Engagée dans un programme stratégique de cloud avec son partenaire historique, la banque tire les premiers résultats positifs de ce choix. La transformation se poursuit.
L'institution de la rue de Lille s'estime à l'abri des récentes faillites bancaires. Elle profite de résultats solides en 2022, marqués par un bénéfice net de 4,2 milliards d'euros.
En 2022, les entreprises ont versé des flux de participation et d’intéressement en hausse de 30%, laissant ainsi le choc de la pandémie derrière elles. Mais les encours sont sous pression.
Depuis deux semaines, l'écosystème du venture évalue les conséquences de la faillite de la banque américaine. Les cartes du financement bancaire de la tech sont rebattues, et des sociétés risquent de vaciller.
PartnerRe, que Covéa a racheté en 2022, a dégagé un résultat opérationnel en hausse l’an dernier mais affiche une perte nette en raison de la remontée des taux.
Grâce au rachat des activités de Leaseplan et ALD, le groupe bancaire associé à Stellantis renforce sa présence en Europe. Son ambition : devenir le leader de la location longue durée.
Credit Suisse devait scinder ses activités de marchés et de conseil en les fusionnant avec la boutique du banquier américain Michael Klein. Un accord dont ne veut plus son nouveau propriétaire.
La situation de la banque helvétique inquiétait les distributeurs de produits structurés. L'occasion pour eux de se recentrer sur des acteurs tricolores lors des prochaines constructions de produits.
Tandis que JPMorgan s'efforce de sauver First Republic Bank, le Trésor se dit prêt à d'autres mesures de soutien au secteur pour éviter une contagion de la crise.
Outre la révision de la directive sur les services de paiement DSP2 qui pourrait encadrer l’open finance au-delà des comptes de paiement, banques et fintechs sont toujours à la recherche de modèles économiques viables.
Le secteur de l’assurance reste notamment éloigné du marché de la dette AT1 qui subit un net ajustement dans le cadre du rachat du groupe bancaire suisse.
En permettant par une simple ordonnance de déroger à la loi fédérale sur la fusion, les autorités suisses envoient un signal négatif aux investisseurs.
Alors qu'UBS a été forcé de voler au secours de Crédit Suisse ce dimanche, quelques grands investisseurs dévoilaient à L'Agefi leur exposition et commentaire sur la situation vendredi dernier.