Après un passage en salle des marchés, Franck a rejoint L’Agefi en 2000. Sur le web d’abord, à une époque où tout le monde n’avait pas encore d’adresse mail, puis sur le magazine patrimonial Actifs, alors que les contrats d’assurance vie étaient encore présentés en francs. Passé au Quotidien en 2020 par plaisir de l’actu et de l’adrénaline, Franck en prend la rédaction en chef en 2022 mais reste très attaché à ses amours de jeunesse que sont les banques et la gestion d’actifs.
Dans son dernier baromètre de l’investissement immobilier français élaboré en interrogeant, les plus grandes sociétés d’investissement présentes en France et en partenariat avec le Crédit Foncier de France, l’IPD anticipe les «prémisses d’une amélioration lente et progressive du marché locatif de bureaux francilien pour les deux prochaines années». La demande placée en bureaux est attendue à 2,01 millions de m² pour 2014, en augmentation par rapport aux 1,81 million de m² de 2013, mais toujours inférieure à la moyenne entre 2008 et 2013 qui s’établit à 2,27 millions de m².
Selon les derniers chiffres de l’Observatoire Crédit logement / CSA, le taux moyen des prêts s’établit à 2,81 % en juin contre 2,85 % en mai (2,90 en juin contre 2,98 en mai pour le neuf et 2,79 % en juin contre 2,85 % en mai dans l’ancien). «Depuis le début de l’année 2014, le recul des taux est remarquable. Ils ont perdu 27 points de base se fixant sous le niveau de juin 2013 (2.90 %). Jamais, depuis la fin des années 40, les taux de crédit n’étaient descendus aussi bas, pendant aussi longtemps. Par contre, sur le marché des travaux, les taux ont légèrement remonté en juin avec 2,84% (après 2,79% en mai) contre 3,12% en décembre 2013», commente l’Observatoire.La durée moyenne des prêts a légèrement augmenté, avec 17,1 an en juin contre 16,8 ans le mois précédent. La production de crédit (hors rachats de prêts, prêts relais et prêts de capitalisation) a augmenté de 9,9 % sur un an glissant et le nombre de prêts de 8 % sur un an glissant.
MyFlow vient de publier le classement des sociétés de gestion préférées des conseillers en gestion de patrimoine (la MyFlow List) pour le mois de juin, et note que Carmignac est revenu dans le trio de tête, ravissant la troisième place qu’occupait la Financière de l’Echiquier au mois de mai. Les deux premières places sont toujours occupées respectivement par DNCA et M&G. «Les résultats de septembre confirmeront ou pas l’inversion de tendance[sur le retour de Carmignac] », note Frédéric Picard, le président de MyFlow.
Rothschild & Cie Gestion vient d’annoncer l’acquisition de l’activité de gestion privée en France de Somangest, société de gestion entrepreneuriale créée en 1991, représentant environ 200 millions d’euros d’actifs.
Rothschild HDF Investment Solutions, filiale de Rothschild & Cie Gestion, poursuit le développement de son offre de gestion alternative, visant à donner accès à des gérants reconnus, dans un cadre Ucits. La Sicav de droit irlandais InRIS, lancée il y a quelques mois et qui a vocation à accueillir des fonds mono-gérant, a été dotée d’un nouveau compartiment, R BlackRock Select, fruit d’une sélection de stratégies long-short equity historiques de BlackRock.
Lazard Frères Gestion annonce le recrutement de Philippe Nahum au poste nouvellement créé de Directeur du marketing, de la communication et de la stratégie. Philippe Nahum a travaillé 15 ans chez BNP Paribas où il occupa différents postes ; il était plus récemment Head of Global Advice pour BNP Paribas Personal Investors, de 2011 à 2014, et plus tôt dans sa carrière, responsable de la gamme, responsable de la planification et du contrôle de gestion, responsable des ventes, du marketing et desétudes. En 2000, il rejoint Fidelity Investments France comme Directeur Général, puis comme PrésidentDirecteur Général et membre du comité exécutif Europe. En 2003, il est nommé Directeur Général chez Oddo Gestion Privée. Il rejoint BNP Paribas en 2006.
Selon les chiffres de l’Insee, les dépenses de consommation des ménages en biens augmentent de 1,0 % en volume au mois de mai, après avoir diminué de 0,2 % en avril. Cette hausse est principalement imputable au rebond des dépenses en énergie.