
Nicolas Namias nommé à la présidence du directoire du groupe BPCE
Président du directoire, groupe BPCE.
46 ans, ENA, executive program (Stanford Graduate School of Business), Essec, IEP Paris.
Nicolas Namias débute en 2004 à la direction générale du Trésor du ministère de l’Economie et des Finances. Chargé de la préparation des sommets financiers internationaux, il est ensuite nommé commissaire du gouvernement suppléant auprès de l’Autorité des marchés financiers. En 2008, il intègre le groupe BPCE en tant que directeur du pilotage de la banque de proximité et assurance jusqu’en 2012, puis est nommé, la même année, conseiller technique du Premier ministre pour le financement de l’économie, les entreprises et les affaires économiques internationales. De retour au sein du groupe BPCE en 2014, il est directeur de la stratégie, puis directeur financier de Natixis, membre du comité de direction générale. En 2018, il devient membre du directoire de BPCE, en charge des finances et de la stratégie et, en août 2020, directeur général de Natixis.
Contenu de nos partenaires
- La Société Générale présente sa nouvelle direction autour de Slawomir Krupa
- Credit Suisse entraîne le secteur bancaire européen dans sa chute
- Les actions chutent avec les banques américaines
- L’électrochoc SVB met la finance sous tension
- Credit Suisse, trois ans de descente aux enfers
- Les gérants prennent la mesure de la persistance de l’inflation
- Silicon Valley Bank : la chute éclair de la banque des start-up
- Slawomir Krupa sort la Société Générale du brouillard
- Chute de SVB : les Etats-Unis garantissent les dépôts et HSBC rachète les actifs anglais
-
Editorial
Motion de censure: Macron et le poison des trois paradoxes
Premier paradoxe, démontrer qu'une majorité alternative n'existe pas ne renforcera pas pour autant l'actuelle majorité relative, abîmée par trois mois d'hystérie sur les retraites -
Sous haute tension
Les banques européennes soumises à un stress test grandeur nature
Les opérations de sauvetages menées tambour battant en Suisse et aux Etats-Unis peinent à convaincre les investisseurs -
Faire durer le plaisir
Motion de censure: le supplice chinois de la macronie
Après la journée chaotique de jeudi, Elisabeth Borne devra remonter à la tribune de l'Assemblée lundi, pour l'examen d'une motion de censure transpartisane visant à faire tomber son gouvernement. Les macronistes, trompés par LR, ont dû reprendre leurs esprits et leur calculatrice