Journaliste économique depuis plus de 15 ans, Camille a commencé à s’intéresser à l’économie des entreprises à travers les secteurs de la grande distribution, de la logistique et de l’automobile. Après quelques détours en presse BtoC (tourisme et RH), elle se passionne pour la finance d’entreprise qu’elle suit pendant près de 5 ans au sein de Daf magazine, avant de passer de l’autre côté du miroir en intégrant le service Banque Assurance de l’Agefi.
AGPM, Klesia Mut’ et Harmonie Mutuelle s’associent pour décrocher le marché de la protection sociale complémentaire des personnels de la Défense nationale.
Les enjeux sont de taille pour la banque de La Défense, comme pour son nouveau patron, qui présente le plan stratégique du groupe aux investisseurs, lundi 18 septembre à Londres.
Particulièrement touché par le coût des émeutes urbaines du début de l’été, l'assureur des collectivités locales annonce une émission de dette subordonnée et envisage une augmentation de capital.
L'ancien patron de la CFDT rejoint le Crédit Mutuel Alliance Fédérale. Cette nomination intervient dans le cadre d'une réflexion plus large du groupe qui semble vouloir repositionner ses activités banque d'investissement à une place plus stratégique.
Andrea Enria, président du conseil de surveillance prudentielle de la Banque centrale européenne, se dit particulièrement attentif aux risques de liquidité et de crédit du secteur bancaire.
L’hémorragie se poursuit chez Goldman Sachs qui projette de faire de nouvelles coupes au sein de ses effectifs. Les licenciements devraient démarrer dès le mois d’octobre et concerner moins de 1% de la masse salariale totale, soit environ 440 salariés.
Malgré un deuxième trimestre record en termes de résultats, la valorisation du secteur bancaire européen reste basse, avec des actions qui accusent une décote de 35%. Un décalage persistant qui étonne les analystes.
D'après le dernier test de résistance sur le risque climat de la BCE, une transition rapide serait profitable au secteur bancaire. Selon les scénarios étudiés, les pertes pourraient atteindre jusqu'à 78% des portefeuilles de crédit.