Nos articles d’actualité et d’analyse sur le financement des entreprises par dette obligataire (marché primaire, DCM, obligations hybrides) ou bancaire.
La filiale de Renault dédiée à la location longue durée reprend deux divisions du groupe MeinAuto – une marketplace digitale multimarque qui gère une flotte de 50.000 véhicules.
Le mécanisme de tarification prévu est lié à la fois aux performances des entreprises du portefeuille d'Astorg et à la propre gouvernance de la société de gestion.
L'effet "hausse des taux" a joué à plein en ce premier semestre et la comparaison avec les performances du début de l'année atteste un regain de forme pour ces fonds. En attendant mieux encore en 2024...
Le montant de la titrisation pourra aller jusqu’à 500 millions d’euros et permettra à la fintech de poursuivre son développement tout en libérant ses fonds propres.
La normalisation post-Covid se poursuit. La Banque de France pointe 48.673 défaillances sur douze mois à fin juin, en hausse de 45% sur un an… Mais un niveau en retrait de 18% par rapport à la moyenne pré-Covid.
La filiale française de la Banque cantonale de Genève augmente son capital et entend se développer sur ses deux métiers, le financement aux professionnels de l’immobilier et la gestion privée.
La fin des opérations de refinancement à long terme, la guerre des dépôts et la recherche de liquidités ont porté le marché primaire des dettes bancaires malgré le mois de mars.
L’Observatoire de la Fintech dévoile ses données pour le premier semestre 2023 : les montants levés se sont réduits de moitié, à 673 millions d’euros, pour un nombre d’opérations en hausse de 9%.
Grâce à ces deux nouveaux investisseurs, la plateforme de financement des petites entreprises compte doubler le montant de ses prêts d’ici à 2024 et poursuivre son expansion internationale.
Les entreprises et les Etats doivent travailler ensemble pour mesurer les efforts nécessaires à la transition climat, soutient Emmanuel Millard, président national de la DFCG*, président de l’Alliance Internationale des Dirigeants Financiers et Secrétaire général du Groupe Endrix.
Le rapport remis au gouvernement relève que la reconnaissance attendue dans le droit français de la forme électronique des titres transférables est une étape nécessaire mais pas suffisante.