Dans le sillage de Wall Street, les places boursières européennes sont dans le rouge jeudi après les déclarations de la secrétaire d’Etat au Trésor américain sur la garantie des dépôts. Les valeurs bancaires restent sous pression.
Avec ce rachat, la fintech compte offrir à ses clients marketplaces une solution de gestion des paiements complexes enrichie et des coûts réduits, grâce notamment au routage intelligent.
Ce cadre réglementaire transitoire doit permettre de tester l’utilisation des technologies de registre distribué et de faire émerger des standards de tokenisation d’actifs classiques.
Les places boursières ont effacé les pertes consécutives aux craintes sur les banques avec une chute de la volatilité. Mais le marché en garde les stigmates.
La banque centrale américaine a augmenté ses taux directeurs de 25 points de base. Elle est prise entre la lutte contre l'inflation et la préservation de la stabilité financière.
La société d’investissement diversifie son financement via des obligations échangeables en actions Bureau Veritas. Mais l’intention n’est clairement pas celle d’un désengagement.
Le spécialiste des terreaux bas-carbone se valorise autour de 100 millions d’euros, sur des multiples élevés. Il veut collecter 16 millions d’euros auprès de nouveaux investisseurs.
PartnerRe, que Covéa a racheté en 2022, a dégagé un résultat opérationnel en hausse l’an dernier mais affiche une perte nette en raison de la remontée des taux.
Grâce au rachat des activités de Leaseplan et ALD, le groupe bancaire associé à Stellantis renforce sa présence en Europe. Son ambition : devenir le leader de la location longue durée.
L’institution ne versera pas de dividende à l'Etat, mais met ses 4,4 milliards d'euros de profit en réserve afin d’éviter les pertes à venir liées à la hausse des taux.
Credit Suisse devait scinder ses activités de marchés et de conseil en les fusionnant avec la boutique du banquier américain Michael Klein. Un accord dont ne veut plus son nouveau propriétaire.
Les prix à la consommation ont surpris à la hausse, avec une progression de 10,4% sur un an au Royaume-Uni. Les opérateurs ont revu en hausse leurs prévisions de relèvement des taux par la Banque d'Angleterre.