partners envisage de se désengager de VelocityEHS pour un montant susceptible d’atteindre 2 milliards de dollars (1,9 milliard d’euros), cherchant ainsi à tirer parti de l’explosion de la demande de logiciels de conformité dans le monde de l’entreprise, rapportait vendredi Reuters de trois sources proches du dossier. Le groupe de private equity travaille avec la banque d’investissement américaine William Blair sur un processus de vente de cette société qui fournit des applications basées sur le cloud pour aider les entreprises à se conformer aux réglementations en matière d’environnement, de santé et de sécurité. CVC souhaiterait obtenir des offres indicatives cette semaine pour l’éditeur de logiciels basé à Chicago, en vue de céder l’intégralité de l’entreprise ou de faire entrer à son capital un investisseur intéressé par une prise de participation minoritaire mais significative, ont précisé ces sources.
Audrey Koenig qui dirige Natixis Wealth Management depuis un peu plus d’un an en recense les points forts. Sachant par ailleurs que les clients ont évolué et qu’il faut s’adapter à leurs attentes, elle mise beaucoup sur sescollaborateurs.
Exclusif - Quelques mois après le recrutement de Driss Mernissi, la banque d’affaires vient d’embaucher deux banquiers seniors de chez Canaccord Genuity.
Une longue trêve estivale se profile pour les amateurs de ballon rond, mais pas chez Sorare, le jeu de fantasy football mondial basé sur la blockchain. Celui-ci figure parmi les paris gagnants de la société d’investissement Felix Capital, montée par Frédéric Court et Antoine Nussenbaum, aux côtés d’autres licornes comme Mirakl, Ledger ou Leocare. Grâce à ces états de service dignes d’un Mbappé du capital-risque, Felix le bien nommé a annoncé le 8 juin une levée de fonds de 600 millions de dollars, qui double d’un coup ses encours sous gestion.
C’est le montant atteint par les fonds sous gestion de Breega, un fonds de venture capital axé sur les projets d’entrepreneurs soutenus par des équipes d’investissement composées d’entrepreneurs. Nonobstant le contexte détérioré pour les start-up technologiques, Breega vient de clôturer un deuxième fonds de capital-risque de 250 millions d’euros, le précédent ayant rassemblé 105 millions en 2017. Le fonds mettra l’accent sur des fintechs et insurtechs. En outre, l’équipe dispose d’un fonds early stage. L’équipe vient également d’annoncer l’ouverture d’un bureau à Barcelone pour investir davantage dans la tech ibérique, un marché dynamique.
Ce n’est pourtant pas leur genre ! Les investisseurs se plaignent à Institutional Investor que les plus grands groupes de private equity aient recours à des « tactiques d’intimidation » pour lever de l’argent. Les gérants obligent les investisseurs souhaitant rentrer dans les fonds les plus prestigieux à investir, en parallèle, dans des véhicules qui le sont moins – nouvelles stratégies qui ne se vendent pas, fonds à la traîne… Bref, pour profiter de la discipline et de la performance des meilleurs gérants, il faut aussi financer ceux qui n’ont ni l’une ni l’autre de ces qualités. Mais les investisseurs ne sont pas inquiets : quand les marchés baissent, tout le monde est soudainement beaucoup plus agréable, se souvient l’un d’eux. L’année 2022 devrait rabibocher les gérants et leurs clients.
Un peu plus de deux ans après avoir lancé la commercialisation de Championnes III, NextStage AM annonce le closing final dudit véhicule à 135 millions d’euros. Celui-ci a obtenu le soutien de la quasi-totalité des souscripteurs du précédent millésime (Axa, Ardian, Bpifrance, Amundi…) et de plusieurs nouveaux entrants, dont plus de 115 entrepreneurs. De quoi doubler la taille du fonds, déjà investi dans huit entreprises. Avec une stratégie visant à financer en fonds propres les PME françaises innovantes évoluant dans le digital, la santé et l’environnement, l’équipe du véhicule prévoit d’investir ente 4 et 10 millions d’euros par opération, le plus souvent en minoritaire. «Nous faisons essentiellement des opérations primaires. Ce devrait être un atout important dans un environnement où les valorisations des entreprises sont élevées», explique Nicolas de Saint Etienne, associé-gérant chez NextStage AM.
Historiquement connu sous le nom de MCS, le leader français du rachat de prêts non performants et du recouvrement est détenu par BC Partners depuis 2017.
Un peu plus de deux ans après avoir lancé la commercialisation de Championnes III, NextStage AM annonce le closing final dudit véhicule à 135 millions d’euros. Ce dernier a obtenu le soutien de la quasi-totalité des souscripteurs du précédent millésime (Axa, Ardian, Bpifrance, Amundi…) et de plusieurs nouveaux entrants, dont plus de 115 entrepreneurs. De quoi doubler la taille du fonds, déjà investi dans huit entreprises. Avec une stratégie visant à financer en fonds propres les PME françaises inovantes évoluant dans le digital, la santé et l’environnement, l’équipe du véhicule prévoit d’investir ente 4 et 10 millions d’euros par opération, le plus souvent en minoritaire. « Nous faisons essentiellement des opérations primaires. Ce devrait être un atout important dans un environnement où les valorisations des entreprises sont élevées », explique Nicolas de Saint Etienne, associé-gérant chez NextStage AM.
Non, le private equity n'est pas une pyramide de Ponzi. Mais certaines valorisations stratosphériques doivent s'ajuster aux nouvelles conditions de marché.
Début 2020, le fonds avait cherché à revendre le fabricant français de composants passifs complexes à HLD, mais l’opération n’avait pas abouti en raison de la crise sanitaire.
Détenu par Cinven et Novo Holdings depuis 2018, la société suédoise de fret médical Envirotainer change de mains. Elle s’apprête à être rachetée par EQT et le fonds souverain d’Abu Dhabi, Mubadala, sur la base d’une valorisation de 2,8 milliards d’euros. L’entreprise a bâti sa réputation dans la fabrication de conteneurs dédiés au transport aérien de produits pharmaceutique. Elle a notamment fait parler d’elle en transportant près d’un milliard de doses de vaccins dans la lutte contre le Covid-19. A ce jour, elle compte 6.700 conteneurs et emploie 375 collaborateurs. Conseillés par Jefferies, EQT et Mubadala entendent continuer à internationaliser la cible, en améliorant plus particulièrement sa présence en Asie-Pacifique. La transaction devrait être bouclée au troisième trimestre 2022.
Le Vatican a annoncé mardi dans un communiqué le lancement d’un comité chargé de superviser l'éthique de ses investissements, alors même que se poursuit un procès pour corruption lié à une opération immobilière dans laquelle il a perdu plus de 200 millions d’euros. Le comité sera dirigé par un cardinal irlando-américain, Kevin Joseph Farrell, basé au Vatican, mais il comprendra quatre experts financiers laïcs extérieurs. Les nouveaux membres ont un mandat de cinq ans. La création de ce comité d’éthique était prévue dans la nouvelle constitution du Vatican, ‘Praedicate Evangelium’ (Prêchez l'Évangile), que le pape François a promulguée en mars et qui vient d’entrer en vigueur.
Détenu par Cinven et Novo Holdings depuis 2018, la société suédoise de fret médical Envirotainer change de mains. Elle s’apprête à être rachetée par EQT et le fonds souverain d’Abu Dhabi, Mubadala, sur la base d’une valorisation de 2,8 milliards d’euros.
Anaplan a déclaré lundi que le groupe américain de private equity Thoma Bravo avait réduit son offre de rachat à 9,6 milliards de dollars (9 milliards d’euros), après que l’éditeur de logiciels a accepté de résoudre un désaccord concernant le respect de certaines conditions de fusion. Les actionnaires de la cible recevront désormais 63,75 dollars par action, contre une offre précédente de 66 dollars. «Le conseil d’administration d’Anaplan a accepté, après un examen approfondi, de réviser l’accord de fusion pour éviter le risque d’un long litige sur le désaccord», a expliqué la société californienne. Le prix de l’offre représente toujours une prime de 26 % par rapport au cours de clôture d’Anaplan avant l’annonce de l’accord en mars dernier. La clôture de l’opération est prévue pour le 30 juin.
Propriétaire de ce fournisseur d’équipements et de services logistiques pour les opérateurs télécoms depuis 2019, Carlyle conserve une part minoritaire.
Près de 2 milliards d’euros. C’est la valorisation atteinte par le fournisseur français d’équipements et de services logistiques pour les opérateurs télécoms Euro Techno Com (ETC). L’américain Carlyle, propriétaire du groupe depuis son rachat pour 500 millions d’euros en 2019, est entré en négociations exclusives avec Cinven. Le fonds britannique s’est imposé dans le cadre de l’enchère organisée par Goldman Sachs face au français PAI Partners et au canadien Brookfield – actuellement vendeur de sa participation dans les tours télécoms TDF, comme l’avait révélé L’Agefi en février. Carlyle ne tire cependant pas totalement une croix sur sa participation. Il prévoit de réinvestir dans une participation « minoritaire significative », aux côtés du dirigeant-fondateur Cédric Varasteh.
Exclusif – A l’heure où Ardian s’apprête à entrer en négociations exclusives pour prendre le contrôle d’Oktogone, IK Partners sonde le marché en vue de marier Skill & You avec un autre acteur.