Des cheveux en moins et de l’épaisseur en plus, Lionel retrouve L’Agefi en 2022 en tant que rédacteur en chef adjoint après une parenthèse d’une vingtaine d’années. Une double décennie passée dans la presse boursière française, chez Investir et Le Revenu, à couvrir les grandes entreprises cotées. Il manque rarement l’occasion de partager, auprès d’oreilles généralement bienveillantes, les citations qu’il affectionne. Comme celle-ci, nietzschéenne, «l’ennemi de la vérité, ce n’est pas le mensonge, ce sont les convictions».
Avec cette opération de 4,8 milliards de dollars dans les centres d’appels, la société d’investissement deviendra le premier actionnaire d’un ensemble capable de rivaliser avec le leader mondial Teleperformance.
L’action du groupe de maisons de retraite et de cliniques touche un nouveau plus bas, conséquence logique de l’avancée du plan de restructuration financière.
La société d’investissement diversifie son financement via des obligations échangeables en actions Bureau Veritas. Mais l’intention n’est clairement pas celle d’un désengagement.
La banque va demander à ses actionnaires une modification de ses statuts pour permettre au président de rester en poste jusqu’à 74 ans. Seul le successeur de Lorenzo Bini Smaghi sera concerné.
En rachetant ses propres titres une société retourne de l’argent à ses actionnaires sans passer par la case dividende. Nous avons interrogé Pascal Quiry, professeur à HEC et coauteur du Vernimmen, sur cette pratique qui fait débat.
De part et d’autre de l’Atlantique, jamais les rachats d’actions n’ont été aussi nombreux et massifs. Cet engouement - qui se traduit par une surperformance boursière des entreprises adeptes de la démarche - relance le débat sur la pertinence financière de cette pratique.
Maximilien Pellegrini, jusqu’ici numéro deux de Suez, s’apprête à rejoindre le groupe de services externalisés pour en prendre les commandes opérationnelles.